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Feuilleton ramadanesque-Mariage Orfi et polygamie créent la polémique
05/04/2022 | 23:05
1 min
Feuilleton ramadanesque-Mariage Orfi et polygamie créent la polémique

Une vive polémique a été soulevée au fil des épisodes du feuilleton ramadanesque « Baraa » [innocence] de Sami El Fehri diffusé sur la chaîne El Hiwar, à propos de certains sujets évoqués, notamment, le mariage Orfi et la polygamie.

 

Plusieurs commentaires ont été publiés sur la toile s’interrogeant sur l’utilité d’aborder de tels sujets et sur lesquels le législateur tunisien avait déjà tranché. La polémique a enflé plus de réactions avaient commencé à fuser.

 

Le PDL et sa présidente Abir Moussi n’ont pas raté l’occasion pour noter que ce phénomène commençait à voir le jour depuis l’installation des frères musulmans au pouvoir, faisant porter la responsabilité à l’Etat tunisien.

 

L’association Aswat Nissa a, également, épinglé le réalisateur du feuilleton rappelant que le mariage Orfi et la polygamie constituent une violence contre les femmes. Elle a souligné que les œuvres artistiques devraient mettre en relief les problèmes de la société à travers une vision critique, ajoutant que l’exposition de tels sujets avec une telle superficialité ancrait la culture de l’impunité.

 

Mounir Charfi a, quant à lui, réagi aux différentes questions abordées durant les premiers épisodes du feuilleton considérant qu’il s’agit d’une sorte de normalisation avec des principes très dangereux pour la société et dont l’unique lien demeure la religion.

 

 Plusieurs commentateurs ont, de l'autre côté, affirmé que les œuvres artistiques devaient aborder tous les sujets de société et qu'il n'y avait pas de place à la censure. 

S.H

05/04/2022 | 23:05
1 min
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Commentaires
DHEJ
Et alors orfi ou gay!
a posté le 08-04-2022 à 10:24
Et notre champion nous pondra ramadhan prochain un feuilleton sur le MARIAGE GAY!
Fehri
Prostitution islamique
a posté le 07-04-2022 à 14:15
L'Islam est anti-femme.
Une forme extrême de mariage 'Urfi est connue sous le nom de zawag al-'urfi : pour donner à la prostitution une couverture islamique, certaines femmes concluent des contrats de mariage secrets avec leurs visiteurs d'été. Connu en '?gypte sous le nom de zawag al-'urfi, ce contrat est conclu sans témoins et se termine généralement par un divorce à la fin de l'été. La plupart des érudits islamiques égyptiens condamnent cette utilisation du zawag al-'urfi. [citation nécessaire]
VR
Ce problème est presque partout en occident !
a posté le 06-04-2022 à 20:14
En Tunisie ça ce fait un "peu" en cachette, par contre en France ou en Allémagne ou je vis depuis quarante ans, je ne connais que des très peu de voisins ou amis (mes connaissances et confrères) et sans parler des gens de l´eglise, qui n´a pas plusieurs maitresses..

