
Élu, le 13 mars 2023, président de la nouvelle Assemblée des représentants du peuple (ARP) avec 83 voix, Brahim Bouderbala est né le 7 août 1952 à Bab el Fellah à Tunis au sein d'une famille originaire de Gabès.
Brahim Bouderbala a suivi ses études secondaires au lycée Ibn Charaf avant de rejoindre la Faculté de Droit et des Sciences Politiques où il avait obtenu son diplôme en 1976. Durant la même année il obtient son certificat d'aptitude à la profession d'avocat. Il a été officiellement inscrit, le 6 mai 1977, à la section des avocats stagiaires, pour prêter serment six jours après.
En 1992, Brahim Bouderbala avait été élu président de la section régionale de Tunis l'Ordre national des avocats, en assurant ensuite un deuxième mandat de 1995 jusqu’à 1998.
M. Bouderbala, aux obédiences nationalistes panarabes, s'était porté volontaire pour plaidoyer dans des affaires politiques. Il avait notamment défendu des leaders de l’UGTT suite aux évènements du 26 janvier 1978 connu sous le nom de « Jeudi noir ».
Le chef du nouveau parlement n’avait réussi à présider l’Ordre des avocats qu’à sa huitième candidature en 2019.
Brahim Bouderbala avait été désigné par le président de la République, en 2022, à présider le Comité consultatif des affaires économiques et sociales de la Commission nationale consultative pour une nouvelle République.
Brahim Bouderbala, fervent défenseur du projet de Kaïs Saïed, s'était présenté aux élections législatives du 17 décembre 2022. Sa victoire est confirmée au second tour du srutin. Il avait indiqué dès lors qu’il était prêt à occuper la fonction de président du nouveau parlement.
H.A

Mais, au moins, Ben Ali était un Dictateur éclairé ; celui là c'est la "Destruction mutuelle assurée".
Et puis, enlève moi ce pseudo de "Patriote", tu fais HONNNTEE. E7CHEM 3ala ROU7EK ya la77ass.
Et maintenant un ancien bâtonnier de l'ordre des avocats est considéré par BN comme un ignorant
Quel mascarade
Quel honte
Quel niveau de journalisme
Mais hélas les dés sont jetés
La situation actuelle de la faillite est le résultat de la mauvaise gestion des khouanjias durant la décennie noire
Le pouvoir actuel est à encourager pour ses efforts afin de redresser la barre
Un rappel qu'en 2012 la dette extérieure du pays était de 20 mille milliards et elle est passée 120 mille milliards
Où sont passé les 100 mille milliards de crédits reçu par les khouanjias
BN ne parle jamais de ces vérités
Dire que les finances étaient catastrophiques avant c'est sur, mais une situation économique désastreuse se redresse par des décisions dures mais nécessaire, pour le moment, à part nous faire perdre du temps, y'a rien.
Les decisions qui ont été prise depuis deux ans (nouvelle constitution, consultation bancal, parlement inutile) ne profite qu'à kais et ses soutiens, pour le peuple rien.
Le jour où kais prendra des décisions en faveur du peuple, je suis prêt à revoir ma copie, pour le moment on y est pas.
Le souci c'est que kais croit que la solution à nos problèmes sont d'ordre juridique, erreur monumentale d'appréciation, nos priorités sont d'ordre économique. On a besoin d'un mathématicien pas d'un littéraire.
Quelqu'un qui confond milliard et million est-il compétent pour redresser une situation économique ?
Ces putschistes sont venus pour rester pendant très longtemps.
Tounis This Rjil Toghro9 Lochra !
Il est creux et vide comme une coquille.
Il n'a pas non plus l'expérience nécessaire pour diriger un ARP de surcroît illégitime.
Mon petit doigt me dit qu'il s'agit plutôt d'un ami " fidèle " du nouveau Prince de Carthage.
Son nouveau destin a été fabriqué et initié dès le soir du 21 juillet 2021.
Il est évident que de toute façon cette racaille d'arrivistes sera jugée, le moment opportun, d'une manière ou d'une autre.
Bourguiba a vécu sa chute avec une fin pitoyable.
Ben Ali a eu son salut dans sa fuite comme un vulgaire recherché.
Certes, l'histoire ne se reproduit pas mais elle se renouvelle en fonction des aléas du moment et des évènements souvent inattendus.
Bientôt, nous aurons un DINAR chiffon de papier.
Je suis pour le socialisme
Et pour le capitalisme
Parce que je suis opportuniste
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu'un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté
Je n'ai pas peur des profiteurs
Ni même des agitateurs
J'fais confiance aux électeurs
Et j'en profite pour faire mon beurre
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu'un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté
Je suis de tous les partis
Je suis de toutes les party
Je suis de toutes les coteries
Je suis le roi des convertis
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu'un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté
Je crie vive la révolution
Je crie vive les institutions
Je crie vive les manifestations
Je crie vive la collaboration
Non, jamais je ne conteste
Ni revendique ni ne proteste
Je ne sais faire qu'un seul geste
Celui de retourner ma veste, de retourner ma veste
Toujours du bon côté
Je l'ai tellement retournée
Qu'elle craque de tous côtés
'? la prochaine révolution
Je retourne mon pantalon
Regardez par exemple : " En 1992, le Brahim Bouderbala avait été élu président de la section régionale de Tunis l'Ordre national des avocats, en assurant ensuite un deuxième mandat de 1995 jusqu'à 1998."
Dire ( le Brahim Bouderbala veut dire beaucoup de choses )
D'ailleurs, je fais pareil, pas de le bouder

