
Le président de l'Observatoire national pour la défense du caractère civil de l'État, Mounir Charfi, a réagi, vendredi 23 septembre 2022, à la convocation de l’ancien ministre et secrétaire général d’Attayar, Ghazi Chaouchi, devant le Tibunal de première instance de Ben Arous pour suspicions d’ « allégations mensongères » contre la cheffe du gouvernement Najla Bouden.
Invité de Myriam Belkhadi dans la Matinale de Shems FM, il a avancé qu’une éventuelle condamnation de Ghazi Chaouchi dans cette affaire ouvrirait la porte à une nouvelle ère de procès politiques. Selon Mounir Charfi, cela « conduirait le pays dans une impasse ». « Si on nous prive de la liberté d’expression, cela nous renverra à l’avant Ben Ali. Il faut qu’on fasse très attention à cela et être conscient de la nécessité de défendre la liberté d’expression », a-t-il ajouté.
Ghazi Chaouchi a été convoqué, hier, devant le juge d’instruction près le Tribunal de première instance de Ben Arous, mais son audition a été reportée. Au mois de mai 2022, la ministre de la Justice, Leila Jaffel, a donné ses instructions pour engager des poursuites judiciaires contre M. Chaouachi pour attribution de fausses informations à un fonctionnaire public concernant sa fonction et propagation de fausses nouvelles de nature à nuire à l'ordre public à travers les médias audiovisuels. Le politicien avait, alors, annoncé que Najla Bouden avait présenté sa démission au président de la République, mais ce dernier n’a pas officialisé la chose.
N.J

Du reste, il y en a pour qui un procès n'est pas nécessaire, ils ont tué des opposants.
Pour être clair, Ghannouchi, Jbali, Laarayedh et d'autres sont poursuivis pour des actes que la loi réprouve et condamne.
Il se trouve que beaucoup de leurs suiveurs et "frères" ont le gerbe facile pour déclarer que les dossiers étaient vides.
Si l'on est légaliste, on doit être prudent et attendre l'issue des enquêtes et des interrogatoires, au moins.
Malheureusement, nous sommes habitués à ces stratagèmes, mensonges et grèves de la faim, maladies, etc.
Il est évident que c'est déjà assez compliqué avec des gens qui ont coutume de faire leur loi, pour en rajouter.
Dans le deuxième commentaire, je te précise que Jaziri avait parlé de trois chèvres qu'on lui a volées et non trois brebis. Et oui, la différence compte: la chèvre grimpe les arbres pour manger les feuilles, la brebis est plus sage, elle se limite au pâturage.
C'est vrai, les mecs des partis politiques ne savent plus sur quel pieds danser. Le prochain parlement sera dans tous les cas, plus serein, plus responsable et surtout, without les figures de misère que nous avions l'habitude de voir avec dégoût et mépris.
EL ARRAFA KHALTEK JANNET m'a téléphoné et m'a dit qu'elle a vu BILKARTA WO BILFINJAN que le pourcentages des femmes qui seront élues le 17/12/2022 dépassera celui de 2019. Moi je crois KHALTEK JANNET et je ne crois pas les professeurs de droit (Sauf KAIS SAIED, kraifi, Rsaisi et Gaidi,.....) et les associations des SALONS :ATIDE, ELBAWSALA ,MOURAKIBOUN,I WATCH et l'observatoire de la civilité de l'état.