
Par Taoufik Ben Brik
Par les temps qui courent, la frustration accumulée, la dignité bafouée, les Tunisiens n’ont que le sarcasme pour précipiter ce qui sera dit plus tard. Le regard de la rue, ce moulin à rumeurs, se révèle toujours pénétrant, et c’est pourquoi, si souvent, il tape en plein dans le mille.
Grâce au décret présidentiel, promulgué mercredi 22 septembre 2021, Kaïs Saïed est maître d’un pouvoir au-delà de toute Constitution. Ainsi, Saïed nous condamne à supporter son Olympe. Il s’est muré vif, et, nous avec, dans ce sarcophage qui lui donne les suprêmes pouvoirs et une immunité temporelle. Un super président, El président. L’immortalité au bout.
Je ne sais pas pourquoi, on en fait des histoires de ses décisions. On oublie toujours que K. Saïed a la structure mentale d’un berger solitaire. Il ne se disperse pas. Il n’a pas mille et une attractions. Sa seule ambition (son dream) est de tendre comme un arc son pouvoir, qui est déjà absolu, jusqu’à atteindre l’au-delà du Reich.
Je me range du côté de K. Saïed, parce qu’il est le Tunisien le plus cohérent. Il ne s’est jamais départi de ses positions. Il orchestre depuis son accession, en novembre 2019, avec la même baguette. Voici votre part : le rang de sujet. Je me contente du reste. Avec le décret du 22 septembre, K. Saïed a gardé pour lui, la liberté d’expression, la liberté d’organisation, le pouvoir de légiférer, l’indépendance de la justice, l’alternance. D’El Président émane tous les pouvoirs et les contre-pouvoirs. Son Excalibur : il détient outrageusement le pouvoir quasi-divin de nomination. De facto, il est l’Etat. K. Saïed est un Caligula Carthaginois, un de ces assoiffés du pouvoir qui fonde que l’histoire des hommes ressemble davantage à une tragédie de Shakespeare qu’à une comédie de Charlie Chaplin. S’approprier l’Etat est le summum de la hogra (arrogance et mépris). C’est comme l’idée de Caligula de faire de son cheval son sénateur. Elle n’était pas du tout farfelue. Elle avait pour lui une signification précise : « J’emmerde la représentation sénatoriale, elle n’est là que pour m’obéir, comme mon cheval. Je lui pique le ventre, il avance, je lui tire la gueule, il s’arrête. ». Et, nous Tunisiens, pour K. Saïed, sommes un peuple nommé cheval.
La vie, comme une léproserie enfermée à double tour. K. Saïed se meut à l’aise. Tunis est restée tout entière entre ses mains. Et ça marche. Le pays roule, sans gazole.
K. Saïed tient bien les rênes, parce que, excepté quelques enfoirés qui ont remonté Al Jazeera contre lui, il a su remettre à leur place, les commerçants, les imams, la petite bourgeoisie scolarisée et la classe moyenne de l’humanité.
Je me range du côté de K. Saïed, parce qu’il gère son coup d’État sans accroc, à coup de pied. Il a affaire à une ménagerie docile : des islamistes timorés, des staliniens préhistoriques, des trotskystes alcooliques, des nationalistes qui ont le livre de Michel Aflak, l’idéologue du bâath, sur la commode, un ramassis de régionalistes et des petits chefs de bande sans passion ni patience. Ils se bourrent aux amphétamines. Ils montent des plans foireux, créent des partis sans partisans, rêvent d’une invitation au palais de Carthage et du titre de vizir.
Ces collabos de la première heure et opposants de la vingt-cinquième heure ont besoin d’une bonne cuite. Tu ne peux rien tirer d’eux tellement ils sont lisses, sauf peut-être une photo de groupe bien retouchée. Il suffit de vociférer à leur encontre : « couché », pour avoir la paix des chiens fils de chiens.
Je me range du côté de K. Saïed, parce qu’il a ramené le pays au pays. « Achaâb yourid », « le peuple veut ».
Je me range du côté de K. Saïed. Telle la forêt de Birnam, il marche. Il n’en a cure. C’est mon faux-monnayeur que j’aime, Macbeth, cet usurpateur possédé. Et, nous sommes tous ses pourris, pauvres gens du Danemark.
Bravo monsieur ben brick
les constructeurs japonais se passent de lui .
un nul de chez nul, qui retourne sa veste comme il respire.
il soutient un dictateur, oubliant qu'il a connu la prison sous l'autre dictateur ben ali.
quel hypocrite !!
pffffffffffffffffffffffffffffffff ...
