
Le président d’Afek Tounes, Fadhel Abdelkefi, a indiqué, lors de son intervention, lundi 7 juin 2021, sur Mosaïque FM, que son parti se plaçait en tant qu’alternative pour les Tunisiens entre les deux extrêmes que sont le PDL et Ennahdha.
« Nous proposons un autre choix et nous espérons que les citoyens vont se rallier à nous. Nous nous trouvons entre deux extrêmes, Abir Moussi qui ne nous représente pas et dont nous ne partageons pas les positions; et l’islam politique qui tient aussi un discours extrémiste et qui se dérobe toujours à ses responsabilités. La famille que nous représentons et que nous voulons réunir est celle qui a été rassemblée par Nidaa Tounes du temps de Béji Caïd Essebsi, avant que le parti n’éclate. Il s’agit notamment d’Al Badil, de Machrouû Tounes, Tahya Tounes, Al Joumhouri etc. Nous ne pouvons pas nous allier au PDL car Abir Moussi a pris un chemin et adopté des méthodes auxquelles nous n’adhérons pas, avec tout le respect qu’on lui doit, pareil pour l’islam politique qui nous ramène au moyen âge et qui a infiltré l’administration du pays » a déclaré M. Abdelkefi.
Sur la crise politique et économique que traverse le pays, le président d’Afek a souligné que les choix de la Tunisie n'étaient plus nombreux et qu’il était grand temps que les responsables prennent conscience que le temps joue contre eux.
« Avant nous parlions de conditions du FMI, aujourd’hui nous pouvons parler de directives. Quand nous en sommes au point où le prêt du FMI est indispensable pour payer nos dettes alors oui nous sommes dans une très mauvaise posture. Hichem Mechichi n’a que deux options, soit il trouve un moyen de régler son différend avec le président de la République et de revoir les nominations qui posent problème ou alors il doit démissionner. Il n’est pas normal que le pays fonctionne depuis des mois avec des ministres intérimaires. Je suis pour la démission du chef du gouvernement et que le chef de l’Etat nomme une autre personnalité avec laquelle il peut travailler », a-t-il poursuivi.
Fadhel Abdelkafi a estimé que les gouvernements d’après la révolution n’ont pas été au bout des réformes qui devaient être appliquées et n’ont fait que repousser l’inéluctable. « Celui qui veut corriger les choses doit libérer les compétences et prendre les décisions qui peuvent sembler douloureuses sur le court terme mais qui sont salutaires. Les entraves administratives doivent être levées, beaucoup de projets sont bloqués à cause de procédures qui n’ont aucun sens. Un gouvernant est là pour prendre des décisions difficiles, qui ne sont pas forcément populaires mais servent l’intérêt du pays » a-t-il ajouté.
Le président d’Afek Tounes a enfin affirmé que son parti est contre l’exclusion et qu’il prône une éthique politique qui se fait rare dans le paysage actuel.
M.B.Z
En conclusion, nous sommes devant une soi-disant révolution et printemps arabe de cirque et d'arnaque...
De rappeler que les naifs pensent en général que d'habiter Tunis, avoir une fonction publique et un véhicule est une fon en soi et un objectif dans la vie, et c'est pour cela que ghanouchi et nahdha ont utilisé cette faiblesse mentale et citoyenne pour duper les gens simplistes en vue de saccager des législatives qui ont été préconisées lors du séjour (ou sinecure) ; de cette secte avant 2011 à Londres pour que ses menbres (nahdha) apres avour manigancé par plusieurs formes et méthodes ces élections caricaturales.
Ceci étant, et malgré la cuisante se faire de nahdha par nida tounis, cette nahdha est parvenue par la force, la menace et la manigance d'obliger les menbres de nida tounis, apeurés, à démissionner et à fuir la politique.
Toutefois seul Abir Moussi a pu résister actuellement à ces arnaques et ce et surtout à l'appui de la majorité du peuple tunisien qui a compris l'a continuelle arnaque de nahdha jusqu'à ce jour, d'autant plus qu'il est décidé à s'allier à Abir Moussi et à son projet de sauvetage de la Tunisie des griffes de nahdha et d'annihiler son plan diabolique tracé par le Satan ghanouchi transfiguré en humain.
