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Examen de la 6ème : pour rectifier son erreur, le ministère de lâEUR(TM)Education choisit la solution de facilité
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Dans notre édition d’hier, nous rapportions qu’il y avait une erreur dans l’énoncé de l’examen national d’entrée dans les collèges pilote. (cliquer ici pour lire l'article)
Les jeunes élèves ont été surpris de devoir résoudre, durant l’examen, un problème dont l’énoncé stipulait que la largeur est plus longue que la longueur !
Croyant faire face à un piège, ils se sont affolés, ne trouvant personne pour les réconforter.
Pour rectifier le tir, le ministère de l’Education et de la Formation a annoncé que l’exercice numéro trois, objet de l’erreur, ne sera pas comptabilisé dans le barème.
Or, estiment plusieurs professeurs, cette solution est une solution de facilité et il aurait mieux valu refaire l’examen ou trouver une autre alternative. Selon ces professeurs, les jeunes élèves (dont l’âge tourne autour de douze ans) ont été fortement perturbés par cette erreur dans l’énoncé, ce qui s’est répercuté négativement sur tout l’examen.
Plusieurs, parmi eux, ont en effet opté pour résoudre le troisième exercice avant le reste, ce qui leur a fait perdre beaucoup de temps et causé beaucoup de stress.
Quand bien même l’exercice, objet de l’erreur, n’est pas comptabilisé, il est injuste de ne pas prendre en considération ces perturbations psychologiques dont seul le ministère est responsable, estiment ces professeurs.
Les jeunes élèves ont été surpris de devoir résoudre, durant l’examen, un problème dont l’énoncé stipulait que la largeur est plus longue que la longueur !
Croyant faire face à un piège, ils se sont affolés, ne trouvant personne pour les réconforter.
Pour rectifier le tir, le ministère de l’Education et de la Formation a annoncé que l’exercice numéro trois, objet de l’erreur, ne sera pas comptabilisé dans le barème.
Or, estiment plusieurs professeurs, cette solution est une solution de facilité et il aurait mieux valu refaire l’examen ou trouver une autre alternative. Selon ces professeurs, les jeunes élèves (dont l’âge tourne autour de douze ans) ont été fortement perturbés par cette erreur dans l’énoncé, ce qui s’est répercuté négativement sur tout l’examen.
Plusieurs, parmi eux, ont en effet opté pour résoudre le troisième exercice avant le reste, ce qui leur a fait perdre beaucoup de temps et causé beaucoup de stress.
Quand bien même l’exercice, objet de l’erreur, n’est pas comptabilisé, il est injuste de ne pas prendre en considération ces perturbations psychologiques dont seul le ministère est responsable, estiment ces professeurs.
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