Aujourd'hui, c'est un autre Ben Brik qui nous régale, pas seulement avec sa plume parfumée, mais aussi avec son analyse lucide et détachée de tout intérêt partisan.
Ben Brik s'est rangé du côté du peuple, donc du côté du Président Kais Said.
Dans la vie, il y'a des moments où il faut choisir: là, il est question de choisir entre le Bien et le Mal, c'est-à-dire entre Kais Said (peuple) et le Système (Ennahdha and Co.) Taoufik, a opté pour la bonne cause, et c'est noble de sa part.
Vous lisez à l'envers par le truchement d'un miroir sans tain. . . ou bien vous lisez avec des lunettes opaques ?
Brik est peut-être "du côté du peuple". . .mais voir le Président comme un Caligula réincarné. . .c'est pour le moins l'attaquer bille en tête et avec les gros sabots habituels du grossier briquetier. . .
Faites encore un effort pour relire le fatras et vous verrez. . .mieux !
MPP.
Voici un texte par André Benhaïm, un
Assistant professor à l'université de Princeton ('?tats- Unis), où il enseigne la littérature française du XXe siècle et la littérature francophone, principalement de la Méditerranée.
https://books.openedition.org/psn/1821?lang=en
Décorations
'?' Chevalière de la Légion d'honneur
'?' Commandeure de l'ordre des Arts et des Lettres
Honneurs
Elle a plusieurs doctorats honoris causa des universités :
'?' Université Concordia en 2016 (à titre posthume)
'?' Université d'Osnabrück en 2005
'?' Université de Vienne
Sociétés savantes :
'?' 2005 : '?lue membre de l'Académie française
'?' 1999 : '?lue membre de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique
Prix
'?' 2006 : Prix international Grinzane Cavour pour la lecture (Turin, Italie)
'?' 2005 : Prix international Pablo Neruda (Italie)
'?' 2000 : Prix de la paix des libraires allemands (Francfort)
'?' 1999 : Prix de la revue '?tudes françaises, pour Ces voix qui m'assiègent... en marge de ma francophonie
'?' 1998 : Prix international de Palmi (Italie)
'?' 1997 : Prix Marguerite Yourcenar (Boston)
'?' 1996 : Neustadt International Prize for Literature ('?tats-Unis)
'?' 1995 : Prix Maurice Maeterlinck, Bruxelles
'?' 1989 : Literaturpreis des '?kumenischen Zentrums, Francfort, pour Ombre sultane
'?' 1979 : Prix de la Critique internationale à la Biennale de Venise, pour La Nouba des Femmes du Mont Chenoua (long métrage)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Assia_Djebar
L'?tat n'est pas la patrie, c'est l'abstraction, la fiction métaphysique, mystique, politique, juridique de la patrie. Les masses populaires de tous les pays aiment profondément leur patrie ; mais c'est un amour réel, naturel. Pas une idée : un fait... Et c'est pour cela que je me sens franchement et toujours la patriote de toutes les patries opprimées.
Le patriote aime et supporte le patriote. Voila pourquoi je supporterai toujours Madame Abir Moussi, le meilleur enfant de Tunisie.
Voir sur https://citations.ouest-france.fr/citation-mikhail-bakounine/etat-patrie-abstraction-fiction-metaphysique-123937.html
Le Général de Gaulle lui-même demande sa réintégration dans l'?cole en 1959 en raison de son « talent littéraire »
Suite a mon poste ci-dessous:
'? partir de cette année-là, elle étudie et enseigne l'histoire moderne et contemporaine du Maghreb à la Faculté des lettres de Rabat. En parallèle, aidée par l'islamologue Louis Massignon, elle monte un projet de thèse sur Lalla Manoubia, une sainte matrone de Tunis.
Elle est la première femme algérienne à intégrer l'?cole. '? partir de 1956, elle décide de suivre le mot d'ordre de grève de l'UGEMA, l'Union générale des '?tudiants musulmans algériens, et ne passe pas ses examens. Elle est exclue de l'école de la rue de Sèvres pour avoir participé à la grève. C'est à cette occasion qu'elle écrit son premier roman, La Soif. Pour ne pas choquer sa famille, elle adopte un nom de plume, Assia Djebar : Assia, la consolation, et Djebar, l'intransigeance. Elle épouse l'écrivain Walid Garn, pseudonyme de l'homme de théâtre Ahmed Ould-Rouis, puis quitte la France pour l'Afrique du Nord.
