Le ministre des Affaires étrangères Rafik Abdessalem a reconnu, dans une déclaration à Mosaïque Fm et à d’autres supports médiatiques mercredi soir 26 décembre 2012, qu’il a payé une chambre pour une femme, une parente, tout en spécifiant qu’il s’agissait de son propre argent et qu’il n’a jamais utilisé les deniers publics hors des missions pour son travail, ajoutant que le fait de qualifier cette femme de sa maîtresse est «ridicule».

M. Abdessalem a expliqué que cette affaire fait partie d’une «campagne de diffamation politique et médiatique, méthodique et organisée, pour nuire au "ministre des Affaires étrangères"», soulignant en substance : «nos mains sont propres».
Le ministre a indiqué que, vu les horaires de son travail et vu qu’il n’avait pas de logement propre à lui, il était obligé, de temps à autre, de prendre une chambre, notamment au Sheraton très proche de locaux du ministère, au frais de l’Etat après réservation effectuée par les soins des services concernés au département des Affaires étrangères.

Autre fait à relever, Rafik Abdessalem parle de lui même à la 3ème personne comme s’il s’agissait de quelqu’un d’autre que lui.

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