
Nadia Chaouachi, avocate de l'ancien premier président de la Cour de cassation, Taieb Rached, a assuré, lundi 13 février 2023, lors de son intervention dans l’émission Rendez-vous 9 sur la chaîne Attessia animée par Malek Baccari, que l’affaire de son client n’a rien à voir avec le complot contre la sûreté de l’Etat et n’est pas en lien avec la série d’arrestations opérée ce week-end.
Nadia Chaouachi affirme : « Normalement, il aurait fallu qu’une source officielle s’exprime sur l’affaire et donne les détails. Personnellement, je ne suis pas habilitée pour parler d’une affaire en cours devant la justice. Tout ce que je peux dire c’est que l’affaire n’a rien à voir avec le complot contre la sûreté de l’Etat ou avec des anciens dossiers. L’affaire est récente et le nom de mon client a été cité ».
L’avocate ajoute qu’une unité sécuritaire s’est rendue au domicile de Taïeb Rached. « Les agents ont fouillé sa demeure. Il n’a pas contesté et il les a accompagnés de son propre gré ».
D’autre part, elle considère que son client n'a pas à être placé en garde à vue dans la mesure où il n’a pas été pris en flagrant délit et qu’il n’a pas été cité à comparaître auparavant. Toutefois, elle a noté qu’elle avait été autorisée à accompagner son client et à être présente avec lui, contrairement aux autres personnalités arrêtées durant le week-end.
L'ancien premier président de la Cour de cassation, Taieb Rached, a été, également, arrêté, dimanche 12 février 2023.
En novembre 2020, le Conseil de l’ordre judiciaire a ordonné la levée de l’immunité du premier président de la Cour de cassation à la demande du Parquet près le Tribunal de première instance de Tunis, chargé d'enquêter sur les données fuitées au sujet de l'assassinat de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, de corruption et terrorisme.
S.H
La police arrête un homme, et cela est qualifié d'enlèvement.
Si l'on voulait creuser un peu, on peut y entendre que police est synonyme de bandes, de voyous, de malfrats.
Tant de travestissement de la réalité est une pratique coutumière de Ennahdha et ses suiveurs.
Lesquels ne cessent de nous parler de démocratie.
La police, faut-il le rappeler est une institution commune dans les démocraties, et il ne vient à l'idée d'aucun démocrate de l'assimiler à une bande.
Incorrigibles islamistes, même les pieds dans le caca, ils croient encore disposer du pouvoir de nommer le réel.
Cette séquence est en voie de forclusion.
Et c'est tant mieux !
Drôles de procédés !!!
Le pouvoir, la justice, la police...nous distraient avec leur danse du ventre (arrestations, kidnappings, disparitions, ...) et le peuple, l'opinion demeurent spectateurs.
Tout se passe en secret.
Drôle de façon de gérer les affaires du peuple.
" Le peuple veut "...!
Quel mépris et quelle hypocrisie !!!
Un slogan coquille vide puisque ce peuple n'a pas le droit de savoir ce qui se passe, ce qui se trame dans pays qui lui devenu étranger.
" Le peuple veut... évidemment, il veut tout savoir (la vérité) dans un pays complètement ruiné, perdu et totalement désorienté.
Radio trottoir...au secours SVP.