https://blog.lefigaro.fr/algerie/2013/10/pourquoi-assia-djebar-na-pas-eu-le-nobel-de-litterature.html
https://www.lepoint.fr/insolite/assia-djebar-nobel-de-litterature-selon-l-epigone-de-paul-le-poulpe-11-10-2012-1515710_48.php
L'histoire retiendra qu'il a payé cher, sous Ben Ali, sous la Nahdha et encore aujourd'hui la liberté de sa plume. Emprisonné deux fois, sous Ben Ali et sous Kais SAIED, il n'a jamais attendu aucun retour pour son sacrifice. Ceux qui l'insultaient hier sont les mêmes qui l'insultent aujourd'hui. Les mounachidoun d'hier sous Ben Ali, sous la Nahda ont changé de vestes. Ils sont les mêmes: les mêmes insultes, les mêmes phrases. Qu'importe.
A mon avis, il mérite largement le prix "ignobel de sire-des-ratures"
Et à propos, on dit "nommé sur la liste du prix Nobel de littérature"
Et non pas de "la littérature". . .
En attendant. . ."lis tes ratures" !
MPP.
IL est plutôt un vendu au clan RG
Qualifier K Saied de Caligula , empereur autocrate démagogue connu pour ses perversions , sa folie destructrice et ayant fini assassiné par les soldats de sa garde suite à diverses intrigues pour le renverser me parait hors propos, complétement..
Cet article sous son air de louanges révèle de par son intitulé le fond de la pensée de son auteur pas aussi lucide qu'on ne le prétend, qui avait déclaré auparavant que la période de Caid Essaebsi serait une période où coulerait le sang, prédiction qui s'est avérée erronée révélant l'incapacité de ce personnage néanmoins courageux et à la belle plume de pressentir l'avenir.. Et je suis sûr qu'au fond de lui même il doit quelque peu regretter ses positions si radicales à l'encontre de Ben Ali qui fut malgré ses abus bien plus honorable que tous politicards de bas étages cannibales de cette maudite dernière décennie .
K Saied demeure un mystère, il s'est révélé parfois très maladroit, au choix (mechichi, Fakhfekh etc) très contestables et préjudiciables au pays, mais s'est aussi révélé d'un courage extraordinaire ayant lui seul -SEUL- osé affronter l'hydre que sont les islamistes et leurs acolytes parasites.
Finalement K Saied s'est décidé à avancer , trébuche parfois, se reprend, trace sa voie pour sauver ce pays en perdition avec sincérité indiscutable. L'avenir demeure incertain pour nous tous mais au final le seul jugement qui comptera sera celui de ses actes, de ses décisions à venir - cette année cruciale- , pour notre survie, afin de détruire l'emprises des islamistes, de la corruption du sentiment d'impunité sur ce pays, seul moyens pour relancer l'économie à l'agonie.. A défaut il se retrouvera honni par le peuple dont la seule boussole n'est autre que sa panse...
Ce "Bougouloulou", collectionne les photos, pour en faire sortir en adéquation avec chaque évènement.
Ce qui m'étonne beaucoup, c'est que le chef du parti Echaâb qui soutient le putsch du 25 juillet dernier, habite à Jendouba. Mongi Rahoui, l'unique siège pour deux partis à l'ARP avec le putsch, habite à Jendouba et encore ce Taoufik Ben Brik, habite du côté du Kef et Jendouba.
Un grand point d'interrogation!!!
Aux autres journalistes, je ne vous demande de vous surpasser ou de copier ou plagier seulement de construire vos articles pour tutoyer le summum de TBB.
un article tiers-mondiste pour un public d'une intelligence très moyenne (pour ne pas dire autre chose)
Après avoir traité KS de "Caligula". . .et de "berger solitaire" ?
Si vous trouvez que ce ne sont là que des compliments. . .c'est que vous êtes drôlement limité !
MPP.
Ben Brik ?. . .une enflure d'écrivaillon spécialisé dans l'accumulation débridée d'adjectifs injustifiés et de boursouflures lourdingues. . . à son image. . .
Exemples ?
- "il tape en plein dans le mille." . . Pléonasme redondant. . ."taper dans le mille" signifie déjà "en plein centre". . .
- "Il s'est muré vif". . . non Herr écrivaillon. . . on dit "il s'est muré vivant" !
- "Je ne sais pas pourquoi, on en fait des histoires de ses décisions." dit le bossu qui ne voit pas sa bosse. . .alors que lui-même fait "des histoires" dans les mêmes eaux troubles !
- "K. Saïed a la structure mentale d'un berger solitaire.". . .nous affirme le médiocre écrivaillon qui se révèle tout aussi médiocre psychanalyste amateur. . .
