
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, vendredi 20 janvier 2023, sa cheffe du gouvernement, Najla Bouden, la ministre des Finances, Sihem Nemsia et le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Marouane El Abassi, à leur retour du forum de Davos.
Après avoir discuté des résultats de la participation de la délégation tunisienne à Davos, le chef de l’État a assuré aux présents que seul le peuple tunisien était capable de diagnostiquer la situation, lit-on dans le communiqué de Carthage. Kaïs Saïed a ajouté, dans ce sens, que le peuple tunisien avait effectivement diagnostiqué la situation et qu’il était capable de se soigner par soi-même.
D’après le communiqué de la présidence de la République, plusieurs autres dossiers avaient été débattus, à l’occasion, telles que les affaires de corruption dans plusieurs secteurs. Le chef de l’État a insisté sur « la nécessité de faire face aux corrompus qui se croient au-dessus des lois », notant, par ailleurs, que les responsables qui gèrent les institutions publiques doivent assumer leurs responsabilités pour assurer le bon fonctionnement normal de ces établissements.
N.J.

Et oublier cette idée folle de vouloir offrir des terres agricoles à des particuliers, une conception qui fut l'une des plus grandes erreurs dans un passé récent, car une terre domaniale appartient à l'état et ne peut inéluctablement être exploitée que par l'état et ce sous forme de sociétés.
Et puis de réduire la consommation excessive des carburants, en commençant par réduire le nombre des taxis à Tunis la capitale et les remplacer par le transport public tel que le bus, le métro ou le train dont leur nombre est insuffisant et que leurs états vétustes sont à réviser et nécessitent un entretien.
Sans parler des recrutements abusifs dans la fonction publique à Tunis qui doivent être réduits en urgence et destiner vers la formation professionnelle en vue de les ou du moins au start-up et une réorientation étudiée.
Si on lit au mot à mot et avec un préjugé de négativisme, on pourra se permettre de dire que le peuple va se mettre demain matin à faire les diagnostics dans les cafés capucin sur table, ou autour de sahfat lablabies pour tracer l'avenir du pays !!!
Regarder la lune elle vous portera espoir !! Travailler et travailler ça donnera fruit ..
Seul le travail paye . '?vitons les esprits négatifs et destructeurs '?'
Encore une phrase vide de sens à l'intention des incultes du pays.
Après l'euphorie de la révolution du jasmin, réalisée grâce à un acte d'un désespérant, le peuple tunisien a, à un moment historique, cru à sa bonne étoile tant attendue.
Malheureusement, le constat est sans appel.
Depuis 1956, date d'une indépendance confisquée, le peuple s'est fait avoir à chaque fois par des opportunistes et des arrivistes sans foi ni loi.
L'échec cuisant du processus démocratique qui, au lieu de hisser le pays vers un nouveau projet sociétal fiable, a détruit toutes les espérances d'un peuple éternellement désabusé.
Le régime politique accouché par la constitution de 2014 s'est avéré erroné dans la mesure où le partage du pouvoir ( entre Ghannouchi et Essebsi ) a créé plus de problèmes que de solutions.
De l'émergence d'un modèle démocratique innovant dans un monde arabe aux abois, la Tunisie est devenue la risée du monde car tous les acquis démocratiques issus de la révolution disparaissent les un après les autres.
Aujourd'hui, nous n'avons qu'une coquille vide abandonnée au bord du rivage.
Le comble, nous avons élu par défaut un president, qui grâce à une constitution mal conçue et défaillante, qui a fini par s'accaparer le pouvoir et ainsi enfoncer davantage un pays en ruines.
Le pire,par sa naïveté, par son ameuterisme, par son aveuglement, par son obsession du pouvoir, il s'imagine bien faire alors que le bateau coule à la vitesse du vent vers le fonds.
Aujourd'hui, le pays vit au ralenti, la dynamique est en rade, les problèmes s'accumulent,..et personne ne sait en quoi sera demain.
La question: que faire au lieu de rester spectateur.
Certes, a dernière séance du scénario est déjà achevée mais demain...!!!!
S'il n'y a que le peuple qui peut diagnostiquer, il sert à quoi notre clown en chef ?
Ce fut sûrement vrai, il y a 2000 ans. Mais tout a bien changé depuis, aujourd'hui le peuple peut avoir un avis. De là à poser un diagnostic, il y a un monde...
Non Monsieur !
Le diagnostic est fait.
Seuls 8 à 11 pour cent des citoyens ont participé aux dernières élections.
C'est là un signe.
Les tunisiens ont élu un président pour s'occuper des affaires du pays. Si ce dernier est impuissant, qu'il est incapable d'assumer, il doit alors dégager !
Qui pourrait nous expliquer de quel peuple nous parle notre président de la république!!!
C'est effrayant de bêtise. Il est vraiment bête. Comment a-t-il pu enseigner?