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Brahim Bouderbala : nous soutenons notre confrère Jamel Hajji !
18/07/2019 | 10:28
1 min
Brahim Bouderbala : nous soutenons notre confrère Jamel Hajji !

 

Le bâtonnier des avocats, Brahim Bouderbala, est intervenu ce jeudi 18 juillet 2019, sur Shems FM pour revenir sur l’affaire Jamel Hajji, l’avocat arrêté pour avoir abattu un voleur chez lui dans la nuit de mardi à mercredi.

 

« Ce qu’a fait notre confrère c’est se défendre et défendre sa famille et n’importe qui aurait réagi ainsi. C’est donc une réaction légitime et la loi pénale est claire à ce sujet et considère, dans son article 40, qu’il n’y a pas crime quand on tente de repousser un agresseur. Nous sommes solidaires avec notre collègue et je pense qu’il fera l’objet de l’application de l’article 40 et pas de l’article 39 qui évoque les cas de légitime défense. Nous avons foi et confiance en la justice et respecterons les décisions quelles qu’elles soient » a-t-il précisé.

 

Dans un autre contexte, le bâtonnier fraichement élu, a répondu aux rumeurs concernant sa proximité avec les islamistes et le fait qu’il ait bénéficié de leurs voix pour accéder au bâtonnat. « J’ai été soutenu par de nombreuses figures de la gauche et je ne me suis jamais adressé à quelqu’un en dehors du cercle des avocats. J’ai également été soutenu par les destouriens, les islamistes et les indépendants qui ont tous adhéré à ma vision, celle d’exclure les calculs partisans et donner à l’ordre des avocats une orientation purement professionnelle car le métier se politise et cela a toujours été mon combat » a-t-il poursuivi.

 

 

M.B.Z

18/07/2019 | 10:28
1 min
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Commentaires (5)

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Maxula
| 19-07-2019 16:01
"il a finit par avouer"

Il a "fini", passé composé et pas passé simple !
C'est simple pourtant !
Maxula.

Maxula
| 18-07-2019 23:42
J'ai écouté ce monsieur chez M. Belkadhi.
Je ne sais pas s'il avait oublié qu'il était en direct sur le plateau d'une télé regardée par le tunisien lambda, toujours est-il qu'il a jacté comme un livre ou lors d'une plaidoirie, s'exprimant dans un arabe livresque mais pas dans notre "derja" nationale.
Je doute fort qu'on l'ait très bien capté au fin fond de nos régions déshéritées de l'intérieur.
Mais quand sur l'insistance de M. Belkadhi il a finit par avouer faire partie des islamistes con-vaincus purs et durs, j'ai compris le pourquoi du recours exclusif à l'arabe livresque, et le dédain hautain ainsi manifesté à l'encontre de "notre langue maternelle" !
Maxula.

Fehri
| 18-07-2019 14:06
Sachons-nous si la victime portait un petit couteau ou une épée comme le déclare l'accusé? Sachons-nous si la balle est tirée sur le dos. On peut pas être le juge et l'exécuteur. Les syndicats défendent aveuglément leur membres. J'aimerai bien savoir la théorie de l'avocat de la victime.

Abdelkader
| 18-07-2019 13:27
Ce Monsieur par un subtil mélange des genres , invite le juge en le caressant dans le sens du poil , à donner la qualification la plus avantageuse pour l'avocat mis en cause .
Indigne !

Akoubi Ammar.
| 18-07-2019 12:17
C est à la justice d innocenter ou pas un tueur en légitime défense. Elle ne doit pas être influencé par quiconque quelque soit sa position et son rang dans la société. Des centaines de personnes séjournent dans les prisons malgré la légitime défense dans des crimes qu elles ont commises. Où étaient ils ces défenseurs acharnés des cas de l espèce. Un crime a été commis et chaque partie de la justice doit faire son travail loin de la confrérie. La loi c est la loi et nul n est censé l ignorer.