- "Il (KS) n'a pas mille et une attractions." Forcément, lui il a en charge les affaires de l'Etat, pas comme certains qui "enc****" les mouches pour faire les intéressants ou pour affirmer leur présence non indispensable !
- "Saïed a gardé pour lui, la liberté d'expression". . . Si c'était le cas, ils seraient beaucoup à ne pas l'ouvrir, à commencer par notre médiocre écrivaillon. . .
- "l'histoire des hommes ressemble davantage à une tragédie de Shakespeare" sinon une comédie de Molière que vous illustrez bien en Tartuffe, après avoir été l'invité du Président, ainsi que vous le mentionnez si bien en disant plus loin "rêvent d'une invitation au palais de Carthage", sauf que vous, vous n'en rêvez plus puisque vous avez accompli votre rêve. . .
- "S'approprier l'Etat est le summum de la hogra". . . C'est lorsqu'on se sent soi-même "méprisé" (méprisable ?) qu'on pleurniche. . .et qu'on s'gratouille quand on se sent galeux !
- "pour K. Saïed, sommes un peuple nommé cheval". . .Non, cette qualité vous est exclusivement réservée, à vous et à ceux de votre rare spécimen. . .
- "Il a affaire à une ménagerie docile". . .quand on vous regarde, on ne peut qu'approuver !
- "Ces collabos de la première heure et opposants de la vingt-cinquième heure". . .Certes, vous avez été celui de la première heure pour le distributeur de pâtes, vous voilà donc affublé des oripeaux de "l'opposant" de la vingt-cinquième après avoir fait risette à l'hôte de Carthage. . .
- "Tu ne peux rien tirer d'eux tellement ils sont lisses". . . Encore une "redondance" lourdingue, "Tu ne peux rien EN tirer" est plus correct. . .pour ne pas aller à la pêche aux "oeufs". . .même si un médiocre écrivaillon se distingue plus qu'à son tour par sa propension à n'employer que la deuxième personne du singulier "tu". . .
- "nous sommes tous ses pourris". . .vous ne croyez pas si bien dire, si vous parlez de vous !
Et ce sera tout pour cette fois-ci. . .
MPP.
TTB a écrit un article où il défend implicitement la dictature de RG en s'attaquant d'une façon très maladroite à KS et au mouvement démocratique.
TTB a apparemment trop profité du règne de la dictature du clan RG des 10 dernières années.
@TTB, un journaliste intelligent n'aurait jamais écrit une pareille analyse unilatérale, c'est de la pure idiotie, vous ruinez votre image d'écrivain au service de la dictature de RG...
@MPP: si TTB ne réagis pas à votre commentaire, c'est qu'il est vraiment échec et mat...
C'était sûrement de moi .
Parmi les Hérauts de ce mouvement romantique, Gérard de Nerval est l'un des talents les plus prometteurs. Né en 1808 à Paris, Nerval se distingue dès ses 16 ans par l'écriture de recueils de poésie. Celui-ci est même repéré par Victor Hugo qui le prend sous son aile.
D'une personnalité hypersensible, Gérard de Nerval est aussi malheureusement un homme torturé, à la recherche perpétuelle d'un langage qui puisse permettre l'expression de ses souffrances. Peu à peu, le poète s'éloigne du monde des vivants et ses premiers coups de folie se manifestent à la fin des années 1830. A la suite d'une déception amoureuse avec la comédienne Jenny Colon, le poète sombre définitivement dans la déraison'?'
Un jour de printemps 1841, Gérard de Nerval est surpris en train de promener un homard, tenu en laisse, dans les très animés jardins du Palais royal. Nous pouvons imaginer l'étonnement et les sarcasmes des promeneurs à la vue de cette scène. Pour s'en expliquer, notre ami des crustacés dira :
« En quoi un homard est-il plus ridicule qu'un chien, qu'un chat, qu'une gazelle, qu'un lion ou toute autre bête dont on se fait suivre ? J'ai le goût des homards, qui sont tranquilles, sérieux, savent les secrets de la mer, n'aboient pas et n'avalent pas la monade des gens comme les chiens, si antipathiques à Goethe, lequel pourtant n'était pas fou. ».
Si cet épisode prête à l'amusement, le destin de Gerard de Nerval sera néanmoins particulièrement tragique.
Malgré la parution réussie de son recueil intitulé les Filles du feu ' qui lui ouvrit les portes du succès en 1854 ' Nerval poursuivi sa descente dans les affres de la folie. Après une deuxième puis une troisième crise de folie, marquée notamment par une tentative d'homicide sur son ami le poète Théophile Gauthier, Nerval fut hospitalisé à l'hôpital psychiatrique de la Folie Sandrin à Montmartre.
