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Tunisie - Grippe porcine : 32 cas recensés et la vigilance reste de mise
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La sensibilisation concernant le virus H1N1 a fait l’objet d’une rencontre d’information organisée par le ministère de la Santé publique. Elle s’est déroulée mardi 18 août 2009 en présence de Mondher Zenaïdi, ministre de la Santé publique.
M. Zenaïdi a indiqué que la prévention commence par le suivi de la situation mondiale surtout dans l’hémisphère sud où la pandémie sévit actuellement. La vigilance et la prévention sont les deux axes essentiels de la stratégie du ministère.
Au volet de la vigilance, au niveau des frontières, des instruments de mesure à distance de la température ont été mis en place pour détecter tous les cas suspects. A cet effet, tout voyageur détecté porteur du virus est immédiatement isolé.
Les 32 cas recensés en Tunisie étaient des cas bénins et sans gravité. Les deux tiers d’entre eux sont des étrangers, le reste étant des Tunisiens résidant à l’étranger ou ayant séjourné hors des frontières nationales. D’ailleurs, 80% des contaminés ont suivi un traitement chez eux, en respectant bien sûr certaines indications sanitaires pour ne pas contaminer le reste de la famille.
En effet, les symptômes du virus H1N1 sont très comparables à ceux de la grippe normale. Le traitement est presque le même : du paracétamol et du repos. Mais, contrairement à la grippe normale, le H1N1 est très contagieux. Seul les cas graves sont soignés par Tamiflu et/ou hospitalisés. En général, ce sont les personnes faibles qui développent la variante grave de la maladie : les personnes âgées, les enfants, les femmes enceintes, les malades chroniques…
Côté prévention, le ministère de la Santé publique effectue des analyses à tous les cas suspects surtout pour ceux qui ont été en contact avec des personnes ayant séjourné à l’étranger. Cette prévention a permis de contenir l’affection à seulement 32 cas à la date du 10 août 2009.
Les efforts du ministère se poursuivent. Un plan d’action est mis en place pour faire face à des contaminations multiples. Des cas sans gravité ont été hospitalisés pour tester les limites de cette procédure en cas réel et l’améliorer. En outre, le ministère a commandé le vaccin contre le H1N1. Mondher Zeneïdi espère que la Tunisie sera parmi les premiers pays à en disposer. Le vaccin sera fourni en priorité aux personnes à risque.
En outre, le ministre a insisté sur l’importance du vaccin contre la grippe normale qui est certes différent de celui du virus H1N1 mais tout aussi important. Début septembre, 300.000 à 400.000 vaccins seront disponibles.
M. Zenaïdi a indiqué que la prévention commence par le suivi de la situation mondiale surtout dans l’hémisphère sud où la pandémie sévit actuellement. La vigilance et la prévention sont les deux axes essentiels de la stratégie du ministère.
Au volet de la vigilance, au niveau des frontières, des instruments de mesure à distance de la température ont été mis en place pour détecter tous les cas suspects. A cet effet, tout voyageur détecté porteur du virus est immédiatement isolé.
Les 32 cas recensés en Tunisie étaient des cas bénins et sans gravité. Les deux tiers d’entre eux sont des étrangers, le reste étant des Tunisiens résidant à l’étranger ou ayant séjourné hors des frontières nationales. D’ailleurs, 80% des contaminés ont suivi un traitement chez eux, en respectant bien sûr certaines indications sanitaires pour ne pas contaminer le reste de la famille.
En effet, les symptômes du virus H1N1 sont très comparables à ceux de la grippe normale. Le traitement est presque le même : du paracétamol et du repos. Mais, contrairement à la grippe normale, le H1N1 est très contagieux. Seul les cas graves sont soignés par Tamiflu et/ou hospitalisés. En général, ce sont les personnes faibles qui développent la variante grave de la maladie : les personnes âgées, les enfants, les femmes enceintes, les malades chroniques…
Côté prévention, le ministère de la Santé publique effectue des analyses à tous les cas suspects surtout pour ceux qui ont été en contact avec des personnes ayant séjourné à l’étranger. Cette prévention a permis de contenir l’affection à seulement 32 cas à la date du 10 août 2009.
Les efforts du ministère se poursuivent. Un plan d’action est mis en place pour faire face à des contaminations multiples. Des cas sans gravité ont été hospitalisés pour tester les limites de cette procédure en cas réel et l’améliorer. En outre, le ministère a commandé le vaccin contre le H1N1. Mondher Zeneïdi espère que la Tunisie sera parmi les premiers pays à en disposer. Le vaccin sera fourni en priorité aux personnes à risque.
En outre, le ministre a insisté sur l’importance du vaccin contre la grippe normale qui est certes différent de celui du virus H1N1 mais tout aussi important. Début septembre, 300.000 à 400.000 vaccins seront disponibles.
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