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Tarak Ben Ammar reçoit le prix italien le plus prisé du monde de la culture et des médias

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Comme on l’a déjà annoncé il y a quelques mois (cliquer ici pour lire notre article à ce sujet), Tarak Ben Ammar a officiellement reçu, le lundi 5 juillet 2010 dans l’ile d’Ischia, le prix " Premio Ischia Internazionale Mediterraneo", un Prix des plus prisés dans le monde culturel et des médias en Italie. Le prix vient donc sanctionner le parcours polyvalent et exceptionnel de M. Ben Ammar en tant que homme d’affaires, économiste, publiciste et producteur/éditeur en communication et média d’un niveau international. Lequel parcours a fait de lui un illustre ambassadeur de la Tunisie dans les milieux culturels occidentaux, lui qui n’a pas rechigné sur les efforts pour positionner la Tunisie sur la carte de l’industrie cinématographique internationale.
Sans fioritures ni complaisance, le jury a justifié son choix par la richesse des activités culturelles de M. Ben Ammar pour une véritable union pour la Méditerranée. Le jury reconnaît, également, que le récipiendaire n’est pas qu’un grand leader en Europe, en Afrique et en Méditerranée mais aussi un homme médiatique par nature et par choix, un excellent communicateur social et un homme qui a voulu et pu créer une télévision méditerranéenne exceptionnelle et fort appréciée dans le but de favoriser l’ouverture du peuple maghrébin sur de nouveaux horizons culturels et la création d’un espace commun pour le progrès, la paix et la cohabitation.
Lors de la cérémonie officielle de remise de ce prestigieux prix, M. Ben Ammar z tenu à indiquer : « Je suis fier et honoré de recevoir le prix « Ischia » de journalisme en Méditerranée. Etre primé par un jury de valeur qui compte, entre autres, le grand écrivain David Grossman, est un grand honneur pour moi. Le prix Ischia représente, parfaitement, les objectifs pour lesquels je me suis consacré tout au long de ma carrière notamment l’instauration d’un dialogue et d’une communication entre les peuples à travers les domaines des médias, des affaires et de la finance".
Et d’ajouter :" Tout au long de ma carrière, la Méditerranée a, toujours, été au centre de mes préoccupations. Venant d’un petit pays comme la Tunisie où la plus grande richesse est l’Homme, je savais que pour réussir il me fallait conquérir les grands marchés européens de l’industrie des films et des médias. J’ai été très touché d’avoir été reçu chaleureusement par des amis et des associations à travers la Méditerranée et particulièrement en France et en Italie, ce qui m’a permis d’avoir une seconde patrie aussi bien pour ma famille, mes affaires que pour moi-même".
Cet enfant du Sud, si attaché et fidèle à ses racines et son pays natal, la Tunisie, n’a pas manqué de rappeler qu’il est "un homme du Sud qui a réussi au Nord sans oublier ses origines" tout en ajoutant : "Je suis fier d’avoir pu acquérir savoir faire et expérience en travaillant en Europe et d’en faire bénéficier mon pays, et ce aussi bien lors de la création de mes studios et laboratoires de cinéma que celle d’une télévision libre et indépendante «Nessma» contribuant, ainsi, à créer des dizaines de milliers d’emploi en Tunisie. Très tôt dans ma carrière, j’ai su que mon succès devait, nécessairement, passer par l’édification d’un pont entre les cultures de la Méditerranée, un espace où l’Occident rencontre l’Orient et où peuvent cohabiter modernité et tradition".
L’homme aux multiples casquettes qui a beaucoup œuvré, et avec succès, pour faire un pont culturel entre les deux rives de la Méditerranée s’est montré plus que déterminé à aller encore jusqu’au bout de cette voie."En ce début de 21ème siècle et au moment où on continue à chercher une meilleure conception du monde, je demeure, on ne peut plus convaincu, de l’importance stratégique de la Méditerranée pour assurer le lien économique, politique et culturel entre l’Europe, l’Asie et l’Afrique d’autant plus que nous assistons à l’émergence de nouvelles puissances à l’instar de l’Inde, la Chine et le Brésil".
M. Ben Ammar n’a pas oublié les compagnons de route, des célébrités avec lesquels il a échafaudé des projets, exaucé des rêves les plus refoulés, respiré culture et cinéma, imaginé de fulgurantes destinées et réalisé des succès qui restent graveés dans les tablettes du cinéma méditerranéen. J’ai été assez chanceux de travailler avec certains grands réalisateurs de renommée internationale comme Steven Spielberg, Georges Lucas, Franco Zefirelli, Roman Polanski, Brian De Palma et tout récemment, Rachid Bouchareb et Julien Schnabel. Je suis également fier de compter parmi mes amis et mes partenaires quelques uns des plus brillants hommes d’affaires des cinquante dernières années comme Ruppert Murdoch, Silvio Berlusconi, Vincent Bollore et le prince Walid Ibn Talal", a-t-il avancé.
