
L’assesseur du président du Parlement chargé de la communication, Maher Medhioub a tenu un point de presse, ce lundi 14 juin 2021, annonçant que le bureau de l'Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a décidé de permettre au président du Parlement de prendre les mesures nécessaires à la bonne marche de l'action parlementaire.
Maher Medhioub a assuré que les différents espaces seront équipés de moyens techniques permettant uniquement aux journalistes d'assurer la couverture et d'interdire la transmission directe des travaux du bureau de l'ARP par téléphone.
Dans ce contexte, il a indiqué que cette décision intervient suite aux tensions qui ont marqué la plénière consacrée à l'audition de certains ministres, amenant la présidente à lever la séance. Et d’ajouter qu’il a été décidé de reconduire d'un mois, les mesures exceptionnelles, face à la situation sanitaire dans le pays.
Aujourd'hui, les députés du PDL (Parti destourien libre) ont chahuté lors de la plénière consacrée à l’audition des deux ministres. Abir Moussi et les députés de son parti ont crié des « dégage » aux ministres et interrompu la séance. Par conséquence la plénière avait été suspendue.
Pr ailleurs, le bureau du Parlement a abordé les poursuites dont fait l'objet le député Yassine Ayari par la justice française et décidé d'adresser une correspondance à ce sujet à la ministre de la Justice et au ministre des Affaires étrangères.
En janvier 2021, le député Yassine Ayari avait reçu un avis préalable à une mise en examen en matière de diffamation ou d’injure publique de la part de la juge d’instruction au tribunal judiciaire de Paris, et ce, suite à une plainte déposée par Julien Balkany et la société pétrolière PANORO.
Sur un autre plan, le bureau de l'ARP a passé en revue le programme d'action du travail législatif du Parlement au cours de la prochaine période et décidé la tenue d'une plénière les 29 et 30 juin et le 1er juillet 2021 pour se pencher sur le refus, par le président de la République de parapher la loi sur la Cour constitutionnelle.
Attention mais il limiter l´apparitions des Politiciens sur les plateaux de TV..
Une fois la diffusion arrêté vous allez voir comment ce cirque va cesser! et les problèmes commencent à se résoudre! cela n'a rien a avoir avec les libertés! les élus peuvent aller exprimer leurs avis dans les médiats et face à leurs élus, mais à l'ARP ils doivent bosser! et voter des lois et solutions! après on sait qui a voté pour et qui a voté contre telle loi! donc on peut juger nos élus sur leurs travail!
Puis un citoyen doit aller bosser et pas s'occuper à regarder les bagarres des élus qu'on a voté pour faire leurs métier.
Vivement d'interdire la diffusion des séances de questionnement et ne laisser que les séances généraux pour des votes de lois!
Vive la dictature
La prochaine decision
c est les plateaux de TV
La dictature commence a montrer ces dents

