
Pour introduire le rapport annuel de la Banque centrale de Tunisie (BCT), son gouverneur Chedly Ayari a indiqué dans son mot d’ouverture écrit le 19 juin 2015 (avant l’attaque terroriste de Sousse) que «le dérapage des déséquilibres financiers fondamentaux, notamment l’évolution des prix de consommation, un déficit de liquidité chronique et un déficit des finances publiques, reflète une situation économique d’autant plus préoccupante que les résultats provisoires du 1er trimestre 2015 avec une croissance de 1,7%». «Ces indicateurs, explique-t-il, n’incitent guère à l’optimisme quant au bilan attendu pour l’ensemble de l’année en cours surtout avec la contreperformance annoncée de la majorité des secteurs d’activité».
Ceci dit, M. Ayari indique que même si les données disponibles reflètent un état des lieux préoccupant, cela doit être «une occasion à saisir par toutes les parties prenantes pour se concerter en commun sur les défis à relever à court et moyen terme, mettant à profit l’avantage et les chances offertes par la période de grâce procurée par l’état de stabilité politique, et œuvrer à asseoir un pacte social, seul garant d’une gestion apaisée et raisonnée des priorités économiques».
I.N
Commentaires (11)
CommenterC'est une blague !!!
Depuis que vous y êtes
LA CROISSANCE ??????????
que des voleurs...
DEGAGE
Quant à votre vice gouverneur Mohamed R c'est pire demandez lui ce qu'il a fait de la TFBank à Paris Dommage que nous n'avons pas fait une vraie révolution en Tunisie avec l'impunité totale pour ces profiteurs
EMPREUNTEZ POUR AUGMENTER LES SALAIRES....ET TIREZ LES CHASSES.
ils ont coupe la branche sur laquelle ils etaient assis... quant a nos enfants.....le terrorisme est peut etre le plus gros futur employeur.
@ big moustache
vous êtes une sommité dans votre domaine, mais vous avez vendu votre âme au diable en servant de béni-oui-oui a la troïka.
alors avec tout le respect que je vous doit profiter de votre retraite "méritée" et arrétez de vous la raconter.
Classe politique pas au niveau
Où sont les raisons qui poussent les entrepreneurs à investir? Le temps des miracles est révolu.
Un tournant triste: les observateurs mondiaux, qui qualifiaient la révolution tunisienne de seule qui ait réussi, ne le font déjà plus.
Pendant ce temps certains "politiques" ne trouvent à la situation rien d'exceptionnel qui mérite des mesures d'urgence.
Les ambitions gomment le patriotisme.
Grave...
C'est le récolte de l'arbre fruitier du début du présidentiel de B C E
pour lui facilité des faire des progrès dans toutes les domaines qui ont été touchés lors du gouvernent précédent par manque ignorance et le manque d'expérience dans le domaine .
Nwassi wa3tab
Le premier avait surestimé la crise des subprimes alors qu'elle était un coup de bleuf.
La seconde avait ruiné le budget de la France par des vaccins inutiles pour, soit disant, lutter contre une pseudo épidémie appelée N1H1
Mes écrits en 2008 le confirment