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Lancement du vol Milan/Tozeur pour les Italiens cherchant lâEUR(TM)exotisme à deux heures de vol
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A partir du 5 novembre prochain, le vol Milan/Tozeur reprend du service à raison de deux fréquences par semaine, le jeudi et le dimanche.
Pour garantir la promotion du vol et du tourisme saharien, la représentation de l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT) et celle de Tunsair à Milan ont organisé un vol inaugural, à l’attention des TO, des agents de voyages et des représentants des médias italiens. Question de donner un avant-goût et du vol et du produit spécifique offert par le tourisme tunisien.
Comme à son accoutumée, Khelil Lâajimi n’a pas raté ce rendez-vous promotionnel important. Il s’est déplacé à Tozeur et a rencontré la presse italienne pour un débat à cœur ouvert sur les spécificités du tourisme saharien, l’offre touristique de la région ainsi que les projets futurs envisagés pour faire du sud tunisien une destination à part entière et surtout un tourisme de séjour.
En communicateur averti, le ministre s’est adressé aux journalistes italiens, dans leur langue, non seulement pour leur souhaiter un agréable séjour à la porte du désert, mais aussi pour répondre à toutes leurs questions concernant le tourisme tunisien, particulièrement, le produit saharien, objet de la rencontre.
« La remise en service du vol Milan/Tozeur permettra de consolider les relations d’amitiés et de coopération entre nos deux pays, de promouvoir un produit touristique unique, offrant un cadre exotique à moins de deux heures de l’Italie, de développer le flux touristique ainsi que les échanges économiques et culturels », a déclaré Khelil Lâajimi.
Et d’ajouter : « Nous comptons sur vous, représentants des médias, pour promouvoir et le vol et le tourisme saharien, dans vos magasines et journaux d’autant plus que le tourisme saharien est un produit hivernal, et que l’on entame la haute saison de la région ».
Complément du tourisme balnéaire, le produit saharien peut très bien s’adapter à une demande d’hommes d’affaires désireux d’effectuer un short break pendant le weekend, ou encore pour organiser des congrès, de l’incentive. « Nous ne sommes pas à la recherche de chiffres mais plutôt à l’amélioration de la qualité de la clientèle », a déclaré le ministre.
Interrogé sur le poids du tourisme dans l’économie tunisienne, le ministre a expliqué aux journalistes italiens que le tourisme est un secteur important pour l’économie nationale. Il représente 7,5% du PIB, emploie directement et indirectement 400 mille personnes, et occupe la seconde position en matière d’entrée de recette en devises dans les échanges de biens et services.
L’administration de tutelle a concocté un programme touristique spécifique à ses hôtes, environ 150 personnes. Objectif : séduction totale pour un résultat efficace d’autant plus que le marché italien, troisième marché de la destination, après la France et l’Allemagne, est en baisse actuellement de 15%.
La Tunisie n’a reçu au cours des neuf premiers mois de l’année 2009 que 450 mille clients. Néanmoins, au regard des prévisions du mois d’octobre et de novembre prochain, Moncef Nasri, représentant de l’ONTT à Milan a indiqué que le marché italien achèverait l’année 2009 avec une baisse d’environ 10%.
Après une suspension de cinq ans, pour des raisons de rentabilité, Tunisair remet le vol Milan/Tozeur en service, tous les jeudis et dimanches.
Du côté des professionnels de l’hôtellerie, Mohamed Belajouza, Président de la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie (FTH), tout en s’excusant de ne pas posséder le même don de parler plusieurs langues, comme le ministre, a souligné l’importance de la nouvelle ligne pour la région de Tozeur et surtout pour les professionnels de l’hôtellerie. Ceux-ci, a-t-il indiqué, sont appelés à redoubler d’efforts pour promouvoir le produit et surtout l’entretenir afin de réussir à instaurer un tourisme de séjour dans la région et non pas un tourisme de passage.
La préservation du vol et son entretien dépendront justement de leurs efforts. Car, en cas de non rentabilité, Tunisair, entreprise publique certes mais commerciale avant tout, à la recherche de rentabilité et de compétitivité, n’aura pas froid aux yeux pour supprimer le vol, encore une fois !