--->>> c´est exactement Moussa ElHaj - Elhaj Moussa !
hourcq
Ben, voyons!
a posté le à 22:34
Moi qui vis en France le plus clair de mon temps, je ne vois personne qui ait plusieurs "maîtresses" et Dieu sait si je connais du monde. Mais peut- suis-je aveugle bien que je porte des lunettes. Ca doit bien exister surtout chez des casanovas célibataires qui courent après tout ce qui bouge mais c'est très rare et limité car tout finit par se savoir.
Les femmes ne sont pas idiotes, surtout de nos jours et gare à ceux qui les trahissent!
Par contre, ce qui a explosé, ce sont les divorces ce qui était rarissime dans les sociétés rurales d'il y a cent ans et plus. Et les jugements des tribunaux sont sévères surtout en cas de faute des maris, des pacsés ou des concubins. Un divorce, ca coûte très cher et j'en connais qui en bavent pour payer des pensions alimentaires sans compter l'usage de leur logement si la femme n'a pas beaucoup de moyens. Tout cela donne à réfléchir à ceux qui seraient tentés par l'aventure.
C'est là, la différence avec le mariage "orfi" où l'épouse d'un moment se retrouve sans rien après la rupture.
observator
Le concubinage
a posté le 06-04-2022 à 17:14
est une forme d'union entre un couple est très prisée dans les pays dits avancés dans les droits humains.
Donc pourquoi certaines associations féminines s'offusque du mariage dit "Orfi".
Dans la pratique c'edt une forme de concubinage.
Ou est le problème ?
Le concubinage existe dans les pays européens et même considéré comme une forme de liberté pour la femme et pour l'homme.
Aujourd'hui on le voit bien dans xe pays, l'institution du mariage est dans une impasse.
Le mariage tel qu'il cadenassé, juridiquement, dans ce pays est devenu un piège pour beaucoup.
Il faut voir le nombre de divorce et la lourdeur de ses conséquences juridiques pour s'en rendre compte.
Parce que on a surtout pensé à l'exploitation politique de cette institution .
Il faut moderniser et assouplir les conditions de cette institution tout en garantissant les droits de toutes les parties selon nos valeurs.
Alya
Observateur
a posté le à 18:48
Le problème n est pas le concubinage des autres pays où le mariage de la tunisie . Le probleme est le nombre de partenaires Un homme et une femme ou un homme et 2 femmes voire 4 femmes
zozo Zohra
Alya
a posté le à 13:12
Bonjour Alya,

Si vous comprenais bien vius êtes pour mariage "Orfi" ?
Ce n'est pas choix.
Le mariage "Orfi" est très dangereux pour la femme et le statut de la femme.
En Tunisie ce mariage est considéré de lq prostitution.

Bonne fin d'après-midi
Alya
Non zozo
a posté le à 17:21
Comment avez vous compris ça? Perso je suis pour le couplé ce ce qui veut dire 2 personnes .je ne vois pas la différence entre orfi et adultere
BORSALINO
La vigilance est de mise
a posté le à 18:32
Je suis quasi d'accord avec votre raisonnement.Cependant,le danger est de permettre à des hommes mariés de profiter de cette faille pour institutionaliser cette pratique contraire à la loi tunisienne en matière de mariage civile .
zozo Zohra
OBSERVATOR
a posté le à 18:18
"L'orfi" ce n'est pas souvent
Le concubinage européen, mais c'est un mariage "fi sirr" très confidentiel, très caché, une sorte d'esquiver la loi qui interdit la polygamie ou pour ne pas que la femme demande le divorce pour certains pays.

Chahya taiba
cavalero
encourager les islamistes et les arriérés
a posté le 06-04-2022 à 14:24
créer un feuilleton pareil c'est jouer le jeux des arriéré car la plupart ne comprennent pas que c'est une critique si c(est une mais savourent ça
Alya
Les chiffred
a posté le 06-04-2022 à 12:09
Le mariage officiel est une réalité non frequente. Il s agit de mariage coutumier en tunisie mais surtout contracté par des tunisiennes dans d autres pays arabe. Donc dans les cas, il s agit malheureusement du choix d une tunisienne et non pas d une victime. L adultere est certainement plus frequent . Quand à ce feuilleton, le choix de cette debilite de polygamie n est la que pour meubler une insipidite qui se profile
.e
zozo Zohra
ALYA
a posté le à 14:26
Bonjour Alya,
Le mariage "bismilla we yalla", "orfi" il existait aux années 40. Il n'existait plus depuis l'indépendance.
Mais, il etait revenu après la tragédie de 2011.

Le mariage officiel en Tunisie un contrat, une sécurité et dignité de la femme.

Il existe ailleurs c'est leur problème.

