Un reportage télévisé nous a dévoilé une réalité dramatique.
Un corps médical et paramédical épuisé, un manque de places dans les sevices COVID, un personnel résigné, obligé, à contre-coeur, de prendre des décisions de vie ou de mort.
Très dure réalité !

Est-ce une fatalité ? N'y avait-il pas moyen d'amoindrir les dégats !

Avons-nous le droit de manquer de moyens matériels alors que ces moyens sont disponibles chez leurs fabricants ?

Les milliards de manque à gagner résultant de l'arrêt de l'exportation du phosphate pendant des mois, nous viennent à l'esprit.

Une question se pose: quel rôle aurait pu jouer et peut encore jouer la société civile pour remédier à cette situation ?

Là vient le rôle de nos associations et de nos milliardaires. Leur action urgente est requise. Les équipements manquants peuvent être achetés et nos réanimateurs exerçant à l'Etranger peuvent être appelés pour alléger, provisoirement, la tache de leurs confrères épuisés et ce, moyennant une indemnité confortable

Avant tout, je rappelle que ce virus ne fait pas la distinction entre les riches et les démunis.

Je rappelle aussi que la personne qui attend qu'un lit se vide, peut être votre père ou votre mère, de toute façon, un être humain dont vous pouvez vous vanter d'avoir contribué à lui sauver la vie. Y-a-t-il de meilleures actions !!!

https://www.youtube.com/watch?v=3aGFKBHPWjc

Le ministère israélien de la santé examine des cas d'inflammation du muscle cardiaque liés au vaccin de BioNTech/Pfizer. L'effet secondaire s'est produit principalement chez les jeunes hommes, a-t-il précisé.

Une étude préliminaire a montré des dizaines de cas de myocardite chez plus de cinq millions de personnes vaccinées, principalement après la deuxième dose, a déclaré dimanche le coordinateur israélien de la réponse à la pandémie, Nachman Ash.

Interrogé par l'agence de presse Reuters, Pfizer a déclaré qu'il était "au courant des observations israéliennes de la maladie, qui était survenue principalement chez de jeunes hommes ayant reçu le vaccin Pfizer/Biontech". Les effets secondaires indésirables font l'objet d'un examen régulier et approfondi et la société n'a pas observé un taux de myocardite supérieur à celui qui serait attendu dans la population générale, a-t-elle ajouté.

Les pauvres Tunisiens peuvent aussi vous accuser pour n´avoir rein dit lorsque les partis, l´UGTT et le Président ont commencé à organiser des carnavals dans le pays.

Nous, les pauvres, avons été traités comme des moins que rien depuis 1956. Aujourd'hui, nous sommes librement mourir : Dans la pauvreté nous ne pouvons pas respecter les mesures d'hygiène, nous ne pouvons pas payer les traitements, nous ne pouvons pas prendre de médicaments, nous avons souvent de l'hypertension ou du diabète, nous ne sommes pas vaccinés, nous...
et notre président continue de faire campagne avec ses femmes à Carthage...

Je vous repondrai que l état tunisien n a jamais oublie de vacciner un pauvre et que le statut d indigence de 1ere ou 2eme catégorie permet à tous les tunisiens d accéder à tous les traitements, intervention. Le diabète, l hyprtension sont fréquent en tunisie dans les classes sociales. Le diabétique tunisien est souvent mal équilibre quelque soit son statut social, du fait de son i.diciline.