
Une délégation ministérielle libyenne est arrivée, le 26 août 2021, à l’aéroport Tunis-Carthage. Elle se compose de la ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Najla Mangoush, et du ministre de l’Intérieur, Khaled Mazen.
D’après une publication du Conseil économique tuniso-libyen, la délégation a été accueillie par le ministre tunisien des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l'étranger, Othman Jerandi, du chargé d'affaires de l’ambassade libyenne en Tunisie, Ali Omar Mzoughi, du Consul général de Libye en Tunisie, Fadhel Garyou et de l’attaché médical, Haithem Chaabane ainsi que de plusieurs diplomates libyens.
Selon plusieurs sources, l’arrivée de la délégation ministérielle libyenne s’inscrit dans le cadre de la révision du protocole sanitaire et la réouverture des frontières entre les deux pays.
S.G
Elles seront la source idéale d'entrée des terroristes de tout bord et une cause supplémentaire de la dégradation sanitaire dans le pays.
Ils sont ingrats ces Libyens et non reconnaissants après toutes les aides que nous leur avons offerts ces dernières années (accueil de leurs réfugiés pendant la guerre civile, intervention et accueil sur notre sol des différents protagonistes pour trouver solution à leur stabilité politique, services de soin dans les cliniques souvent pas complètement honorés,...) ils n'ont pas trouvé mieux que de fermer leurs frontières à la première occasion soi disant pour protéger leur population contre la covid alors que c'est avec eux que le variant Delta s'est installé chez nous.
Ils ne cherchent que leurs propres intérêts
Il faut imposer un moratoire même limité dans le temps pour des raisons de souveraineté et de sécurité.
Attention à ne pas céder en ce moment critique pour nous et rester fermés sur nos positions car nous ne pouvons pas être sur tous les fronts. Cela a un prix à payer économique certes mais nécessaire pour notre stabilité.
En fait, ce rapprochement n'a pas été efficace et il faudrait les mettre en garde une fois pour toute.
S'is sont prêts à collaborer étroitement , tant mieux pour les deux peuples et s'ils ont d'autres directions telles que la Turquie, ils n'ont qu'à le préciser et les mettre dans des oubliettes sans perdre trop de temps avec eux.
Il est temps de mettre les points sur les i avec beaucoup plus de sérieux , s'ils admettent ou non !