Chahiyq taiba
Alya
Bonsoir zozo
a posté le à 19:53
On est d accord@ le orfi ou la polygamie des années 40 n est pas la même chose
Aujourd'hui une tunisienne qui rentre dans ce jeu que ce soit en tunisie ou le plus souvent dans les autres pays arabes à choisi de vivre comme ça
yosr
un feuilleton c'est une fiction
a posté le 06-04-2022 à 10:27
on veut cadrer les films, les feuilletons, les chansons... mais ce sont toutes des moyens d'expression, des fictions. Ils ne devraient pas être muselés mais libres.
Un feuilleton n'est pas un documentaire. Il est spécifié que c'est une fiction et que les personnages sont joués par des acteurs.
je ne comprend pas cette polémique: celui qui veut regarder, regarde, celui qui n'aime pas ne regarde pas.
Mais rappelez-vous aussi que ces phénomènes (terrorisme, mariage orfi ou prostitution masquée) sont venus après l'arrivée des salafistes
Gg
Chater dit...
a posté le 06-04-2022 à 10:08
"...sans permettre l'infiltration des non-tunisiens musulmans dans ce sujet purement tuniso-tunisien."

Oh que si!
Ma femme est musulmane et, comme beaucoup d'autres musulmanes, révoltée et écoeurée par ce qu'elle nomme elle-même de la prostitution déguisée. Elle a des amies qui sont tombées enceintes ("tombées" est bien le mot!) suite à cette vaste hypocrisie dite orfi, le mec les a purement et simplement laissé tomber, à elles de se débrouiller avec un enfant sans père, et rejetées par leur famille.
Le mariage orfi n' est rien d'autre que le droit, pour un homme, d'abuser de filles naïves qui ont cru à l'amour, un moment.
Or celui-ci exige l'exclusivité.
L'adultère dont parle chater est soit le fait de couples libertaires, très rares, soit le signe d'un couple qui va mal.
Orfi-Urbi-Arbi (pardon Orbi)
Voilà ma vérité M Gg...
a posté le à 12:55
Nos traditions Mortelles (le jeu de mots)
Loin de vous Gg d'être accusé de ce jeu de mots nauséabonds et typiquement
"mérd-iterranéen-(méditerranéen)
infiltration
révoltée
écoeurée
prostitution déguisée.
tombées enceintes ("tombées" est bien le mot!)
hypocrisie dite orfi
J'arrête là car vous risquez de m'attaquer pour utilisation de votre image sans autorisation !
J'adore le poids de vos mots et j'aurai aimé voir le choc des photos pour la liste ci-dessus ?Juste pour arriver à comprendre ce qui se passe dans ma Bagla Liha
Je vous félicite pour la justesse des mots clairvoyants qui rendent un non-voyant en Mateur con-firmé !
J'adore vous lire ce qui me permet de me défouler autrement mais ça reste toujours "sain de corps & d'esprit" Amen!


Oscar
Hypocrisie
a posté le 06-04-2022 à 09:37
Vous condamnez la polygamie mais vous oubliez que le prophete l'était.
Gg
Oui
a posté le à 12:05
Et alors?
zozo Zohra
Ce mariage "orfi" est en vogue depuis l'arrivée des salafistes
a posté le 06-04-2022 à 07:31
C'est vrai que c'est très choquant d'aborder ce sujet, mais il le faut. En tant que femme, je me suis santie bizarre, très mal à l'aise, c'est dégoûtant et sale,

Le phénomène existe et bien présent, dans la société Tunisienne et en nombre, depuis l'arrivée des islamistes, et salafistes, notamment dans le milieu universitaire et rural
(existe bien aussi entre maghrébins à l'étranger, notamment beaucoup en France et ailleurs).

La femme se trouve victime, désabusée, sans sécurité, avortements sans compter, des enfants qui naissent sans identités, abandonnés, victimes de la société, puisque la loi l'interdit et le considére comme prostitution en Tunisie.

Ces mariages c'est un mensonges des obscurantistes pour satisfaire leurs obsessions sexuelles.

