
La cheffe du gouvernement Najla Bouden, le ministre de l’Éducation, Fathi Sellaouti, ses homologues de la Défense et des Affaires sociales, Imed Memmiche et Malek Zahi, respectivement, ainsi que le bâtonnier des avocats, Hatem Mziou ont été sur la liste des personnes convoquées au palais de Carthage vendredi 28 octobre 2022.
Quelques-uns ont eu droit au rabâchage présidentiel, d’autres à des compliments. C’est ce que nous avons appris grâce à la série de communiqués publiés sur Facebook par la présidence de la République tard dans la nuit de vendredi à samedi 29 octobre 2022.
Malek Zahi semble avoir été le premier à se rendre auprès du chef de l’État, selon l’ordre chronologique de publications sur la page de la présidence. Kaïs Saïed et son ministre des Affaires sociales ont discuté du rôle du département dans l’appui des démunis. Le locataire de Carthage a rappelé le rôle social de l’État et a souligné la nécessité de consacrer sur le terrain le droit à la santé et à la couverture sociale notant que les « Tunisiens appellent à l’application des lois dans leurs protestations ».
Le ministre de la Défense, deuxième à s’attabler – toujours selon l’ordre chronologique des publications sur Facebook – a eu droit à des éloges. Le président de la République a, selon le communiqué de la présidence, salué les réalisations de l’institution militaire dans la protection du territoire tunisien de toute attaque et le soutien qu’elle a apporté dans les domaines de la santé, de l’éducation, entre autres. Il a affirmé la nécessité d’équiper convenablement les forces armées afin de leur permettre d’exécuter leur mission dans des conditions optimales.
Au tour du bâtonnier des avocats ! Hatem Mziou a eu l’occasion de voir noir sur blanc « les grandes étapes, positions historiques et ouvrages » qui ont marqué l’histoire de la profession. Le chef de l’État a, à l’occasion, fait joliment encadrer un document historique contenant la liste des avocats auprès de la Cour d’appel.
Il a, par ailleurs, rappelé au bâtonnier le rôle des avocats dans l’instauration de la justice et la consolidation de la notion de la loi et celui de l’Ordre dans la préservation de l’indépendance de ce corps de métier.
Kaïs Saïed a, lors de cette rencontre, ressorti son discours habituel sur le combat de la Tunisie contre les « traîtres » qui, à son sens, œuvrent pour détruire l’État et ses institutions et à duper le peuple.
Vient ensuite la cheffe du gouvernement, Najla Bouden. Dans sa posture classique, elle a attentivement écouté le président de la République parler des finances publiques et de la nécessité de conjuguer les efforts pour combler le gigantesque trou financier dans le budget de l’État.
Kaïs Saïed a, dans ce sens, évoqué la nécessité de mettre en application les textes de lois susceptibles de protéger les institutions de l’État notant que « plusieurs indicateurs témoignent des tentatives visant à faire imploser l’État (…) à travers les forces étrangères qui se vantent de leur ingérence dans les affaires de la Tunisie et piétinent sa souveraineté ».
Selon le chef de l’État, les libertés sont garanties mais le Parquet doit jouer son rôle et les tribunaux doivent appliquer la loi.
Lors de cet entretien, le président de la République est, aussi, revenu sur le dossier de l’association Fida et celui de la réconciliation pénale appelant à accélérer le processus de mise en place pour « restituer l’argent du peuple ».
Plus tard, le ministre de l’Éducation a rejoint la réunion Saïed-Bouden. Il a été sermonné sur la situation du secteur et le droit à l’éducation. Rappelant que l’enseignement est obligatoire jusqu’à seize ans, selon la constitution, Kaïs Saïed a taclé son ministre qualifiant d’intolérable le fait que des dizaines de milliers d’élèves n’ont pas encore droit aux cours. Il a, dans ce sens, exhorté son ministre à trouver la solution susceptible de préserver les droits des élèves et des enseignants suppléants. Ceux-ci, en plus, de leurs collègues contractuels, continuent à boycotter la rentrée scolaire en signe de protestation et jusqu’à la régularisation de leur situation.
Ce fut une journée classique à la présidence de la République.
Nadya Jennene
Notre Cendrillon de minuit, dit "Le bête", après une soirée à lire une enième fois Omar Ibn Khattab, et avant de continuer avec les proses de Zaqafouna a des idées "lumineuses" ; c'est pour ça que les idées "géniales" sont poudues à minuit!
Bref, vous l'aurez compris, on a affaire à un psychopathe noctanbule qui est entrain d'achever de ce qui reste de la Tunisie.
La question qui se pose : quand est ce que le pays va se débarasser de ce malade mental et annoncer des élections libres, afin que Mme Abir Moussi puisse réparer les gros dégâts d'Ennahdha et de ce type? Jusqu'à quand il va enfoncer notre pays avec ses folies et ses caprices?