Et de finir son allocution sur ces mots révélateurs de son brillant esprit pratique :"J’ai toujours cru en un monde sans frontières et aspiré à un futur où nos croyances, nos valeurs et nos intérêts convergeraient vers un même objectif à savoir celui de léguer à nos enfants un monde meilleur que le nôtre ".
Sans fioritures ni complaisance, le jury a justifié son choix par la richesse des activités culturelles de M. Ben Ammar pour une véritable union pour la Méditerranée. Le jury reconnaît, également, que le récipiendaire n’est pas qu’un grand leader en Europe, en Afrique et en Méditerranée mais aussi un homme médiatique par nature et par choix, un excellent communicateur social et un homme qui a voulu et pu créer une télévision méditerranéenne exceptionnelle et fort appréciée dans le but de favoriser l’ouverture du peuple maghrébin sur de nouveaux horizons culturels et la création d’un espace commun pour le progrès, la paix et la cohabitation.
Lors de la cérémonie officielle de remise de ce prestigieux prix, M. Ben Ammar z tenu à indiquer : « Je suis fier et honoré de recevoir le prix « Ischia » de journalisme en Méditerranée. Etre primé par un jury de valeur qui compte, entre autres, le grand écrivain David Grossman, est un grand honneur pour moi. Le prix Ischia représente, parfaitement, les objectifs pour lesquels je me suis consacré tout au long de ma carrière notamment l’instauration d’un dialogue et d’une communication entre les peuples à travers les domaines des médias, des affaires et de la finance".
Et d’ajouter :" Tout au long de ma carrière, la Méditerranée a, toujours, été au centre de mes préoccupations. Venant d’un petit pays comme la Tunisie où la plus grande richesse est l’Homme, je savais que pour réussir il me fallait conquérir les grands marchés européens de l’industrie des films et des médias. J’ai été très touché d’avoir été reçu chaleureusement par des amis et des associations à travers la Méditerranée et particulièrement en France et en Italie, ce qui m’a permis d’avoir une seconde patrie aussi bien pour ma famille, mes affaires que pour moi-même".
Cet enfant du Sud, si attaché et fidèle à ses racines et son pays natal, la Tunisie, n’a pas manqué de rappeler qu’il est "un homme du Sud qui a réussi au Nord sans oublier ses origines" tout en ajoutant : "Je suis fier d’avoir pu acquérir savoir faire et expérience en travaillant en Europe et d’en faire bénéficier mon pays, et ce aussi bien lors de la création de mes studios et laboratoires de cinéma que celle d’une télévision libre et indépendante «Nessma» contribuant, ainsi, à créer des dizaines de milliers d’emploi en Tunisie. Très tôt dans ma carrière, j’ai su que mon succès devait, nécessairement, passer par l’édification d’un pont entre les cultures de la Méditerranée, un espace où l’Occident rencontre l’Orient et où peuvent cohabiter modernité et tradition".
L’homme aux multiples casquettes qui a beaucoup œuvré, et avec succès, pour faire un pont culturel entre les deux rives de la Méditerranée s’est montré plus que déterminé à aller encore jusqu’au bout de cette voie."En ce début de 21ème siècle et au moment où on continue à chercher une meilleure conception du monde, je demeure, on ne peut plus convaincu, de l’importance stratégique de la Méditerranée pour assurer le lien économique, politique et culturel entre l’Europe, l’Asie et l’Afrique d’autant plus que nous assistons à l’émergence de nouvelles puissances à l’instar de l’Inde, la Chine et le Brésil".
M. Ben Ammar n’a pas oublié les compagnons de route, des célébrités avec lesquels il a échafaudé des projets, exaucé des rêves les plus refoulés, respiré culture et cinéma, imaginé de fulgurantes destinées et réalisé des succès qui restent graveés dans les tablettes du cinéma méditerranéen. J’ai été assez chanceux de travailler avec certains grands réalisateurs de renommée internationale comme Steven Spielberg, Georges Lucas, Franco Zefirelli, Roman Polanski, Brian De Palma et tout récemment, Rachid Bouchareb et Julien Schnabel. Je suis également fier de compter parmi mes amis et mes partenaires quelques uns des plus brillants hommes d’affaires des cinquante dernières années comme Ruppert Murdoch, Silvio Berlusconi, Vincent Bollore et le prince Walid Ibn Talal", a-t-il avancé.
Et de finir son allocution sur ces mots révélateurs de son brillant esprit pratique :"J’ai toujours cru en un monde sans frontières et aspiré à un futur où nos croyances, nos valeurs et nos intérêts convergeraient vers un même objectif à savoir celui de léguer à nos enfants un monde meilleur que le nôtre ".
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