Si le président est tombé si bas pour inviter cette entité, son refus est logique

Primo l'argumentaire établi par SF part dans tous les sens et sans essence( Kounh en arabe) indicatrice d'une personnalité réellement indépendante et de libre pensée . D'une part il veut préserver son indépendance en tant que journaliste et d'autre part il prend déjà position en mentionnant qu'il n'accepte pas la politique des chaises occupées pour rien .Ceci constitue en soi du parti pris surtout qu'il rallie explicitement la position de l'UGTT qu'il veut, en plus, utiliser comme fonds de commerce à l'instar d'autres parties démunies de personnalité et de réelle indépendance d'esprit.
Mais à tous casser on peut dire pour ces chroniqueurs qui se vantent en affichant leur refus de l'invitation qu'en fait ils n'ont , à la limite, que du bla bla et des bribes d'idées ( en cas d'indépendance réelle des lobbies de marketing et de médias qui les payent) qu'ils diffusent sur antenne mais sans une réelle mesure d'applicabilité sur le terrain et surtout sans l'obligation d'accountability en cas d'échec'?'
C'est à l'image d'un vendeur de véhicule qui te parle de l'ABS, du wifi et du gps dans la voiture, de la tenue de route, et de toutes les options possibles à tel point qu'il peut sembler aux analphabètes que c'est bien eux qui en fait la conception et le montage en usine'?'mais l'instant où tu lui demande un petit détail technique il dira qu'il n'est pas technicien ou Mecanicien en la matière..
Le proverbe anglais traduit tout cela à travers ce proverbe » Thérèse is à différence between a car saler and a mechancic « 
C'est pour dire enfin que l'objet des comités institués nécessite de vrais mécaniciens et non des vendeurs de voitures ( des gacharas) . Pour preuve les vrais experts tels que l'économiste Saiden,'?'ont répondu positivement à l'appel et on fourni matière consistante écrite dans un délai de 72h.
Les chroniqueurs auraient pris 72 jours pour dire et redire du bla bla sans pouvoir rédiger 72 mots consistants pour le contexte tunisien.
Juste un mot concernant les propos flatteurs qu'on entend toujours enfers l'ugtt, les efforts des forces de sécurité, la confiance en la justice'?'l'intelligence des tunisiens'?'je crois qu'il faut savoir consommer avec modération.,,

un vrai journaliste doit être partout, sa principale prérogative est d'informer, de rapporter selon son âme et sa conscience des vérités, des réelles situations, il n'est pas sensé d'être ni pour , ni contre, mais seulement de décrire ses témoignages et de proposer des suggestions comme il pourra, je ne vois aucune raison de ne pas participer, les motifs donnés par sofiane de ne pas participer, sont flous , vagues et difficiles à piger pour toute TUNISIENNE et tout TUNISIEN de moyen niveau politique ... Enfin c'est sa décision et sa position, notre chère TUNISIE pullule de culots et de distinguées personnalités dans tous les domaines et les secteurs, je ne crois pas que MM BELAÏD et DERBALA trouvent des difficultés de le remplacer

Effectivement il y aura toujours Naoufel El Ouertani. Samir El Ouafi, Amine Gara et Sadik Halouas pour remplacer Sofiène Ben Farhat. La crème de la crème.

Lui il ne leche pas les bottes de quiconque.

Ah ce faux cul, il se défausse, comme d'habitude, les deux noisettes vidées de toute sa substance ! On ne va pas te prier ! L'éminence grise ? Tu ne peux rien apporter de concret, ni aider ton Pays qui te nourri, tu brilles par ton crachat dans la soupe, ingratitude quand tu me teins !
Personne n'est indispensable ! Il y en aura d'autres plus compétents que toi cher Monsieur.

Soufiane Ben Farhat dérange peu ou pas du tout...pour un journaliste qui se dit libre et indépendant !

Puisque le Dialogue ne se fera qu'avec les honnêtes et les purs,le fait d'avoir le carton d'invitation équivaut à un diplôme,le Graal suprême que l'on pourra désormais présenter dans notre CV;
Rien que d'être invité nous ouvrira les portes royales et nous dispensera de visas,alors imaginez si l'on a en plus répondu à l'invitation et par PATRIOTISME contribué à l'édifice de la nouvelle Constitution:
Dans 5, 10 ans:
"Ah ,Vous en étiez?" et l'autre pas peu fier,gonflant sa poitrine:"Oui,oui,j'en étais".

Bravo Soufiane bn farhat..tu restes tjrs un homme libre

Ce Fèchlèm et cre..in RCDiste ose dire non à un Putsch des RCDistes ?

Comprend qui veut !

Nous connaissons bien cette lâcheté du langage grisâtre des «Coco-Chanel», dont nous amuse, Sofièn Ben Farhat. Ni blanc, ni noir, dans l'attente de la fin du film, pour sauter dans les bras des vainqueurs. Sauf que notre Sofièn Ben Farhat et compagnie, omettent bêtement, qu'il ne pourra jamais plus y avoir de légitimité pour ce coup d'Etat, mené par des forces étrangères ennemies des Révolutions arabes, qui trouve lieu par les armes à feu depuis le 25 juillet dernier.
Le peuple tunisien ne ressemble en rien du tout à la lâcheté éternelle du peuple égyptien. Trouvez-nous un seul Juge tunisien, corrompu, «Beznèss» ou vendu, qui pourrait prononcer ce verdict des tribunaux égyptiens de la honte, de 15 ans de prison contre le journaliste égypto-canadien Mohamed Fahmy, l'accusant d'avoir mené une interview télévisée avec l'ancien candidat à la présidence égyptienne, Abdel Moneim Aboul Foutouh, sur Al-Jazeera Mubasher en février 2018. Pas un seul Juge tunisien ne le fera, même le pistolet sur sa nuque.
Tant que les «Saâdèt El-Bècha» jouent aux Pharaons contre nos frères les Egyptiens, tant que le monde arabe demeurera malade, n'ayant de rêves que la libération de ses pays arabes de la mainmise des juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine.
Donc, ce langage de «oui, mais» et de «je suis avec vous, mais ayez compréhension pour mon métier», n'ajoute qu'un autre galon à la lâcheté de Sofièn Ben Hamida. L'avenir nous le confirmera à mille pour cent.
Aux vrais Militants contre la dictature et contre le despotisme en Tunisie, je dirais :« Fè innè maâ al-ossri yossra » ou (à chaque difficulté, s'ensuit un soulagement).
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.