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Deux mendiantes jugées pour traite d’êtres humains
31/10/2023 | 11:23
1 min
Deux mendiantes jugées pour traite d’êtres humains

 

La porte-parole du tribunal de première instance de la Manouba, Sondes Nouioui, est intervenue, mardi 31 octobre 2023, dans l’émission « Sbeh Enness » diffusée sur Mosaïque FM.

Elle a révélé, au micro de Jihen Ben Miled, que le ministère public a décidé d’ouvrir une enquête pour traite d’êtres humains à l’encontre de deux femmes qui utilisaient des enfants pour mendier dans la rue. Le juge d’instruction a décidé plus tard d’émettre un mandat de dépôt à l’encontre des deux suspectes.

« Dans la loi, nous avons des textes qui criminalisent la mendicité, d’autres qui criminalisent l’utilisation des enfants pour mendier aussi celui relatif à la traite des personnes et c’est ce texte de loi qui a été adopté dans le cadre de cette affaire. La situation des enfants et la négligence constatée a fait que nous avons estimé qu’il ne s’agissait pas d'un simple délit », a ajouté Mme Nouioui.

 

M.B.Z

31/10/2023 | 11:23
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Commentaires
FB
Interdire la mendicite
a posté le 31-10-2023 à 17:03
Il faut absolument interdire la mendicite qui est devenue un fleau en tunisie. Nous sommes harceles par des hordes de mendiants partout, dans la rue, les cafés, les feux rouges....partout. la plupart des mendians sont en bonne sante et ne veulent pas travailler, ils preferent arnaquer les gens. Il faut punir ces mendiants severement. Meme les subsahariens commencent a mendier!!!!
Sherlock Homss
Allez, au boulot
a posté le 31-10-2023 à 13:41
Il faudrait, un jour ou l'autre organiser une grande "rafle" sur le grand Tunis et embarquer sans aucun ménagement, voire même à coups de pieds là où je pense ou sous une volée de matraque tous ces faux mendiants, pseudo-handicapés, loueurs d'enfants en bas âge, mineurs en haillons "sur mesure", "laveurs" de pare-brises ou "vendeurs de mouchoirs" aux feux de stationnement et surtout gardiens de voitures agressifs dans des "parkings" inexistants.
Tous ces individus doivent sans aucun doute collecter quotidiennement des fortunes pour se bousculer sur tous les "points rentables" de la mendicité.
Alors que les pouvoirs publics "tapent dans le tas" comme ils l'ont fait dernièrement Place Barcelone ou rue Charles de Gaulle pour dégager tous les parasites qui s'y étaient installés.