C'est bien d'avertir et d'ouvrir les yeux de ces femmes vulnérables surtout celles qui n'arrivent pas à se marier et rêvent de trouver dans ce genre de mariage refuge.
Alya
Pardon zozo
a posté le à 22:19
Encore une fois, il n a pas de victimes !@@@et personne n est victime. La demande de reconnaissance de paternité en tunisie n est pas aussi compliqué qu en France! Il suffit de saisir le procureur. Si la paternité est confirmée, l enfant porte le nom et bénéficie d'une allocation . Le texte juridique n est flou qu en ce qui concerne l heritage
Mouaten
ARGENT
a posté le 06-04-2022 à 07:19
Pour gagner de l'argent
Tout est permis
.....même la prison
Saleslafistes
Polygamie
a posté le 06-04-2022 à 06:28
Malheureusement la polygamie cachée ça existe. Un feuilleton peut aborder cette question à condition de montrer la souffrance que ça provoque et l'absurdité d'une situation contre-nature.
Abir
Il faut que ce feuilleton soit une tragique leçon pour tous pratiquant la polygamie
a posté le 06-04-2022 à 03:01
Il y a de quoi s'inquiéter en suivant ce feuilleton et les différentes réactions tragiques par la femme victime , les déséquilibres des enfants et la brutalité d'un mari égoïste , autoritaire ! Il faut que cette histoire de polygamie finisse par des conclusions dramatiques et négatives contre ces genres des mentalités obscures et hors la loi et éradiquer judiciairement toute personne pratiquante la polygamie dans un '?tat de loi et une société civilisée et non obscure à la Kwanjias
Abel Chater
On ne peut attaquer que le mensonge. La polygamie est autorisée en Islam. Ce n'est pas du mensonge. Que les hermaphrodites le veuillent ou non.
a posté le 06-04-2022 à 01:50
Qu'on fasse un vrai référendum au sujet de la polygamie en Tunisie et nous verrons bien, que ce seront les femmes qui seront majoritaires à la demander.
Les femmes tunisiennes se trouvent au fond de l'impasse, par la cruauté de l'âge de la procréation. Les hommes se trouvent au fond de l'impasse, par la cruauté du manque de moyens pour le mariage.
Que faire donc, sinon partager l'habitation et la nourriture, pour ne pas rater le train de la procréation pour les femmes, sinon légaliser et encourager l'engendrement d'enfants hors-mariage!!!
Ou est-ce qu'on prend de l'Occident toute sa décadence morale totalement contraire à l'Islam, au nom de la liberté de la femme, sans pour autant qu'on l'accompagne de leurs lois "tolérantes", de vivre une vie sexuelle d'adultère, totalement isolée des lois tunisiennes de traditions musulmanes?
L'hypocrisie se joue ici, entre les presqu'hommes de nature féminine et les presque-femmes, dépassées par les lois de la nature. Les vrais jeunes tunisiens des deux sexes, ont d'autres pains sur leur planche.
L'équilibre de la balance sociale en rapport avec la vie réelle des Tunisiennes et des Tunisiens, est expressément requis autour de ce sujet, sans permettre l'infiltration des non-tunisiens musulmans dans ce sujet purement tuniso-tunisien.
Allah yostir Tounes.
Alya
Pardon adel chater
a posté le à 22:25
Le problème ici. N est pas la comparaison entre l union. Libre et le mariage qui certes revient très cher en tunisie grâce à la mentalité des jeunes filles et de leur famille. On discute du nombre des épouses?
Abel Chater
@Alya
a posté le à 10:34
Bonjour Alya.
Mais c'est exactement l'adage : "Haj Moussa ou Moussa el-Haj".
Non, on n'est pas encore arrivé à ouvrir un débat autour du nombre d'épouses permis, au-delà de la monogamie. Même pas pour tolérer la bigamie. Comment pourrait-on donc parler de trigamie ou de polygamie!!!
L'union libre ne permet pas l'engendrement d'enfants dans la société tunisienne. Cet usage animal, de pratique légale dans les pays européens sans tabous, a créé chez eux un doute de paternité suicidaire du côté de l'enfant, comme du côté du père et souvent du côté de la femme, elle-même qui ne se rappelle plus avec qui elle a dormi.
Nous parlons ici du grand dilemme de la limite d'âge pour la possibilité scientifique de tomber enceinte chez les femmes. Une limite d'âge, qui tourne autour de 40 ans, pour lequel on doit lui trouver une solution en Tunisie.
Bonne journée.
GZ
Les joies de la polygamie
a posté le 06-04-2022 à 01:16
Tout est dans la bulle en illustration.*
Dieu, dans sa grande sagesse m'autorise à prendre plusieurs épouses. Rien n'est au dessus de la loi divine. J'entends convoler à nouveau en justes noces. Tu vas partager ton homme, ta couche et goûter aux joies de la p... Ton code du statut de la personne, ton planning familial, je m'assieds dessus. Le tout "baraa" ! En toute innocence, sans crainte, remords ni reproche. Le coeur, tout ce qu'il y a de léger. C'est dieu lui-même qui le veut.
Qu'as-tu donc à répondre à cela ?

