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Météo - Tunisie : légère baisse des températures, mer très agitée
L’Institut national de la météorologie (INM) annonce un temps généralement peu nuageux pour ce samedi 28 juin 2025, avec des passages nuageux plus marqués sur les régions côtières du nord.
Les vents souffleront du nord, forts près des côtes et sur les hauteurs, mais resteront faibles à modérés dans le reste du pays. La mer sera très agitée.
Côté températures, une légère baisse est prévue. Les maximales varieront entre 28 et 32°C sur les côtes nord et les zones montagneuses, et entre 33 et 39°C dans le reste du pays. Dans le sud-ouest, elles pourraient grimper jusqu’à 43°C, accompagnées localement de vents de sirocco.
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1
Commentaires
HatemC
Aucune stratégie, ce pays navigue à vue
a posté le 28-06-2025 à 15:06
Absence de stratégie sérieuse d'adaptation climatique en Tunisie, malgré une vulnérabilité structurelle aux vagues de chaleur extrême.
Climat extrême, inaction extrême
La Tunisie subit régulièrement des températures dépassant les 45°C, avec des sécheresses prolongées, un stress hydrique chronique, une désertification galopante ' mais sans réponse structurelle d'envergure.
Aucun plan d'adaptation climatique cohérent n'a été mis en '?uvre :
' pas de reboisement massif,
' pas de politique de végétalisation urbaine,
' pas d'urbanisme climatique,
' et encore moins d'isolation thermique ou architecture bioclimatique intégrée dans les normes de construction.
Médias et discours officiels : le vide
Les bulletins météo se limitent à 'demain il fera chaud'?' sans aucune contextualisation climatique.
Aucune pression médiatique sérieuse n'est exercée sur les responsables. L'approche reste mécanique, dépolitisée, comme si ces canicules étaient des faits anodins, cycliques, sans lien avec les dérèglements globaux et surtout, sans implication politique locale.
Une 'écologie d'affichage'?'
Des promesses creuses : annonces de plans verts, journées de l'arbre ou campagnes sur les réseaux sociaux ' sans suite.
Des projets internationaux existent (financements climat, COP, etc.), mais restent souvent captés par une technocratie sans vision ou détournés.
Résultat : des villes sans ombre, sans arbres, sans toits végétalisés, alors que le moindre parc ou corridor vert pourrait abaisser localement de 2 à 4 degrés.
Ce qu'une stratégie d'adaptation devrait inclure
Urbanisme vert : végétalisation massive, parcs, arbres d'ombrage, toitures vertes, interdiction des surfaces bitumées inutiles.
Architecture bioclimatique : généralisation de la construction passive, interdiction des façades vitrées non isolées, rénovation thermique du bâti.
Politique de l'eau : récupération des eaux pluviales, dessalement intelligent, traitement et réutilisation des eaux grises.
'?ducation et sensibilisation : campagnes publiques sur les gestes de survie en cas de canicule, formations pour les élus et urbanistes.
Planification territoriale : décentralisation climatique, stratégies locales adaptées aux zones rurales, côtières ou montagneuses.
'? En résumé
La Tunisie subit mais ne construit rien.
Ce vide stratégique en matière d'adaptation est un symptôme d'un '?tat désengagé, sans volonté politique, ni vision environnementale. L'écologie reste perçue comme un luxe ou un gadget, alors qu'elle devrait être le c'?ur de la résilience nationale.
Climat extrême, inaction extrême
La Tunisie subit régulièrement des températures dépassant les 45°C, avec des sécheresses prolongées, un stress hydrique chronique, une désertification galopante ' mais sans réponse structurelle d'envergure.
Aucun plan d'adaptation climatique cohérent n'a été mis en '?uvre :
' pas de reboisement massif,
' pas de politique de végétalisation urbaine,
' pas d'urbanisme climatique,
' et encore moins d'isolation thermique ou architecture bioclimatique intégrée dans les normes de construction.
Médias et discours officiels : le vide
Les bulletins météo se limitent à 'demain il fera chaud'?' sans aucune contextualisation climatique.
Aucune pression médiatique sérieuse n'est exercée sur les responsables. L'approche reste mécanique, dépolitisée, comme si ces canicules étaient des faits anodins, cycliques, sans lien avec les dérèglements globaux et surtout, sans implication politique locale.
Une 'écologie d'affichage'?'
Des promesses creuses : annonces de plans verts, journées de l'arbre ou campagnes sur les réseaux sociaux ' sans suite.
Des projets internationaux existent (financements climat, COP, etc.), mais restent souvent captés par une technocratie sans vision ou détournés.
Résultat : des villes sans ombre, sans arbres, sans toits végétalisés, alors que le moindre parc ou corridor vert pourrait abaisser localement de 2 à 4 degrés.
Ce qu'une stratégie d'adaptation devrait inclure
Urbanisme vert : végétalisation massive, parcs, arbres d'ombrage, toitures vertes, interdiction des surfaces bitumées inutiles.
Architecture bioclimatique : généralisation de la construction passive, interdiction des façades vitrées non isolées, rénovation thermique du bâti.
Politique de l'eau : récupération des eaux pluviales, dessalement intelligent, traitement et réutilisation des eaux grises.
'?ducation et sensibilisation : campagnes publiques sur les gestes de survie en cas de canicule, formations pour les élus et urbanistes.
Planification territoriale : décentralisation climatique, stratégies locales adaptées aux zones rurales, côtières ou montagneuses.
'? En résumé
La Tunisie subit mais ne construit rien.
Ce vide stratégique en matière d'adaptation est un symptôme d'un '?tat désengagé, sans volonté politique, ni vision environnementale. L'écologie reste perçue comme un luxe ou un gadget, alors qu'elle devrait être le c'?ur de la résilience nationale.
