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La Tunisie désignée vice-présidente des réunions annuelles du FMI et de la Banque Mondiale
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La Tunisie a été désignée à la vice-présidence des assemblées annuelles du Fonds monétaire Internationale (FMI) et de la Banque Mondiale. Les réunions plénières de ces assemblées doivent démarrer mardi 6 octobre 2009 à Istanbul, en Turquie. La délégation tunisienne est présidée par Toufik Baccar, Gouverneur de la Banque centrale. Elle a eu une activité intense, lors des travaux préparatoires de ces assemblées.
Qualifiée de pertinente, l’approche tunisienne pour faire face à la crise a été sous la loupe de la direction du département du FMI. Elle a réitéré le soutien du FMI au programme de réformes initiées par la Tunisie, notamment dans les domaines monétaire et financier.
En marge des travaux du comité, M. Baccar a eu des entretiens avec Olivier Blanchard, économiste en chef du FMI et plusieurs de ses collègues gouverneurs des banques centrales, notamment Christian Noyer, Gouverneur de la Banque de France.
M. Baccar a confirmé le souhait de la Tunisie de voir les quotas et les droits de vote aux pays émergents se renforcer et de voir ces pays mieux impliquées dans le processus de prise de décision.
Par ailleurs, la réunion avec Masood Ahmed, directeur du département Moyen-Orient et des pays d’Asie Centrale, a porté sur l’évolution économique et financière en Tunisie durant l’année 2009 et les perspectives de 2010. M. Baccar a présenté les axes de la startégie mises en place en tunisie, à l’initiative du Président de la République, pour mieux maitriser les effets de la crise sur l’économie tunisienne.
La réunion du comité monétaire et financier international, à laquelle a participé le gouverneur et dans lequel siègent le directeur général de FMI et les ministres et gouverneurs des pays développés et émergents, a axé ses travaux principalement sur la situation économique et financière mondiale de 2009. Les perspectives pour 2010 et la réforme de la gouvernance du FMI étaient également au cœur de cette réunion.
Concernant la situation actuelle de l’économie mondiale, l’accent a été mis sur le fait que l’économie internationale commence à faire apparaitre des signes de redressement. Un consensus s’est dégagé sur la nécessité de ne pas baisser la garde et de poursuivre le programme de relance et de soutien aux économies. Il s’agit de ne pas arrêter les programmes de relance tant qu’il n’y a pas de conviction que le retour à la croissance est irréversible. De même, de ne pas tarder dans la levée des mesures de relances pour éviter l’accumulation de problème d’endettement et de ‘inflation.
Les risques qui pèsent encore sur la croissance mondiale sont le chômage dont l’aggravation ne permet pas encore à la consommation privée de relayer les efforts publics pour soutenir la croissance. La discussion a porté également sur le poids des pays émergents et leur plus grande implication dans la gouvernance du FMI.
Qualifiée de pertinente, l’approche tunisienne pour faire face à la crise a été sous la loupe de la direction du département du FMI. Elle a réitéré le soutien du FMI au programme de réformes initiées par la Tunisie, notamment dans les domaines monétaire et financier.
En marge des travaux du comité, M. Baccar a eu des entretiens avec Olivier Blanchard, économiste en chef du FMI et plusieurs de ses collègues gouverneurs des banques centrales, notamment Christian Noyer, Gouverneur de la Banque de France.
M. Baccar a confirmé le souhait de la Tunisie de voir les quotas et les droits de vote aux pays émergents se renforcer et de voir ces pays mieux impliquées dans le processus de prise de décision.
Par ailleurs, la réunion avec Masood Ahmed, directeur du département Moyen-Orient et des pays d’Asie Centrale, a porté sur l’évolution économique et financière en Tunisie durant l’année 2009 et les perspectives de 2010. M. Baccar a présenté les axes de la startégie mises en place en tunisie, à l’initiative du Président de la République, pour mieux maitriser les effets de la crise sur l’économie tunisienne.
La réunion du comité monétaire et financier international, à laquelle a participé le gouverneur et dans lequel siègent le directeur général de FMI et les ministres et gouverneurs des pays développés et émergents, a axé ses travaux principalement sur la situation économique et financière mondiale de 2009. Les perspectives pour 2010 et la réforme de la gouvernance du FMI étaient également au cœur de cette réunion.
Concernant la situation actuelle de l’économie mondiale, l’accent a été mis sur le fait que l’économie internationale commence à faire apparaitre des signes de redressement. Un consensus s’est dégagé sur la nécessité de ne pas baisser la garde et de poursuivre le programme de relance et de soutien aux économies. Il s’agit de ne pas arrêter les programmes de relance tant qu’il n’y a pas de conviction que le retour à la croissance est irréversible. De même, de ne pas tarder dans la levée des mesures de relances pour éviter l’accumulation de problème d’endettement et de ‘inflation.
Les risques qui pèsent encore sur la croissance mondiale sont le chômage dont l’aggravation ne permet pas encore à la consommation privée de relayer les efforts publics pour soutenir la croissance. La discussion a porté également sur le poids des pays émergents et leur plus grande implication dans la gouvernance du FMI.
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