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Tunisie - Sihem Badi hystérique face aux critiques de Mehdi Ben Gharbia

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Invitée à intervenir par téléphone à l'émission Midi Show de Naoufel Ouertani sur Mosaïque Fm, aujourd'hui 8 février 2013, la ministre de la Femme, Sihem Badi, a piqué une crise de nerfs face aux critiques qui lui ont été adressées par le membre de l'ANC et de l'Alliance démocratique, Mehdi Ben Gharbia, présent au studio.
Ce dernier a considéré que les partis de la Troïka, ayant refusé la proposition de Hamadi Jebali, chef du gouvernement, en l’occurrence Ennahdha et le CPR, s'attachent aux postes qu'ils occupent beaucoup plus qu'à l'intérêt du pays.
Prise de colère, la ministre a haussé le ton et a proféré des cris à peine perceptibles."Les sièges que nous occupons ne sont pas aussi confortables qu'on le pense! Cela explique d'ailleurs la réticence des partis de l'opposition face aux propositions d'intégrer le gouvernement", a t-elle scandé. Elle a expliqué que son refus de la décision du chef du gouvernement est motivé par la volonté "de ne pas interrompre une expérience qui, bien que pas tout à fait réussie, reste respectable".
Ensuite, refusant de redonner la parole à M. Ben Gharbia, ni d'entendre les questions de l'animateur, elle a considéré qu'il s'agit pour le pays d'un retour à la case départ, selon ce qu'on a pu déceler de ses propos houleux.
Ce dernier a considéré que les partis de la Troïka, ayant refusé la proposition de Hamadi Jebali, chef du gouvernement, en l’occurrence Ennahdha et le CPR, s'attachent aux postes qu'ils occupent beaucoup plus qu'à l'intérêt du pays.
Prise de colère, la ministre a haussé le ton et a proféré des cris à peine perceptibles."Les sièges que nous occupons ne sont pas aussi confortables qu'on le pense! Cela explique d'ailleurs la réticence des partis de l'opposition face aux propositions d'intégrer le gouvernement", a t-elle scandé. Elle a expliqué que son refus de la décision du chef du gouvernement est motivé par la volonté "de ne pas interrompre une expérience qui, bien que pas tout à fait réussie, reste respectable".
Ensuite, refusant de redonner la parole à M. Ben Gharbia, ni d'entendre les questions de l'animateur, elle a considéré qu'il s'agit pour le pays d'un retour à la case départ, selon ce qu'on a pu déceler de ses propos houleux.
D.M
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