Pour garantir la promotion du vol et du tourisme saharien, la représentation de l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT) et celle de Tunsair à Milan ont organisé un vol inaugural, à l’attention des TO, des agents de voyages et des représentants des médias italiens. Question de donner un avant-goût et du vol et du produit spécifique offert par le tourisme tunisien.
Comme à son accoutumée, Khelil Lâajimi n’a pas raté ce rendez-vous promotionnel important. Il s’est déplacé à Tozeur et a rencontré la presse italienne pour un débat à cœur ouvert sur les spécificités du tourisme saharien, l’offre touristique de la région ainsi que les projets futurs envisagés pour faire du sud tunisien une destination à part entière et surtout un tourisme de séjour.
En communicateur averti, le ministre s’est adressé aux journalistes italiens, dans leur langue, non seulement pour leur souhaiter un agréable séjour à la porte du désert, mais aussi pour répondre à toutes leurs questions concernant le tourisme tunisien, particulièrement, le produit saharien, objet de la rencontre.
« La remise en service du vol Milan/Tozeur permettra de consolider les relations d’amitiés et de coopération entre nos deux pays, de promouvoir un produit touristique unique, offrant un cadre exotique à moins de deux heures de l’Italie, de développer le flux touristique ainsi que les échanges économiques et culturels », a déclaré Khelil Lâajimi.
Et d’ajouter : « Nous comptons sur vous, représentants des médias, pour promouvoir et le vol et le tourisme saharien, dans vos magasines et journaux d’autant plus que le tourisme saharien est un produit hivernal, et que l’on entame la haute saison de la région ».
Complément du tourisme balnéaire, le produit saharien peut très bien s’adapter à une demande d’hommes d’affaires désireux d’effectuer un short break pendant le weekend, ou encore pour organiser des congrès, de l’incentive. « Nous ne sommes pas à la recherche de chiffres mais plutôt à l’amélioration de la qualité de la clientèle », a déclaré le ministre.
Interrogé sur le poids du tourisme dans l’économie tunisienne, le ministre a expliqué aux journalistes italiens que le tourisme est un secteur important pour l’économie nationale. Il représente 7,5% du PIB, emploie directement et indirectement 400 mille personnes, et occupe la seconde position en matière d’entrée de recette en devises dans les échanges de biens et services.
L’administration de tutelle a concocté un programme touristique spécifique à ses hôtes, environ 150 personnes. Objectif : séduction totale pour un résultat efficace d’autant plus que le marché italien, troisième marché de la destination, après la France et l’Allemagne, est en baisse actuellement de 15%.
La Tunisie n’a reçu au cours des neuf premiers mois de l’année 2009 que 450 mille clients. Néanmoins, au regard des prévisions du mois d’octobre et de novembre prochain, Moncef Nasri, représentant de l’ONTT à Milan a indiqué que le marché italien achèverait l’année 2009 avec une baisse d’environ 10%.
Après une suspension de cinq ans, pour des raisons de rentabilité, Tunisair remet le vol Milan/Tozeur en service, tous les jeudis et dimanches.
Du côté des professionnels de l’hôtellerie, Mohamed Belajouza, Président de la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie (FTH), tout en s’excusant de ne pas posséder le même don de parler plusieurs langues, comme le ministre, a souligné l’importance de la nouvelle ligne pour la région de Tozeur et surtout pour les professionnels de l’hôtellerie. Ceux-ci, a-t-il indiqué, sont appelés à redoubler d’efforts pour promouvoir le produit et surtout l’entretenir afin de réussir à instaurer un tourisme de séjour dans la région et non pas un tourisme de passage.
La préservation du vol et son entretien dépendront justement de leurs efforts. Car, en cas de non rentabilité, Tunisair, entreprise publique certes mais commerciale avant tout, à la recherche de rentabilité et de compétitivité, n’aura pas froid aux yeux pour supprimer le vol, encore une fois !
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