L'enfant a ghannouchien, il a été éduqué par les Nahdhaouis, il ne faut jamais oublier l'éducation de Karim Abdessalem par les islamistes aujourd'hui Karim Abdessalem a énormément de regrets pour le mal qui a fait à des innocents

Aucune imagination, chaque candidat pense qu'en portant une cravate rouge, il donne une image de serieux, c'est Trump qui a inventé ce look de cravate rouge et costume bleu. Ce type même s'il porte une dizaine de cravates, la majorité des tunisiens sait que c'est un pur islamiste qui est déjà accusé dans plusieurs meurtres daboussi t les militants belaid et Brahimi et d'autres actes terroristes.

Mekki, un apparatchik de la secte qui voudrait devenir président, c'est admettre de loger le renard dans le poulailler.
En attendant, on affûte, peaufine, prédit et annonce des lendemains menaçants....
Le vent tourne ou la girouette le précéde?
Quand la confusion règne, on atteint au sublime.

Moi-même j'ai promis de réélire le président Kaïs Saïed, lors de la prochaine présidentielle du 6 octobre prochain. Toutefois, il s'avère que les rouages de ces élections présidentielles, manquent beaucoup de ses dents d'engrenage nécessaires pour le bon déroulement de telles échéances électorales en Tunisie. Tout tourne dans le vide autour des pauvres candidats à la présidentielle. Seul le président Kaïs Saïed, n'a rien à craindre ni du côté de l'ISIE, ni du côté du ministère de l'Intérieur, ni de l'ensemble de la jurisprudence tunisienne, ni même du côté de l'armée nationale ou du côté du parlement ARP 22. Le seul "haro sur le baudet" ne trouve lieu que contre toute la centaine de concurrents à l'actuel président de la République tunisienne. Un vrai cauchemar qui ne pourra léguer une vraie légitimité à l'actuel président Kaïs Saïed, pour les cinq prochaines années. Cela me rappelle le match qu'ils ont voulu gagner de nuit, en ayant éteint les projecteurs du stade de Radès. Ce match est resté la risée éternelle de l'histoire sportive en Tunisie.
Nous voulons un président Kaïs Saïed, réélu avec dignité, avec honnêteté, avec transparence et avec égalité de chance vis-à-vis de ses concurrents pour les prochaines élections du 6 octobre prochain. Et que le meilleur gagne.
Sinon, à quoi serviront des élections dont se moquent les Tunisiens et les étrangers en harmonie totale avec la théorie de la tricherie, de l'escroquerie et de l'illégitimité de ces élections théâtrales.
Allah yostir Tounes.

Certains commentateurs se réjouissent de ce massacre de la démocratie et des concurrents de leur idole. Cependant, comme leur idole, ils ne semblent pas se rendre compte que la situation deviendra ainsi beaucoup plus risquée pour eux. Parce que si M. Nadhif et ses amis quittent la scène de manière démocratique, ils pourraient avoir une chance de se sauver et de sauver le pays. Si au contraire ces messieurs préfèrent recourir à l'abus de pouvoir, au despotisme et à la violence aveugle (et c'est précisément ce qui se passe), la seule voie qu'ils emprunteront est celle d'une autre révolution ou d'une véritable guerre civile. Les problèmes économiques de la Tunisie vont s'aggraver immédiatement après les élections, quoi qu'il arrive. Avec un consensus qui ne dépasse pas 13 % de la population (comme l'ont démontré les différentes élections et référendums précédents), ils ont une chance sur dix de pouvoir se maintenir au pouvoir pendant les cinq prochaines années. Les très redoutées émeutes du pain des années 1980 apparaîtront alors comme un doux souvenir à ceux qui devront gouverner ce pays. Aussi parce que leur incompétence, face à des problèmes bien moins graves, a déjà été amplement démontrée. Qu'ils continuent à se surestimer et à se considérer comme les satrapes tout-puissants de ce petit univers : ils ne font que creuser leur propre tombe (politique) de leurs propres mains.

C'est une question de temps. Quelques mois, une ou deux années tout au plus. Et puis?
Il sera alors très facile pour n'importe quelle puissance étrangère, occidentale ou orientale, de lancer une nouvelle colonisation et de s'emparer officieusement du pays. C'est ainsi que nous enseignent les sciences : histoire, logique, mathématiques, économie, géopolitique. Les contes de fées que nous racontent certains commentateurs sur la souveraineté et la dignité seront bientôt démentis, hélas, par la brutalité des événements.

le tribunal est soumis à KS; une fausse justice

La Tunisie n'a pas de justice indépendante et n'a pas de juges courageux, ce n'est pas le Sénégal. On va finir avec Saied seul condidat contre son ombre, koul wa tayir garnik. C'est un viol de la volonté du peuple de choisir son président, c'est le deuxième putsch après celui de 2021 et on vient nous parler d'Intégrité et de ndhafa. Il y a pas plus corrumpue que de confisquer le choix de l'electeur.

Au suivant ! Les rejets se suivent et se ressemblent

Tous les recours seront REJETés en première instance et en appel. ILLI BAADOU.