
Dans l’affaire Rafik Abdessalem, connue également sous le nom de « SheratonGate », Rached Ghannouchi président du mouvement Ennahdha et beau père du ministre des Affaires étrangères, soutient que ce dernier est innocent des faits qui lui sont reprochés, s’agissant, selon lui de « fausses accusations ».
Dans une interview accordée à France 24, hier, samedi 12 janvier 2013, et rapportée par Shems Fm, le leader d’Ennahdha soutient que les compétences de Rafik Abdessalem à la tête du ministère des Affaires étrangères ne sont pas mises en doute mais que son ministère, ainsi que celui de la Justice, a été proposé « au profit de l’attraction de nouvelles forces politiques », au parti Al Joumhouri qui a décliné l’offre. Ghannouchi affirme et insiste, également, que les ministères de souveraineté resteront inchangés lors du prochain remaniement ministériel annoncé au cours de ce mois de Janvier.
S.T.

