Des agents, des employés et des travailleurs de la cour des comptes (district du Grand Tunis), ont observé, jeudi 15 mars 2012, un sit-in de protestation devant le siège social de cette institution à Tunis (avenue de la liberté). Selon Hédi Farhani, secrétaire général du syndicat de base des agents et employés de la cour des comptes, les sit-inneurs réclament, «la révision du statut des greffiers de la cour, la création d'une fonction d'auditeur adjoint, outre la révision du décret régissant les plans de fonction». Les revendications des travailleurs concernent, notamment, l'ouverture de concours de promotion et la distribution équitable de la prime du rapport annuel.
M. Farhani a précisé que les agents et travailleurs des Chambres régionales (relevant de la cour) de Sousse, Sfax, Jendouba et Gafsa, ont organisé des sit-in parallèles. «Ce mouvement de protestation reflète les sentiments de mécontentement et de privation vécus par les greffiers et les employés de la cour des comptes», a-t-il estimé. Et d'ajouter que «si les demandes légitimes des sit-inneurs ne sont pas satisfaites, d'autres formes de protestation seront adoptées (Grève et sit-in)».
Des agents, des employés et des travailleurs de la cour des comptes (district du Grand Tunis), ont observé, jeudi 15 mars 2012, un sit-in de protestation devant le siège social de cette institution à Tunis (avenue de la liberté). Selon Hédi Farhani, secrétaire général du syndicat de base des agents et employés de la cour des comptes, les sit-inneurs réclament, «la révision du statut des greffiers de la cour, la création d'une fonction d'auditeur adjoint, outre la révision du décret régissant les plans de fonction». Les revendications des travailleurs concernent, notamment, l'ouverture de concours de promotion et la distribution équitable de la prime du rapport annuel.
M. Farhani a précisé que les agents et travailleurs des Chambres régionales (relevant de la cour) de Sousse, Sfax, Jendouba et Gafsa, ont organisé des sit-in parallèles. «Ce mouvement de protestation reflète les sentiments de mécontentement et de privation vécus par les greffiers et les employés de la cour des comptes», a-t-il estimé. Et d'ajouter que «si les demandes légitimes des sit-inneurs ne sont pas satisfaites, d'autres formes de protestation seront adoptées (Grève et sit-in)».
