
La députée et présidente du PDL, Abir Moussi a quitté le palais de Justice, ce mardi 21 juin 2022, après sa comparution devant le juge d’instruction qui avait classé la plainte déposée à son encontre par l’assistante de Noureddine Bhiri au Parlement.
Les partisans de Abir Moussi, rassemblés en masse devant le palais de justice, lui ont réservé un accueil triomphal au milieu d’un important dispositif sécuritaire.
Prenant la parole, Abir Moussi a rappelé « l’injustice » dont elle a été victime en 2011, assurant qu’ « elle avait pris sa revanche et qu’après la dissolution du RCD, le parti destourien avait repris sa place sur la scène politique, devenant le premier parti en Tunisie ».
D’autre part, elle a indiqué que les membres de son comité de défense allaient porter plainte contre les avocats qui les avaient agressés ce matin aux portes de la Maison de l’avocat.
En effet, Abir Moussi s’est rendue, ce matin, à la Maison de l’avocat pour consulter les éléments du dossier avant de comparaitre devant le juge d’instruction. Toutefois, un groupe d’avocats avaient interdit l’accès à la garde sécuritaire accompagnant Abir Moussi.
Les avocats qui se sont interposés avaient indiqué que la présidente du PDL ne pouvait accéder aux locaux que sans la présence sécuritaire. Une proposition qui fût fermement rejetée par Abir Moussi, qui avait décidé de quitter les lieux après une vive altercation.
S.H


Aujourd'hui le Ministère de la justice, demain l'ambassade du Qatar, hier sa petite manif hebdomadaire, pas un jour sans son vacarme aussi assourdissant que stérile.
Mais politiquement et surtout concrètement, aucune proposition sérieuse, constructive, aucun programme économique et social sérieux, aucun plan d'insertion des jeunes chômeurs et des chômeurs en général, aucune politique de création industrielle basée sur l'utilisation des énergies renouvelables, aucun programme écologique et de valorisation des espaces verts dans les villes, aucune solution de valorisation des déchets qui étouffent de plus en plus nos villes, comme à Sfax, aucun mot sur nos immigrés et des soutiens à leur apporter à
l'étranger, surtout quand ils sont isolés ou souffrants, enfin un véritable "désert politique".
Elle a fait partie intégrante de "l'immobilisme" parlementaire qui a étouffé ce pays pendant plus de dix ans, elle et ses "complices" d'autres partis et elle veut nous faire croire qu'elle va changer les choses, tu parles...
Non bien sûr. Alors raisonnez au moins ainsi:entre plusieurs maux, (en supposant que le PDL soit un mal), il vaut mieux choisir le moindre mal (le PDL).
Soyez intelligents bon dieu !
Mais, telle que maintenant, non.
...
Au gouvernement, doivent siéger des personnes se maitrisant, avec une certaine carrure, un certain aspect posé dans leur loccution ...
Pas des hurleurs, des pitres ...
Regrettable ... désespérant ...
Une affaire "classée", est devenue un triomphe pour les Azlèms et ça aurait été une «injustice», si elle avait été «classée», au profit de ceux d'Ennahdha ou d'Al-Karama!!!
De quel triomphe parlent-ils là, du moment que la Zalèma moussi reconnaît d'elle-même, qu'après la dissolution du RCD, le parti destourien (PD) avait repris sa place sur la scène politique!!!
Le plus beau c'est qu'elle ne rougit même pas par sa couleur bleuâtre, en baratinant son grand mensonge, que son parti azlamiste est devenu "le premier parti en Tunisie"!!!
Tous les nains et toutes les grenouilles, combattent le premier et le plus grand parti politique de la Tunisie, le parti d'Ennahdha, mais ils veulent grossir comme lui, par leurs clowneries et par leurs mesquineries. Au lieu de lire dans l'histoire d'Ennahdha, pour pouvoir trouver la moindre comparaison avec lui, ces comiques me rappellent l'histoire : «les Musiciens de Brême» des frères Grimm en Allemagne, où le coq monte le chat, qui monte le chien, qui monte l'âne. Le plus léger, se sent le plus grand en hauteur. Il oublie qu'il va tomber au moindre mouvement des autres.
Les élections législatives anticipées, finiront tôt ou tard par trouver lieu. Nous verrons bien ce que vaut le baratin des vauriens, esclaves des dictateurs, en comparaison avec les Tunisiens de la Révolution du 14 janvier 2011.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Wekhziit