Grande est la différence, là où on était et où l'on est maintenant, même s'il faut préserver davantage pour la construction de ce qui été démoli sur le plan socio-économique, les retards et les mansues à gagner, pendant dix années de massacres jamais connus en Tunisie pendant quinze siècles de civilisation.
Et dire qu'ils prétendent que ce sont des tunisiens.....
Inutile de démontrer le contraire, puisque eux-mêmes savent que ce sont des démolisseurs, au profit "d'autres", et des profiteurs pour s'accaparer de ce qu'ils supposent comme un butin ou plutôt comme ils le disent, pour dissimuler cette criarde arnaque, des compensations.
Quelle audace !
Inutile de lire ses commentaire, ce type est ancien trépané, depuis sa boussole n'indique que le sud.
Après les dernières tentatives de provoquer des débandades et d'inciter aux monopoles et les spéculations.
Algérie et '?gypte, rien à voir, ce sont des dictatures maquillées en république.
Il nous a débarrassé des voleurs qui ont volés des milliards, d'accord, mais par son incompétence il continu de rajouter des milliards de dette à la Tunisie.
Les 55 ans de régime présidentiel prospère, ce n'était pas des régimes présidentiels mais des dictatures éclairées, ce n'est le cas de kais qui n'est pas éclairé du tout.
Un régime présidentiel c'est ce qu'il faut à la Tunisie parce c'est un peuple indiscipliné, mais dans cadre de la république et pas une dictature, les temps ont changé et inutile de fantasmer sur un passé qui n'existera plus.
Tes analyses sont souvent bonnes mais les conclusions stupides, faut être rationnel jusqu'au bout quand ont se veut pragmatique.
Il déteste les barbus
Les kamiss
Les barbes
Les voiles
Les cons et connes
...moi aussi
Durant 55 ans de régime présidentiel la tunisie était prospère malgré ses ressources limités et durant la décennie noire du régime parlementaire c'était la ruine et la faillite
Merci KS d'avoir eu le courage de debarrasser notre chère tunisie des envahisseurs voleurs menteurs incompétents qui sont arrivés au pouvoir juste pour se venger et ils sont arrivés au but
Même le meilleur chef et dirigent au monde ne pourras faire mieux de l'haritage catastrophique de khouanjias
Main mise sur tout les rouages de l 'administration surtout l'intérieur et justice
Vol et pillage via le fond Karama des subventions
Mettre le pays à genoux par 100 mille miliards de dette supplémentaire en 10 ans
Et.......
Du reste c'est malhonnête de prendre le pseudo d'un anti kais et se le faire passer pour un pro, mais bon l'es pro-médiocrité sont aussi des malhonnêtes
Que dire de anciens étudiants passés par les cours ennuyeux de cet Assitant à la Fac (assitant pendant 30 ans! Sic!) ; certains m'ont dit "il rabachait les mêmes concepts pendant 30 ans ; AUCUNE mise à jour dans son logiciel" Un autre, que j'avais rencontré il y'a 3 ans "il était d'un ennuie abyssale avec son regard fixe de phoque, durant ses cours en arabe littéraire ; PERSONNE ne l'écoutait ; on attendait juste que "l'heure" passe pour sortir enfin".
Voilà. Ce type vide, d'un ennuie rare...est devenu président, esnuite Dictateur (grâce à l'armée)...Pauvre Tunisie...
Comme d'hab, il nous fait sa comédie de grand chef, les ministres ils pointes à la convoque du prof un par un en se disant qu'ils vont perdre une heure de leur vie et vous allez voir ce que vous allez voir nous promet le simplet de Carthage.
Et puis comme d'hab, rien.
Notre kais c'est du rien mais en grande quantité.
Voilà voilà.
Sinon y'a quoi à la télé ce soir ?
Alors, oui, Mme Nadya Jenene a excellemen résumé ce qu'on pouvait retirer de l'action (sic) de ce Kaisollah !! Le président s'ennuie, et ennuie tout le monde par une sorte d'effet-miroir non voulu mais inévitable...
Il fait des compliments aux militaires et critique celui de l'éducation sans penser sur les causes des problèmes et pourtant c'est si simple, diminuer les budgets de l'armée et de l'intérieur et l'éducation aura alors les budgets pour faire meilleure éducation, de même pour la formation professionnelle et la santé. LEs militaires et les policiers ne peuvent pas apporter des solutions aux problèmes économiques de la Tunisie mais l'éducation et la formation professionnelle peuvent le faire.
mais bon son coup d'état dépend des militaires, il va continuer à les privilégier avec les policiers et la garde au détriment des besoins du peuple.
Il est bien que ce bullshitter continue à faire la pu... auprès des militaires son cu. En dépend.
Mais un jour des patriotes militaires iront le digager en pleine nuit pour raisons médicales.
PS Le KHS n'est plus un locataire de Carthage, il a déchiré lui même son bail en annulant la constitution en vertu de laquelle il a été élu. Désormais, il n'est qu'un vulgaire squatteur du palais qui essaie de gagner du temps, mais "hayhat".
#kaies_saied_digage