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Tunisie : une économie solidaire pour réconcilier lâEUR(TM)économique et le social
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Cohésion, solidarité, et projet collectif, tel est le mot d’ordre de la conférence nationale : « l’économie solidaire » qui s’est tenue mardi 14 avril à Tunis.
Partant de la définition même du terme « économie solidaire », les participants ont mis en exergue l’originalité de cette économie basée essentiellement sur une organisation interne de type associatif, une finalité sociale , et un métissage de ses ressources, puisées essentiellement dans les aides publiques.
Ils ont surtout présenté l’expérience tunisienne en matière d’économie solidaire : un concept de solidarité qui est devenu aujourd’hui synonyme de soutien au développement durable.
Qu’est ce qu’une économie solidaire ? Le concept de l’économie solidaire a été fondé pour dépasser l’horizon de l’économie capitaliste de marché, qui se révèle incapable d’assurer les régulations économiques et sociales.
L’économie solidaire propose une recomposition des rapports entre économique et social.
Il s’agit d’une dimension de mixité avec une volonté individuelle et collective d’entreprendre, ce sont des personnes qui s’associent librement pour mener en commun des actions qui contribuent à la création d’activités économiques et surtout la création d’emplois.
En un mot, L’originalité de l’économie solidaire est la possibilité d’une large démocratisation de l’économie.
Ouvrant ce forum sur l’économie solidaire, Rafaa Dkhil , ministre chargé de la Communication et des Relations avec la Chambre des députés et la Chambre des conseillers, s’est félicité des acquis réalisés par la Tunisie dans le cadre de l’économie solidaire et qui constitue un axe stratégique de la politique économique.
En effet, Pour mener à bien la concrétisation de cette économie solidaire , l’Etat a mis sur pied plusieurs mécanismes dont le fonds de solidarité nationale ( FSN 26-26), le fonds national de l’emploi , la banque tunisienne de solidarité, la BTS.
L’économie solidaire met l’entraide mutuelle et la réciprocité au cœur de l’action économique, elle trouve un large écho auprès de réseaux appartenant à la société civile, qui par leur engagement contribuent à la production de biens et de services et à l’approfondissement de la démocratie.
L’expérience tunisienne est très riche en matière de solidarité : toute une panoplie de mécanismes destinés à concrétiser cette approche humaniste, et à doter les régions défavorisées des commodités indispensables à une vie digne et décente.
la BTS a accordé 105 000 crédits d’un montant de 545.5 MD, le coût total des projets réalisés est de 676.3 MD, en plus, 164 711 emplois ont été créés et ce entre le mois d’août 1998 et le mois de septembre 2008.
Les associations de développement sont au nombre de 249.
284 700 crédits ont été accordés, à l’aide d’un montant total de 232 660 MD.
Ces chiffres qui ont été présentés par le doyen de la faculté des sciences économiques et de gestion de Tunis, Messaoud Boudhiaf. Il reflète le champ très étendu de l’économie solidaire de la politique tunisienne.
Ezzedine Aboub, professeur à la faculté des sciences économiques et de gestion de Tunis a analysé et expliqué la genèse de la crise économique et financière actuelle. Il a également développé la thèse de l’économie sociale et solidaire comme alternative à la crise économique mondiale actuelle.
Une gouvernance macroéconomique mondiale s’impose afin d’empêcher les bulles spéculatives.
Il faut qu’il y ait une régulation de l’économie financière. Il faut qu’il y ait une transparence dans les transactions financières et une réglementation des produits financiers les plus sophistiqués !
Tous les intervenants ont été unanimes à saluer l’expérience avant-gardiste de la Tunisie en matière d’économie sociale et solidaire. Cette politique a contribué à renforcer la cohésion sociale par de nombreux rapports sociaux de solidarité, à améliorer la croissance et à assurer sa régularité.
Partant de la définition même du terme « économie solidaire », les participants ont mis en exergue l’originalité de cette économie basée essentiellement sur une organisation interne de type associatif, une finalité sociale , et un métissage de ses ressources, puisées essentiellement dans les aides publiques.
Ils ont surtout présenté l’expérience tunisienne en matière d’économie solidaire : un concept de solidarité qui est devenu aujourd’hui synonyme de soutien au développement durable.
Qu’est ce qu’une économie solidaire ? Le concept de l’économie solidaire a été fondé pour dépasser l’horizon de l’économie capitaliste de marché, qui se révèle incapable d’assurer les régulations économiques et sociales.
L’économie solidaire propose une recomposition des rapports entre économique et social.
Il s’agit d’une dimension de mixité avec une volonté individuelle et collective d’entreprendre, ce sont des personnes qui s’associent librement pour mener en commun des actions qui contribuent à la création d’activités économiques et surtout la création d’emplois.
En un mot, L’originalité de l’économie solidaire est la possibilité d’une large démocratisation de l’économie.
Ouvrant ce forum sur l’économie solidaire, Rafaa Dkhil , ministre chargé de la Communication et des Relations avec la Chambre des députés et la Chambre des conseillers, s’est félicité des acquis réalisés par la Tunisie dans le cadre de l’économie solidaire et qui constitue un axe stratégique de la politique économique.
En effet, Pour mener à bien la concrétisation de cette économie solidaire , l’Etat a mis sur pied plusieurs mécanismes dont le fonds de solidarité nationale ( FSN 26-26), le fonds national de l’emploi , la banque tunisienne de solidarité, la BTS.
L’économie solidaire met l’entraide mutuelle et la réciprocité au cœur de l’action économique, elle trouve un large écho auprès de réseaux appartenant à la société civile, qui par leur engagement contribuent à la production de biens et de services et à l’approfondissement de la démocratie.
L’expérience tunisienne est très riche en matière de solidarité : toute une panoplie de mécanismes destinés à concrétiser cette approche humaniste, et à doter les régions défavorisées des commodités indispensables à une vie digne et décente.
la BTS a accordé 105 000 crédits d’un montant de 545.5 MD, le coût total des projets réalisés est de 676.3 MD, en plus, 164 711 emplois ont été créés et ce entre le mois d’août 1998 et le mois de septembre 2008.
Les associations de développement sont au nombre de 249.
284 700 crédits ont été accordés, à l’aide d’un montant total de 232 660 MD.
Ces chiffres qui ont été présentés par le doyen de la faculté des sciences économiques et de gestion de Tunis, Messaoud Boudhiaf. Il reflète le champ très étendu de l’économie solidaire de la politique tunisienne.
Ezzedine Aboub, professeur à la faculté des sciences économiques et de gestion de Tunis a analysé et expliqué la genèse de la crise économique et financière actuelle. Il a également développé la thèse de l’économie sociale et solidaire comme alternative à la crise économique mondiale actuelle.
Une gouvernance macroéconomique mondiale s’impose afin d’empêcher les bulles spéculatives.
Il faut qu’il y ait une régulation de l’économie financière. Il faut qu’il y ait une transparence dans les transactions financières et une réglementation des produits financiers les plus sophistiqués !
Tous les intervenants ont été unanimes à saluer l’expérience avant-gardiste de la Tunisie en matière d’économie sociale et solidaire. Cette politique a contribué à renforcer la cohésion sociale par de nombreux rapports sociaux de solidarité, à améliorer la croissance et à assurer sa régularité.
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