J'ai connu un jeune collègue soudanais. Son père avait pris quatre épouses. Ils sont une fratrie de 17 enfants. Dieu qui n'oublie pas ses créatures - b'qasmou, chacun sa juste part, n'est-ce ce pas ? - les a tous richement dotés. Pour la plupart éparpillés sur les routes de l'exil, qui en Egypte, qui en France, qui en Angleterre, à essayer d'arracher leur pitance sur des terres monogames, imbéciles peuplées de peine à jouir, empêcheurs de forniquer en rond.
Ceux qui n'ont pas eu la chance d'échapper à l'enfer continuent leur vie de crève-la-faim au Soudan. quand ce n'est pas sous les balles d'Omar El Béchir et ses successeurs.

S'il devait se réveiller, Bourguiba ne reconnaîtrait pas ses petits. Il n'aurait plus qu'à tout recommencer à zéro.

*Bien vu BN.
zozo Zohra
Gz
a posté le à 08:12
Bonjour Monsieur,

J'avais connu ça en France "sidi B le malien" et ses 19 enfants et ses 4 femmes. Il y a la cheffe la première et 3 autres au service de la première. Ha ha
Wallah

Excellente journée

GZ
@zozo Zohra
a posté le à 09:07
Bonjour Zohra.
Le Malien que j'ai connu, même pas la trentaine, me soutenait mordicus que la polygamie était la chose la plus normale du monde et qu'il ne fallait surtout pas y toucher.
On a encore beaucoup beaucoup de travail.
Excellente journée.
hourcq
Une conséquence de la misère.
a posté le 06-04-2022 à 00:33
Et la misère n'est pas simplement liée à un manque d'argent mais aussi à une sexualité réprimée pour des raisons morales et religieuses dans des sociétés traditionnelles. En outre, le mariage est une source de profit car l'époux doit verser une dot que souvent seuls les plus aisés peuvent apporter. Alors la solution pour les plus jeunes et les plus fortunés c'est le mariage temporaire dit "orfi" qui a toutes les apparences de la légalité mais qui ressemble fort à de la prostitution déguisée. Les dindons-ou plutôt les dindes" de la farce, ce sont les jeunes filles ou femmes qui se voient rejetées rapidement sans compensation et vivent comme des parias de la société. Et s'il y a enfant, issu d'une de ces relations, elles se heurtent à un mur judiciaire pour le faire reconnaître par leur père qui nie , bien sûr, en être le géniteur pour éviter de payer une pension alimentaire.
Ce mariage était répandu en Iran et en '?gypte mais reste à savoir ce qu'il en est actuellement. En tout cas, faire la promotion de ce "mariage", fut-ce par le biais de feuilletons
ramadanesques, est une insulte à la dignité des femmes qui en sont les seules victimes.
Daoudaou
Ils sont vides et à court d'idées et de sujets
a posté le 06-04-2022 à 00:14
De rappeler que les films ou feuilletons appelés "harka", est une idée de Mohamed (hamadi) Ben ismail le réalisateur, lors des années quatre-vingts, du film "demain je brûle", et le réalisateur d'autres films qui ont été copiés de ma même manière ; M. Ben ismail figure bien sûr dans les archives des oubliettes et devient inconnu.
D'ailleurs il a fui la Tunisie pour vivre ailleurs en Europe.