
Le ministre de la Fonction publique, de la gouvernance et de la lutte contre la corruption, Mohamed Abbou a publié un statut, dimanche 19 juillet 2020, où il donne des précisions concernant les limogeages au sein de l’administration paru dans le dernier Journal officiel.
Mohamed Abbou affirme que plusieurs tromperies ont été publiées, expliquant qu’il y a des personnes, impliquées dans des dossiers de corruption, qui propagent de fausses informations dans le but de se mettre à l’abri de toutes poursuites. Il a annoncé que, dès demain, il déposera les dossiers de corruption qui devaient passer par les instances de contrôle, au ministère public « afin que les suspects ne puissent pas compter sur le départ du gouvernement pour les enterrer ».
Ainsi, Mohamed Abbou précise qu’Elyes Fakhfakh n’a pas limogé son chef de cabinet. Il indique que la personne limogée était en poste dans le cabinet de Kamel Morjane et qu’à son arrivée, il s’est mis d’accord avec le monsieur pour rester en place jusqu’à la nomination d’un nouveau chef de cabinet. Ce qui a été fait début juin 2020.
Mohamed Abbou commente par ailleurs l’éviction de plusieurs personnes des cabinets ministériels (notamment le Transport et l’Enseignement supérieur). Il assure que ces personnes ont été révoquées à la demandé de « leurs ministres avant qu’ils ne quittent leur fonction ».
D’autre part, le ministre dément le fait que le contrôleur général des services publics ait été limogé à la suite de l’enquête visant le chef du gouvernement. M. Abbou indique que la partie en charge de l’enquête est l’instance de contrôle général des services publics qui n’a aucun lien avec l’instance des contrôleurs de l’Etat. Et d’ajouter que c’est lui-même qui a demandé au chef du gouvernement, conformément à la loi, de mettre fin à la mission du contrôleur général des services publics pour lui en confier une nouvelle.
Mohamed Abbou accuse « certaines parties » d’user de moyens détournés pour couvrir leurs méfaits et les médias de publier leurs tromperies, alors que ces nominations et remerciements n’ont jamais fait l’objet d’un communiqué de sa part, comme cela se fait dans les départements qui se respectent. Les médias -dont Business News- ont puisé directement leurs informations dans le Journal officiel de la République tunisienne. Et le Jort parle bel et bien de limogeages. Ce n’est qu’aujourd’hui que le ministre a donné ces détails accompagnés de ces accusations. Si lui-même et son département auraient fait leur travail correctement, il n’y aurait pas eu ces interprétations.
I.l
Un.espoir tunisien
Le pseudo-incorruptible abou l'affamé, devrait être nommé chevalier de l'ordre de l'opportunisme, l'homme qui mange à tous les râteliers, à partir du moment qu'il occupe un poste de ministre.
Ya khouya, j'ai jamais vu un tammaa de ce gabarit.
La dine wa la mila
Puis Mr Abbou, je préfère état corrompu qui fait 3 ou 5% de croissance avec Koffa pleine et salaires des employés de l'administration sont juste et une stabilité sécuritaire! à une état soit disant non corrompu qui ne peut plus assurer le stricte min. alimentaire à ses citoyens!
On a marre de vos disques! Vivement que vous partez et en tête ce Kaiss Said qu'il est entrain de vous manipuler comme des marionettes
Cette gangrenne qui risque de détruire notre pays.

