
Dans une publication émise ce lundi 23 novembre 2020, sur son site officiel, l’agence de notation, Fitch Ratings, a annoncé avoir révisé les perspectives de la Tunisie de stable à négatif et a confirmé la notation par défaut des émetteurs en devises à long terme à « B ».
L’agence de notation explique que les perspectives négatives reflètent une aggravation des risques de liquidité budgétaire du fait d'une forte détérioration des finances publiques et du vaste environnement macroéconomique causé par le choc pandémique du coronavirus. Un paysage politique fragmenté et des tensions sociales enracinées font peser des risques significatifs à la baisse sur les progrès des réformes budgétaires cruciales et pourraient compliquer les efforts visant à obtenir de nouveaux financements du FMI et du commerce, même si les autorités restent attachées aux politiques d'assainissement budgétaire et bénéficient d'un fort soutien officiel des créanciers.
« Nous prévoyons que le déficit de l'administration centrale (CG) s'élargira à 10,5% du PIB en 2020, contre 3,3% en 2019, globalement conforme à l'objectif du projet de budget supplémentaire, et supérieur à la médiane prévue de la catégorie `` B '' de 7,8%. Cela reflète une augmentation des dépenses salariales en raison des augmentations de salaire accordées dans le cadre d'un accord de 2019 avec les syndicats ainsi que des dépenses plus élevées pour lutter contre la pandémie, ainsi que des retombées budgétaires dues à une récession économique sans précédent » indique l’agence.
Fitch Ratings a souligné que la croissance économique de la Tunisie a constamment sous-performé la médiane de la catégorie «B» depuis 2011, reflétant à la fois la détérioration de la compétitivité, les perturbations de l'activité économique dues aux troubles sociaux et aux chocs exogènes. « Les perturbations liées à la crise sanitaire entraîneront une contraction record de 8% du PIB en 2020 (médiane B prévue : -4,8%), selon nos prévisions. La croissance reviendra à 4% en 2021 (médiane B prévue : 4,5%) soutenue par l'économie diversifiée de la Tunisie, une forte production agricole et de riches ressources touristiques, et une normalisation de l'activité minière. Nous projetons une inflation moyenne de 5,6% en 2020-2021, au-dessus de sa moyenne à long terme de 4,5% » a ajouté l’agence de notation.
M.B.Z
Tout est dit .
Nous savons qui est aux commandes depuis cette date et qui a oeuvré avec application à la banqueroute frauduleuse du pays .
Merci qui ?
La solution est tellement simple, qu'on n'a pas arrêter de crier depuis des années : Sortez dans la rue et mettre à la retraite TOUTE la classe politique (TOUS SANS EXCEPTION).
Vous direz peut-être que c'est insensée et irréalisable comme idée, je vous direz que non. Pourquoi ?
L'avenir de ce pays est entre les mains des jeunes, les politiques d'aujourd'hui sont en mode "Règlements de comptes idéologiques qui datent des années 1970 aux facultés". Ils ne penseront JAMAIS à l'intérêt de cette jeunesse qui parle un autre langage et qui veut vivre un autre rythme et d'autres ambitions. Il faudra leur laisser la place, même s'ils gaffent, le pays ne perdra pas plus qu'il a déjà perdu en 10ans.
Autre chose "Primordiale", en cédant les commandes aux jeunes compétents, qui n'ont rien à faire ou avoir avec Bourguiba, Ben Ali, ou l'islam Politique, on gagnera du temps, vu que personne ne pensera au passé.
Le problème de ce pays, c'est le passé mélangé au passé proche : Une bombe prête à exploser à tout moment.
Bande de mécréants...!
continuer à les encourager ,ils ont vidé les caisses ,les banques ,ils ont vendus les entreprises de l'état alors que vous les protéger au nom des droits de l'homme .
bienvenue à TOUNESTAN .

