
Ennahdha a réitéré, dans un communiqué publié ce lundi 13 juin 2022, son adhésion à la constitution de 2014 et son boycott du « prétendu » référendum, qui n'a d'autre but que de falsifier la volonté du peuple et de donner une légitimité artificielle à un système autocratique.
Le mouvement islamiste a également condamné les tentatives visant à mêler l’institution sécuritaire au conflit avec le pouvoir judiciaire dans le but de porter atteinte à son indépendance et a exigé l'ouverture d'une enquête sérieuse sur les pressions exercées sur la justice pour l’amener à se prononcer contre les dirigeants du parti, saluant au passage « l’indépendance de la justice qui a refusé de se soumettre ».
Ennahdha a aussi réitéré sa position contre le coup d’Etat de Kaïs Saïed, contre son projet et sa vision mais aussi contre son référendum qu’il juge dépourvu de toutes les normes d'intégrité et de transparence en plus d’être supervisé par un organe électoral désigné qui ne jouit d’aucune indépendance.
Le parti a, en outre, mis en garde contre les tentatives d'atteinte à l’identité arabo-musulmane du peuple tunisien affirmant que la question a été tranchée depuis la révolution et qu’elle est aujourd’hui soulevée uniquement pour exclure les opposants.
Ennahdha a poursuivi en déclarant que le pouvoir en place porte la responsabilité de la dégradation de la situation économique et sociale, et son incapacité à dialoguer avec les partenaires sociaux ni à progresser vers un accord avec le Fonds monétaire international qui contribuera à atténuer la crise des finances publiques et à ouvrir des opportunités pour le pays.
M.B.Z
Dures leur de divulguer leurs origines, mais ne peuvent pas répondre même sans avoir l'arbre généalogique, ni de l'islam puisquil n'y a aucun ouléma ni connaisseur en islam à part quelques néophytes, d'entre-eux, n'ayant à la rigueur appris ou su que les quelques connaissances connues par la plupart des gens.
Donc ni arabo ni rien sauf des propagandes annoncées lors des élections législatives avec lesquelles ont été rajoutées les arnaques relatives à la peur de Dieu qui ont donné leur effet lors de cette période de cirque dite de printemps arabe.
Ceci dit le premier article de la constitution de 1959 et de 2014 est un compromis. Ce n'est pas la peine de rouvrir la discussion.
Des politiciens comme Maghzaoui veulent faire l'amalgame entre arabe et arabophone. Le premier article dit que la langue du pays est l'arabe mais ne stipule pas que le pays est arabe. Il faut en finir avec la politique d'exclusion qu'on nous importe de l'orient.
Donc pas la peine de changer l'article mais pas la peine non plus d'en rajouter.
Discuter l'article numéro 1 est d'une futilité déconcertante. Une perche que Baba Kaisoun tend à tonton Rchouda. Il patauge, il patauge le Kaisoun.
Mais dans la rue on ne parle un dialecte tunisien mélange de plusieurs langues bref on est Tunisophone
Ils sont, dans l'écrasante majorité, des berbèrs (amazighs, numides). Il y a une minorité d'orine turques, italienne, espagnoles, africaines, françaises, ...et extrêment peu arabes.
Bon sang ! Quand est-ce que nous partlerons d'une identité tunisienne.
Il faut éviter d'être chauviniste en critiquant des positions chauvinistes dans ce cas du mouvement Echaab ou Ennahdha concernant l'identité de la Tunisie.
Ennahdha, il ne reste plus qu'à s'asseoir et à attendre que tout le projet de M. le Président Kaïs Saïed s´écroule comme un château.. !
Mais c'est un sujet sensible qui touche de très près l'existence d'un peuple qui n'est pas parachuté de nulle part.
En quoi ça dérange que la Tunisie soit un pays Arabo-musulman ?
Ceci n'est une obligation pour personne.
