
Le président du Parlement, Brahim Bouderbala s'est exprimé, vendredi 27 septembre 2024, à propos de la proposition d'amendement de la loi électorale après son adoption par les députés à l'issue de la séance plénière tenue à cet effet.
Brahim Bouderbala a indiqué à l'issue du vote : « Je veux faire part de ma position personnelle que je n'ai pas voulu exprimer plus tôt. Je tiens d'abord à saluer mes collègues qui ont pris l'initiative pour présenter cette proposition parce que nous avons constaté qu'il existe deux institutions officielles qui se disputent les prérogatives et chacune voulant imposer sa position. Nous avons attendu jusqu'à la fin, mais comme aucune formule consensuelle n'a été trouvée, il était possible, et c'est là où se trouve le danger, d'être face à deux légitimités. Cela pouvait entraîner la division du pays entre deux légitimités. Nous avons préféré garder le silence, mais après nous avons pris connaissance des déclarations de certains juges administratifs ayant pris position en faveur d'une partie en particulier. Cela dit, les juges sont tenus par le devoir de réserve et n'ont pas à discuter des jugements dans la presse et les médias. Pire encore un juge administratif a annoncé que les résultats des élections seraient annulés alors qu'aucune partie n'a formulé de recours ».
Le président du Parlement a poursuivi son discours enflammé en assurant que les députés ont le devoir d'anticiper le danger et de réagir conformément à leurs prérogatives et conformément aux dispositions de la Constitution. Il a, également assuré que le Parlement ne défend aucune personne, mais uniquement l'intérêt de la nation.
Rappelons que l’Assemblée des représentants du peuple a adopté la proposition d’amendement de la loi électorale. Le texte a été adopté avec 116 voix pour, 12 refus et 8 abstentions.
S.H
LE BADAUD ET LE TROUILLARD
Ecrit par A4 - Tunis, le 11 Juin 2023
Maître Trouillard dans son palais retranché
Grelottant de peur dans son triste isoloir
Sent que ses vieilles guiboles vont bientôt flancher
Et que sa tête ne produit que des cauchemars
Prit la décision, toutes alarmes déclenchées,
De déclarer la guerre à tous les bobards
Maître Badaud qui flânait là par hasard
Caressa soigneusement ses grosses moustaches
S'est dit tout content: "Ciel, ça sent le caviar !"
Et se mit à aiguiser couteaux et haches,
"A moi de jouer avec finesse et art
Pour envoûter à fond ce naïf potache !"
Et c'est ainsi que notre Maître Badaud
Echafauda plein de plans machiavéliques
Pour mettre désastres et malheurs sur le dos
De ceux qui ne font pas partie de sa clique
Et se dépêcha avec son commando
Pour tout rapporter aux bidasses et aux flics
Le surlendemain, en maître des offices
Notre Trouillard, de derrière ses barricades
Ordonna la soumission à ses caprices
Et lança Maître Badaud et ses brigades
Aux trousses du père, de la voisine et du fils
Dans tous les villages, patelins et bourgades
"Ce sont eux !", lui déclara le charlatan
En lui montrant les comploteurs arrêtés,
"Ils ont salé toutes les eaux des océans,
Ont supprimé la pluie hiver comme été
Et se préparent avec un pinceau géant
A peindre le ciel en gris désargenté !"
Envoûté par tant de bravoure et courage
Maître Trouillard reconnaissant et content
Se mit derrière le Badaud, dans son sillage
En lui promettant un éternel printemps
Caviar à gogo, cadeaux et avantages
Et s'il le désire ... sa couronne de sultan !
Alors on élimine une une institution le Tribunal Administratif vieille de plus de 50 ans (depuis 1972) au profit de l'ISIE vieille de 10 ans (2012) illégitime (7 membres).
C'est logique dans un pays à la dérive. vous disiez toujours la décennie noire et puis tout un coup c'est devenu une décennie rose on appuie l'ISIE contre 27 juges parmi les meilleurs en Tunisie.
Allez comprendre quelque chose!
VOUS AVEZ Assassiné LA REPUBLIQUE!!! stop.
Surement ces 'députés' SERONT DEGAGés par application du système de RETRAIT DE CONFIANCE (SAHB AL WAKELE).
Il FAUT ASSAINIR L'ARP ET EVACUER LES.............VERS LE NOUVEAU RESEAU DES.............ET.........!!!!!!
Un groupement hétérogène à priori, dont on découvre à suivre ses manifestations qu'il est soudé par la passion de la revanche et le projet de faire tomber l'homme qui les démasqua mettant un terme à un scénario déjà en cours.
On peut rejeter l'option choisie par Kais Saied sans que cela annule ou invalide les causes génératrices.
Sans refaire toute l'histoire, on peut rappeler que la guerre faisait rage, et son point culminant -métaphore pu parabole- fut atteint le jour où un certain Harouni, imprudence ou hubris, menaçant exigeait une énième rançon.....
Cela suffit.
Un front projetait même de nommer un gouvernement provisoire, sous état d'urgence.
Ce qui, en bonne logique, signifie un contre-coup d'état pour dire les choses avec leurs mots, et en toutes bonnes conséquences, le régime comme ils l'appellent, aurait pu et dû tous les mettre sous écrou et les faire juger en Cour martiale.
Cela pour les faits et leurs suites logiques.
Rien ou presque de Cela n'eut lieu.
Il y eut des arrestations.
Pas de mise hors d'état.....
Aujourd'hui, certains et des émules fort courroucées prolettdnt lf pire sort à Kais Saied et ses soutiens.
Voilà quelques éléments constitutifs de mon choix de vote prochain.
Arguments à l'appui.
Le seul moyen pour les départager sans prendre position ni pour l'autre, or le recours à l'institution suprême qui coiffe l'ensemble des autres,à savoir l'assemblée Nationale,les élus du peuple mettre terme à cette grosse contradiction.
Des juges qui sortent de leur droit de réserve, ces graves, et contreproductif !
Par cet acte délictieux il faut qu'il y ait des suites pour rappeler les intervenants de leur droit de réserve.
Nous saluons cette louable initiative pour une normalisation de nos institutions.
Merci monsieur BOUDERBALA .
Non, la Constitution était très claire, et cet amendement est anticonstitutionnel.
Mais en l'absence de Cour Constitutionnelle, on fait ce qu'on veut, ou on obéit au prince...
Il vient juste d'assurr ses derrières, au cas où !
Le scénario le plus probable, c'est que siedtou Rabbi --lé-- yne7ih va gagner dès le premier tour.
Et il jouera après les héros en nous disant qu'il a solennellement choisi de ne pas bénir, ce pur acte de tbandir !
Ave hAdhAka !