Point d'aboutissement d'une vie de souffrance psychique, Gérard de Nerval se pendra à un lampadaire, aux environs de l'Hôtel de Ville en 1855. On peut voir aujourd'hui sa tombe au cimetière du Père Lachaise.
Il tape en plein dans le mille :
Supporter son Olympe. Sarcophage, Suprêmes. Reich. Dream. Orchestre. Excalibur. Le roi soleil : (l'état cest moi). Caligula. Carthaginois. Tragédie de Shakespeare. Comédie de Charlie Chaplin. Un homme nommé Cheval ?(film 1970). Cheval de Troie ? Forêt de Birnam. Macbeth. Gens du Danemark ? Beowolf ? The 13th warrior ?
La 5iem et ailleurs le vent salvateur est arrivé en retard,too late mon ami le 21iem celui des Rdv manqués,ls faillites
s'accumulent, et le monde et son environnement se brisent, il reste que les équilibres societaux et environnementaux à préserver,peut être trop tard, donc 1 pierre et sourate yassine
Sauter de karoui a saied avec la photo en sus n'est point ridicule dans nos contrées.. Que vaut un torchon de plus de taoufik ben brik..?
Sauter du train d'un margoulin pour rattraper une derriere marche du dernier wagon du train saied.. n'est point étonnant pour celui qui la flagornerie le dispute a la mesquinerie...
Bonne lecture de cette plume qui n'a de tort que l'esprit tordu de celui qui la commande..
j'ai eu toujours beaucoup d'estime envers votre personne, j'ai lu certains de vos livres, j'ai du respect pour votre lutte contre la dictature de Ben Ali.
Un journaliste / écrivain de votre calibre devrait voir ce que la masse ne pourrait pas voir. Je vous donne un extrait d'un article de Mr. Mongi Rahoui sous le titre "On ne pouvait pas échapper à Ennahdha à travers les méthodes traditionnelles"
-->
Le député du Parti unifié des Patriotes démocrates (Watad), Mongi Rahoui a affirmé qu'il n'y avait pas d'autres moyens que les mesures exceptionnelles pour rompre avec le système d'avant le 25 juillet 2021.
Durant son passage du 28 septembre 2021 sur les ondes de la radio Mosaïque Fm, Mongi Rahoui a affirmé que la Tunisie ne pouvait pas échapper au système corrompu qui s'était mis en place à travers les méthodes traditionnelles.
« Nous avons évité une catastrophe. Quelques jours avant l'annonce des mesures, le mouvement Ennahdha avait forcé le chef du gouvernement à entamer le processus de création d'un gouvernement politique. Il avait réussi à infiltrer la justice tunisienne au fil de la dernière décennie ! », s'est-il exclamé.
Mongi Rahoui a critiqué l'attitude de ceux qui craignaient une possible dictature par Kaïs Saïed alors qu'ils en subissaient une réelle sous le règne du mouvement Ennahdha.
« Nous ne pouvions même pas faire opposition aux décisions de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP) auprès du tribunal administratif ! Le mouvement Ennahdha trafiquait le vote de projets de loi ! Il ne respectait ni la Constitution ni le règlement intérieur de l'assemblée ! S'opposer au 25 juillet 2021 signifie être en faveur des dépassements et de la détérioration de l'?tat durant les dix dernières années », a-t-il déploré.
Voir le lien:
https://www.businessnews.com.tn/mongi-rahoui--on-ne-pouvait-pas-eapper-a-ennahdha-a-travers-les-methodes-traditionnelles,520,112521,3
@Mr. Taoufik Ben Brik, votre article est vraiment unilatéral --> il faut comprendre que l'on ne peut pas remettre l'avenir de la Tunisie de nouveau entre les mains de RG. En effet, il a fait trop de connerie
@Mr. Taoufik Ben Brik, allez plutôt convaincre RG de démissionner de son poste de Président de notre ARP qu'il a payé trop cher par une coalition avec les corrompus. --> vous êtes vraiment entrain de salir votre image de journaliste et d'écrivain.
Très Cordialement
PS: je suis en home office et je jette de temps en temps un coup d'oeil sur Business News TN afin de me rassurer que la Tunisie est encore entre de bonnes mains... ça me prend du temps mais je ne peux pas renoncer à la construction de notre nouvelle Tunisie d'après le 25.07.2021 même si ce n'est que par de simples commentaires
Attention! USURPATION de mon pseudo "Fatma".