Cette affaire de foi est une question de liberté de choix, mais l'identité fixe la qualification de la majorité du peuple, sans fanatisme.
peut etre c est pour sortir le parti nahda de la la grande porte ou bien des regrets d avoir choisir ce parti que certains le support pas nous sommes pas dans la logique d etat l effet qu en cherche de contre carre ghanouchi qui pourra creer les divisions et la fitna dans le pays ou bien nous sommes contaminer par un pays voisin qui n a jamais connait de stabilité a cause de ce genre de conflit qui pourra etre evitable si nous somme des vrais patriotes . ghanouchi n a pas de relation avec l affaire de brahmi et don ami .
Regarde ce que les US ont accompli en 300 ans sans l'islam, regarde ce qu'à fait le Japon en 80 pour se reconstruire sans l'islam....
Et regarde bien aussi dans quel merde nous sommes avec ton islam....
Et oui mon cher....
Qui est l'ignorant ....
Certes, La Tunisie est un pays musulman, mais pas arabe. OUBLIE ça.
La vraie langue parlée en Tunisie est le SABIR.
De plus, les arabes de La peninsule ne nous aime pas.
Alors, qu'est-ce que tu fais encore chez nous en TUNISIE? D'?GAGE. Va chez tes frères arabes,
surtout ceux du qatar. D'?GAGE.
ne responsabiliser pas le nahdah des échecs enregistres dernierement peut etre c est le manque de travail en collaboration etait la cause peut etre dieux nous punis suite a notre acte envers l ancien president ben ali que certains de le priver d etre enterre dans son pays natal c est honte le non pardon meme pour les mort si vous voulez que la situation s améliorer demandez de dieux de vous pardonner a propos des acquisitions injustes contre ce president qui avait quitte le pouvoir volontairement il n a pas prendre la fuite .
Nul n'est censé de dire à quelle religion nous devons appartenir ou à croire.
Le citoyen tunisien est libre en son âme et conscience.
Dans ce beau pays diverses religions se côtoient de pays toujours sans problèmes.
Nous n'avons pas attendus les conseils d'Ennahdha pour savoir comment vivre ensemble.
Oui l'article premier de notre constitution doit changé si c'est à cela que vous faites référence.
Vive la Tunisie libre et laïcs.
On rappellera ceci:
1/ Ennahdha à toujours garder sous son influence ledit ministère de l'intérieur dans tous les gouvernements ou presque depuis 2011.
Depuis le 25/7, la donne change.
2/ les juges sont sous la coupe et Bhiri y a organisé une purge selon les méthodes connues, savoir exclure tout magistrat qui ne se range pas derrière la bannière.
Que cette boutique vienne nous faire un récit extravagant, loin des faits, cela sonne faux et n'est que mensonge.
Si véritablement les juges étaient probes, ils auraient fait le travail et ceux qui parlent et, pour citer le titre, "met(tent) en garde" seraient sous bonne garde comme l'on dit.
Ennahdha n'est pas un parti, n'est pas une organisation dont le souci est le pays, l'intérêt national, c'est une officine au projet totalitaire qui rêve encore de nous enrôler et de nous rouler.
Le roi est nu.
Quand Ghannouchi et ses seconds couteaux seront jugés, telle est la question pertinente ?
Quant à l'identité arabo-musulmane à laquelle fait allusion Ennahda, elle est plus proche de la vision arabo-qatarie telle que proclamée par Doha ou islamo-turque du neo-calife Erdogan, ressassée par les diatribes du prédicateur Karadhaoui et de ses disciples, vision étriquée et sectaire qu'elle a voulu et veut instaurer en lieu et place de cette même "tunisianité" et dont elle veut par tous les moyens débarrasser la Tunisie au profit d'accoutrements "importés", d'usages et de coutumes copiés sur ceux du Golfe et des théories extrémistes fumeuses auxquelles Ennahda et ses satellites se sont assujettis.
Ce clan ne veut pas se désister de ses duperies et ses mensonges.
De leur dire seulement :
"demandez aux connaisseurs, si vous le saviez"
Espèce d'ignorants et dupeurs.

