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Tunisie âEUR" Les défis que le contrôle économique doit relever

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La 14ème édition du séminaire annuel du contrôle économique se tient les 21, 22 et 23 avril 2010 à Hammamet portant sur le thème: "le contrôle économique appui à l’environnement concurrentiel et à la protection du consommateur ".
Ridha Ben Mosbah, ministre du Commerce et de l'Artisanat a précisé, à l’ouverture du séminaire, que le thème de cette édition synthétise les deux axes du processus de contrôle économique, à savoir l'amélioration du climat des affaires, d’une part, et la défense du consommateur d'autre part, d’où le rôle important du système de contrôle économique dans la réalisation des objectifs économique et sociaux du pays.
Ainsi, le système de contrôle veille à ancrer et promouvoir la culture de la concurrence auprès des intervenants, à garantir la transparence des transactions, à lutter contre les pratiques anticoncurrentielles, à inciter à l’investissement et à protéger le tissu industriel. Pour le consommateur, il se veut un moyen pour défendre son pouvoir d’achat en contrôlant les prix, en garantissant la qualité et la sécurité des produits et en assurant son droit à choisir.
Pour réaliser ces objectifs, M. Ben Mosbah a souligné l’importance de développer de nouveaux procédés, des techniques de travail et des mécanismes pour augmenter l’efficacité du système de contrôle. Il a indiqué que le nombre des contrôles sur le terrain a augmenté de 60%, passant de 410 mille en 2008 à 650 mille en 2009. Le nombre d’infractions enregistrées a dépassé le seuil des 51 mille infractions en 2009.
Le ministre a exhorté, par ailleurs, les agents de contrôle à redoubler d’efforts afin de préserver et de développer les acquis réalisés. Il a précisé que le ministère veille à améliorer les conditions de travail et à doter le système du contrôle économique des ressources humaines et matérielles nécessaires.
Khalifa Tounakti, directeur général de la Concurrence et des enquêtes économiques, a indiqué, que lors de cette rencontre, plusieurs sujets concernant le contrôle économique seront examinés. Le but étant de réaliser les objectifs du ministère à travers le développement de la compétitivité et le contrôle des prix.
Il a, en outre, souligné le rôle de l’administration dans l’ancrage de la culture de la concurrence. La libéralisation de l’économie nécessitant la mise en place de nouveaux mécanismes et de nouvelles lois qui répondront mieux aux exigences de marché et à la propagation des nouvelles technologies.
Wajdi Khemakhem, directeur général de l’Unité de mise à niveau des services, a exhorté les agents à adopter une stratégie d’offensive. Il a mis en relief l’importance de la mise à niveau des entreprises de services dans la croissance des exportations au sein du secteur ainsi que dans le développement de la concurrence, de la transparence et des bonnes pratiques au sein de ces entreprises.
Un intervenant de l’Organisation de défense du consommateur a expliqué que malgré les réalisations accomplies par le système de contrôle, beaucoup reste à faire, surtout que les contrevenants ne manquent pas d’ingéniosité pour contourner les lois et duper les consommateurs.
D’autres intervenants ont attiré l’attention sur le surcroît de pouvoir nuisance des intermédiaires dans ces marchés.
Certains intervenants ont demandé que d’autres maillons de la chaîne de contrôle (tels que les vétérinaires) participent aux formations réservées aux agents.
Notons que cette rencontre réunit annuellement les agents et les cadres relevant du département de contrôle au sein du ministère du Commerce et de l'Artisanat ainsi que toutes les parties concernées par le contrôle du marché et les organisations de la société civile.
Ridha Ben Mosbah, ministre du Commerce et de l'Artisanat a précisé, à l’ouverture du séminaire, que le thème de cette édition synthétise les deux axes du processus de contrôle économique, à savoir l'amélioration du climat des affaires, d’une part, et la défense du consommateur d'autre part, d’où le rôle important du système de contrôle économique dans la réalisation des objectifs économique et sociaux du pays.
Ainsi, le système de contrôle veille à ancrer et promouvoir la culture de la concurrence auprès des intervenants, à garantir la transparence des transactions, à lutter contre les pratiques anticoncurrentielles, à inciter à l’investissement et à protéger le tissu industriel. Pour le consommateur, il se veut un moyen pour défendre son pouvoir d’achat en contrôlant les prix, en garantissant la qualité et la sécurité des produits et en assurant son droit à choisir.
Pour réaliser ces objectifs, M. Ben Mosbah a souligné l’importance de développer de nouveaux procédés, des techniques de travail et des mécanismes pour augmenter l’efficacité du système de contrôle. Il a indiqué que le nombre des contrôles sur le terrain a augmenté de 60%, passant de 410 mille en 2008 à 650 mille en 2009. Le nombre d’infractions enregistrées a dépassé le seuil des 51 mille infractions en 2009.
Le ministre a exhorté, par ailleurs, les agents de contrôle à redoubler d’efforts afin de préserver et de développer les acquis réalisés. Il a précisé que le ministère veille à améliorer les conditions de travail et à doter le système du contrôle économique des ressources humaines et matérielles nécessaires.
Khalifa Tounakti, directeur général de la Concurrence et des enquêtes économiques, a indiqué, que lors de cette rencontre, plusieurs sujets concernant le contrôle économique seront examinés. Le but étant de réaliser les objectifs du ministère à travers le développement de la compétitivité et le contrôle des prix.
Il a, en outre, souligné le rôle de l’administration dans l’ancrage de la culture de la concurrence. La libéralisation de l’économie nécessitant la mise en place de nouveaux mécanismes et de nouvelles lois qui répondront mieux aux exigences de marché et à la propagation des nouvelles technologies.
Wajdi Khemakhem, directeur général de l’Unité de mise à niveau des services, a exhorté les agents à adopter une stratégie d’offensive. Il a mis en relief l’importance de la mise à niveau des entreprises de services dans la croissance des exportations au sein du secteur ainsi que dans le développement de la concurrence, de la transparence et des bonnes pratiques au sein de ces entreprises.
Un intervenant de l’Organisation de défense du consommateur a expliqué que malgré les réalisations accomplies par le système de contrôle, beaucoup reste à faire, surtout que les contrevenants ne manquent pas d’ingéniosité pour contourner les lois et duper les consommateurs.
D’autres intervenants ont attiré l’attention sur le surcroît de pouvoir nuisance des intermédiaires dans ces marchés.
Certains intervenants ont demandé que d’autres maillons de la chaîne de contrôle (tels que les vétérinaires) participent aux formations réservées aux agents.
Notons que cette rencontre réunit annuellement les agents et les cadres relevant du département de contrôle au sein du ministère du Commerce et de l'Artisanat ainsi que toutes les parties concernées par le contrôle du marché et les organisations de la société civile.
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