Que Dieu aidera la Tunisie à se prémunir de ces destructeurs et saboteurs !
Le type se prend pour un "ponte" de la politique et croit qu'il a un "score" dans des élections!
Mais Abir Moussi t'écrase comme une fourmi mon vieux ! (je laisse les cafards pour les khwenjias).
C'est très choquant, certes, mais je pense qu'elle s'en remettra.
Léon min joundi Tounis al Awfiya,
Résistant.
Verset 112 de la sourate des abeilles.
Rassurez-vous, M. Abdelkefi, je pense que Abir Moussi ne fera jamais appel à vous pour une " alliance",( rêvée par vous ?) avec son parti... Elle le fera peut être le jour où elle aura l'intention de se saborder et saborder dans la foulée son parti... Pourquoi ? parce qu' afek tounes, à l'instar de nahdha, ne sait proposer que des horizons politiques et socio-économiques bouchés pour la Tunisie, tout comme nahdha. Vous succédez à Yassine Brahim, président du parti de 2013 à 2020, vous n'avez plus que 2 élus à l'ARP, une misère...et 3 ministres, Brahim et deux autres, qui ont tous brassé du vent dans leurs ministères... Afek tounes, c'est comme nahdha, celui qui s'y frotte se brule... Et vous parlez d'une pseudo alliance avec le PDL ?... Je pense que le PDL ne voudra pas de vous, ô mounAFAKines, même en tant que membres PDL...
Votre declaration contre le PDL n est qu une honte pour votre parti
Allez y vous etes sur la voie de nida Tounes et kalb Tounes
Vous avez la trouille de Abir qui se bat pour son parti et les Tunisiens apauvris par l arrivee des sois disants sauveurs du pays de 2011
Seule contre tous
Tu pu le mec vicelard
Calculateur
La TUNISIE....apres
Moi avant
Ramasse tes sous et ferme la
Ce Monsieur désarçonne !
On aimerait bien y croire, un projet rénovateur, rassembleur et surtout social.
Mr Abdelkafi, l'homme araignée, se présente comme le sauveur de l'humanité, se situer entre la peste et le choléra, avec un remède pour la fièvre.
Avec là menace évidente des supposés réformes.
Soyez clair et précis, de quelles réformes s'agit-il ?
Vous avez en face les syndicats et la guérilla des gilets jaunes, il faut éviter de vivre dans les nuages , de considérer que vous êtes seul dans le marché, pour le moment, sauf prédire l'avenir, vous êtes un simple nom inscrit sur un simple parti, et c'est tout.
Sans aucune valeur dans la bourse et déjà vous avez éliminé des concurrents dans une course qui n'a pas encore commencé !
Vous voulez que les citoyens adhérent à vos idées alors que les intérêts du citoyen ne figurent apparament pas dans même votre discours alors que dire dans vos actions si jamais vous accédez au pouvoir.
Ce n'est pas avec un discours de gauche et un projet de politique libérale qu'on arrive à dissiper les inquiétudes et convaincre les électeurs.
Il le regrettera, sûrement.
Ceux ci peuvent être affaibli mais jamais disparaître, il faut le reconnaître.
Le pragmatisme devrait être le mot clé de cette étape pour donner de l'espoir au peuple et sortir du marasme.
Les bailleurs de fond ne veulent pas des islamistes ,c'est une réalité, mais
Pas d'exclusion pour eux quand même.
Mettre sur le même niveau Mme Moussi et les Khwanjias, c'est inacceptable et inadmissible.
Et vous croyez que les Tunisiens vont vota suivre?
l'union fait la force l'essentiel d'etre nationaliste meme si vous disparaissez et vous trouverez toujours votre place si vous éjectez ces énergumènes de rétrogrades et de voleurs
Le vrai titre c'est "Que ceux qui ont échoué reculent !"
et il a bien raison !