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Tunisie - Inauguration du siège tunisien de lâEUR(TM)OIE
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Une cérémonie d’inauguration de la Représentation régionale de l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE) pour l’Afrique du Nord se déroulera mardi 26 Janvier 2010, à Tunis. Il s’agit bien de la seconde Représentation sous-régionale pour l’Afrique, après celle de la Botswana. Le siège tunisien sera un tremplin supplémentaire pour la prévention et le contrôle des maladies animales sur le continent africain.
La Représentation sous-régionale sera chargée d’améliorer la qualité des services vétérinaires nationaux. Elle s’efforcera d’harmoniser les méthodes de prévention et de contrôle des maladies ainsi que les prestations de santé animale délivrées dans la région par le secteur public et le secteur privé.
Il est à rappeler que l’OIE, créé en 1924, a pour mission de lutter contre la propagation transfrontalière des maladies infectieuses animales. Au-delà de cette mission historique, son nouveau mandat consiste, aujourd’hui, à « améliorer la santé animale dans le monde ».
Cette nouvelle ambition nécessite non seulement une volonté politique partagée avec tous les pays membres mais aussi le développement de nouveaux mécanismes de détection, de prévention et de contrôle des maladies animales, y compris les zoonoses, aux niveaux national, régional et mondial.
Ces mécanismes auront un impact favorable considérable non seulement sur l’amélioration de la santé et du bien-être des animaux mais aussi sur la santé publique, l’accès pour tous à des aliments nobles et sains, la réduction de la pauvreté et l’accès aux marchés des produits d’origine animale.
Pour réussir, l’OIE a la responsabilité de fournir aux décideurs les informations, les arguments et les outils appropriés pour que cette volonté politique s’exerce efficacement et durablement. Ces arguments doivent d’abord reposer sur l’évaluation qualitative et quantitative des bénéfices politiques, sociaux et économiques que l’on peut obtenir en investissant plus dans de nouveaux systèmes nationaux, régionaux et mondiaux de santé animale. Ils doivent démontrer aussi que l’efficacité des investissements effectués dans les systèmes de santé animale repose sur une bonne gouvernance afin de gérer efficacement les mécanismes qui mettent en œuvre ces investissements.
Les services vétérinaires, qu’il s’agisse de leur composante publique ou privée, sont en première ligne pour améliorer la santé animale partout dans le monde. Améliorer leur fonctionnement et leur efficacité repose sur la mobilisation des ressources humaines et financières appropriées, mais aussi sur l’application rigoureuse des principes de bonne gouvernance et de qualité décrits dans le Code sanitaire pour les animaux terrestres de l’OIE et adoptés démocratiquement sous forme de normes internationales par tous ses pays membres.
Les mécanismes d’amélioration de la santé animale constituent sans aucun doute un Bien Public Mondial : plus de 120 pays ont besoin d’être aidés pour parvenir à une situation sanitaire satisfaisante pour eux et sans danger de contamination des autres pays. Il est de notre devoir de mobiliser tous les acteurs et œuvrer pour une solidarité internationale dans l’intérêt de tous.
La Représentation sous-régionale sera chargée d’améliorer la qualité des services vétérinaires nationaux. Elle s’efforcera d’harmoniser les méthodes de prévention et de contrôle des maladies ainsi que les prestations de santé animale délivrées dans la région par le secteur public et le secteur privé.
Il est à rappeler que l’OIE, créé en 1924, a pour mission de lutter contre la propagation transfrontalière des maladies infectieuses animales. Au-delà de cette mission historique, son nouveau mandat consiste, aujourd’hui, à « améliorer la santé animale dans le monde ».
Cette nouvelle ambition nécessite non seulement une volonté politique partagée avec tous les pays membres mais aussi le développement de nouveaux mécanismes de détection, de prévention et de contrôle des maladies animales, y compris les zoonoses, aux niveaux national, régional et mondial.
Ces mécanismes auront un impact favorable considérable non seulement sur l’amélioration de la santé et du bien-être des animaux mais aussi sur la santé publique, l’accès pour tous à des aliments nobles et sains, la réduction de la pauvreté et l’accès aux marchés des produits d’origine animale.
Pour réussir, l’OIE a la responsabilité de fournir aux décideurs les informations, les arguments et les outils appropriés pour que cette volonté politique s’exerce efficacement et durablement. Ces arguments doivent d’abord reposer sur l’évaluation qualitative et quantitative des bénéfices politiques, sociaux et économiques que l’on peut obtenir en investissant plus dans de nouveaux systèmes nationaux, régionaux et mondiaux de santé animale. Ils doivent démontrer aussi que l’efficacité des investissements effectués dans les systèmes de santé animale repose sur une bonne gouvernance afin de gérer efficacement les mécanismes qui mettent en œuvre ces investissements.
Les services vétérinaires, qu’il s’agisse de leur composante publique ou privée, sont en première ligne pour améliorer la santé animale partout dans le monde. Améliorer leur fonctionnement et leur efficacité repose sur la mobilisation des ressources humaines et financières appropriées, mais aussi sur l’application rigoureuse des principes de bonne gouvernance et de qualité décrits dans le Code sanitaire pour les animaux terrestres de l’OIE et adoptés démocratiquement sous forme de normes internationales par tous ses pays membres.
Les mécanismes d’amélioration de la santé animale constituent sans aucun doute un Bien Public Mondial : plus de 120 pays ont besoin d’être aidés pour parvenir à une situation sanitaire satisfaisante pour eux et sans danger de contamination des autres pays. Il est de notre devoir de mobiliser tous les acteurs et œuvrer pour une solidarité internationale dans l’intérêt de tous.
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