Plus de trente personnes ont été admises aux hôpitaux Sahloul et Farhat Hached de Sousse suite au déraillement d’un train durant la nuit séparant le 20 et le 21 juin 2023. L'accident a eu lieu vers une heure du matin. L’accident a, également, fait deux morts. Il s’agit du conducteur de la locomotive et de son assistant.
S’exprimant à la date du 21 juin 2023 ce sujet sur les ondes de Shems Fm, le surveillant général de l’hôpital Sahloul, Noureddine Berraies, a indiqué que l’établissement avait été informé de l’incident par les équipes de la Protection civile. Les équipes d'urgence des deux hôpitaux se sont rendues sur place afin de transporter les blessés.
M. Berraies a indiqué que vingt blessés ont été admis à l’hôpital et ont suivi des examens. 90% d’entre eux ont été traités et ont pu quitter l’établissement. Les médecins ont décidé de procéder à des examens complémentaires pour trois patients. Ces derniers devraient quitter l’hôpital durant les prochaines heures.
Noureddine Berraies a expliqué que le conducteur du train était décédé sur le coup. L’assistant du conducteur est décédé à la suite de ses blessures. Il avait été transporté vers l’hôpital dans une ambulance de réanimation, mais, n’a pas pu être sauvé.
Revenant sur les détails de l’accident, le surveillant général de l’hôpital a expliqué que certains patients ont indiqué que le train avait déraillé et avait continué à avancer en dehors des rails sur une longue distance. « Le train avait pris de la vitesse puis avait déraillé… Les wagons de l’arrière sont entrés en collision avec la locomotive… Le conducteur a reçu un grand choc… L’assistant a été victime d’une hémorragie interne et de plusieurs fractures… Il n’a pas pu être sauvé… Paix à son âme », a-t-il déclaré.
De son côté, la correspondante de Mosaïque Fm à Sousse, Ines Hammami a indiqué que 32 blessés ont été transportés vers des établissements hospitaliers de la région. Elle a expliqué que le train était en direction de Gabès et que les raisons étaient toujours inconnues. Trois bus ont été déployés afin de transporter le reste des passagers.
S.G
Donc, mon père avait dans cette cabine, un coffret avec des pétards de sécurité à coincer au-dessus du rail, pour qu'ils se déclenchent sous les roues du train qui les poursuit. C'est pour le mettre en garde d'un probable danger de déraillement ou de panne du train qui le précède dans le même chemin. La vitesse de tous les trains doit être extrêmement réduite et l'attention des conducteurs, doit être sur le qui-vive.
Je pense que pour éviter de tels accidents de trains en Tunisie, il faut que la SNCFT engage plus de contrôleurs de rails qui marchent à pieds le long des rails, pour annoncer n'importe quelle dilatation de rails. Surtout en cette période de canicule en Tunisie.
Allah yèrham les collègues de mon père, wè issabbir Ahlèhom wè Dhawihom.
Allah yostir Tounes.
Réduisant les distances, transportant les voyageurs de centre-ville en centre-ville ainsi que permettant l'acheminement du fret en grande quantité de et vers les régions reculées d'un pays, il favorise grandement la décentralisation ; que ce soit sur le plan urbain, qu'industriel.
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L'industruie ferroviaire s'est dotée d'un standard permettant la compatibilité du matériel roulant, sur les différents réseaux ferrés existants.
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Seules quelques nations - dont malheureusement la notre - ne se sont pas encore allignées a ce standard de 1435 mm ; soit 4 pieds et 8 pouces et demi (ou encore 56 pouces et demi) :
En effet, jusqu'a présent, nous utilisons encore et toujours les écartements de voies hérités de l'ere coloniale, et / ou de surcroits, en tres mauvais état.
Seule la voie du Nord est standardisée, mais son état de délabrement manifeste, n'offre plus aucune sécurité.
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Pourtant, le chemin de fer - lorsque bien développé - permet de désengorger efficacement les routes, au grand profit de la sécurité routiere, que ce soit par la diminution du nombre de voitures, que par celle du nombre de véhicules utilitaires ou de grands camions de fret ; ceux-ci étant alors acheminés par train.
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Cependant, la vétusté et l'obsolescence de nos voies, rendent celles-ci dangereuses et parconséquent, moins fréquentées, au profit des louages.
Ceci ajoute encore plus de risques induits aux citoyens, par pes pratiques de conduite tres dangereuses de ces louagistes a la conduite sauvage ; sans fois ni lois :
Aucun respect du Code de la Route ; alors que transportant des personnes, ils devraient - au moins - les respecter, en faisant attention a leur santé et a leurs vies, s'il s'en foutent de la leur.
Depuis des années, tout détaille et personne ne peut prévoir ou anticiper ces pannes, ces accidents à répétition,...
La Tunisie est apparemment rouillée, devenue un passage, un tunnel sans issues.
Quand allons-nous sortir de ce " piège humain " !?
Les jours passent et le pays continue à sombrer.
Ce qui me TARAUDE, y'a il vraiment un commandant dans l'avion car même avec deux pilotes le risque de s'abîmer est omniprésent.
Les jours passent et la populace commence à manquer d'incas et d'eau pour garder ce qui reste comme forces en perte de vitesse.
Ce qui me TARAUDE, qu'est-ce qui se passe dans ce pays où les jeunes ne rêvent que de le fuir pour vivre sous d'autres cieux plus hospitaliers.
Mais l'exode forcé est-il une solution pour des damnés condamnés d'avance.
Pour quand la fin du supplice
Il faut virer le responsable du bureau de relation avec les citoyens à la CNSS...
C'est le début de sortie de cette crise...
