
Suite à la polémique déclenchée sur les réseaux sociaux par l'information relative au courrier envoyé aux "héritiers du Martyr Abdessalem Essaafi", il nous importe d'apporter au public les éclaircissements suivants:
1- Le courrier envoyé est une erreur procédurale. Il n'aurait pas dû être envoyé. Nous avons pris contact avec la famille. Et une lettre d'excuses leur sera envoyée immédiatement.
2- Toutes les mesures nécessaires au traitement du dossier de crédit du Martyr Abdessalem Essaafi seront prises avec les parties prenantes à la banque; sans aucune incidence sur la famille.
3- L'UIB, en tant qu'Institution, et en tant que personnes, sommes éminemment reconnaissants des sacrifices de nos martyrs et de nos valeureux soldats. Nous avons été, nous sommes et nous serons toujours à leurs côtés au service de notre Patrie.
Communiqué
Ni le martyre ni sa famille n'ont besoin de vos excuses.
L'UIB devrait être sanctionnée comme banque avec retrait de son autorisation d'exercice.
Le code bancaire tunisien stipule des sanctions, faut-il juste appliquer la loi.
On rien compris
Pourtant 2 mots suffisent !
Je vous prie de bien vouloir prendre en charge la totalité du crédit.
Il sera classé définitivement comme pertes et profits.
'?a ne coûtera rien à une banque ,mais beaucoup pour une veuve de martyre et ses enfants.
Voilà la réponse que nous attendant tous, surtout d une filiale de société française aussi prestigieuse.
Merci d avance.