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Statut de partenaire avancé : l'Europe veut éviter l'erreur marocaine avec la Tunisie
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Adrianus Koetsenruijter, ambassadeur et chef de la Délégation de l'Union européenne (UE) en Tunisie, a donné une conférence de presse lundi 11 octobre 2010 pour faire le bilan de la coopération entre la Tunisie et l’Union européenne. Il a exprimé, également, son intention de renforcer la coopération médiatique qu’il estime insuffisante en organisant des points de presse plus réguliers.
M. Koetsenruijter a entamé son intervention en reprenant les points cardinaux du discours du président de la Commission européenne, José Manuel Durao Barroso, sur l’état de l’Union, donné le 7 septembre 2010. Au menu de ce discours, le traité de Lisbonne et le nouveau rôle imparti au président de la commission. La crise financière mondiale, le rôle de l’euro, les enjeux climatiques, la coopération nord sud ont été les autres axes survolés.
Concernant la coopération avec la Tunisie, le chef de la Délégation européenne a insisté sur l’impact réel qu’ambitionne l’Union sur des domaines à grandes valeurs ajoutées tels que le développement agricole ou la gestion hydrique. A titre d’exemple, un budget de 57 millions d’euros a été accordé au nouveau programme d’appui aux politiques publiques tunisiennes dans la gestion des ressources en eau pour le développement rural et agricole.
Sur les négociations en cours en vue d’accorder à la Tunisie le statut de partenaire avancé de l’UE, M. Koetsenruijter a donné quelques éclairages sur la teneur des débats sans toutefois se prononcer sur l’état d’avancement des débats. L’essentiel est, selon lui, de mettre en place un plan opérationnel à vocation économique et d’éviter l’erreur marocaine, à savoir, un accord politique inexploitable.
L’Union pour la Méditerranée est encore à l’ordre du jour et les premiers investissements financiers et humains ont bel et bien été mobilisés. Une politique et des partenariats de voisinage restent dans les priorités de l’Union européenne. Adrianus Koetsenruijter revient, également, sur la faible mobilité Nord Sud et la nécessité de permettre aux compétences tunisiennes de s’exporter pour endiguer l’immigration clandestine.
Diverses questions ont été abordées en vrac dont notamment la nouvelle coopération avec la Libye, les négociations au Proche-Orient et les tensions identitaires en Europe.
M. Koetsenruijter a entamé son intervention en reprenant les points cardinaux du discours du président de la Commission européenne, José Manuel Durao Barroso, sur l’état de l’Union, donné le 7 septembre 2010. Au menu de ce discours, le traité de Lisbonne et le nouveau rôle imparti au président de la commission. La crise financière mondiale, le rôle de l’euro, les enjeux climatiques, la coopération nord sud ont été les autres axes survolés.
Concernant la coopération avec la Tunisie, le chef de la Délégation européenne a insisté sur l’impact réel qu’ambitionne l’Union sur des domaines à grandes valeurs ajoutées tels que le développement agricole ou la gestion hydrique. A titre d’exemple, un budget de 57 millions d’euros a été accordé au nouveau programme d’appui aux politiques publiques tunisiennes dans la gestion des ressources en eau pour le développement rural et agricole.
Sur les négociations en cours en vue d’accorder à la Tunisie le statut de partenaire avancé de l’UE, M. Koetsenruijter a donné quelques éclairages sur la teneur des débats sans toutefois se prononcer sur l’état d’avancement des débats. L’essentiel est, selon lui, de mettre en place un plan opérationnel à vocation économique et d’éviter l’erreur marocaine, à savoir, un accord politique inexploitable.
L’Union pour la Méditerranée est encore à l’ordre du jour et les premiers investissements financiers et humains ont bel et bien été mobilisés. Une politique et des partenariats de voisinage restent dans les priorités de l’Union européenne. Adrianus Koetsenruijter revient, également, sur la faible mobilité Nord Sud et la nécessité de permettre aux compétences tunisiennes de s’exporter pour endiguer l’immigration clandestine.
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