C'est certain qu'on a des comptes à régler et ça se fera.
Vous êtes tout simplement les ennemis de l'Humanité entière.
Intervenant aujourd’hui, jeudi 30 juillet 2015, sur les ondes de Saraha Fm, le président du bloc parlementaire d’Ennahdha, Noureddine Bhiri a affirmé qu’il existe des parties qui veulent faire porter la responsabilité de l’extradition et de la remise de Baghdadi Mahmoudi aux autorités libyennes au parti d’Ennahdha et à Hamadi Jebali. Ces parties veulent même impliquer le président de la République, Béji Caïd Essebsi dans cette affaire, selon ses dires.
Noureddine Bhiri a indiqué qu’il s’agit d’un règlement de compte personnel, ajoutant que c’est une affaire judiciaire dans laquelle les tribunaux tunisiens ont dit leur mot, se prononçant pour l’extradition de l’ancien Premier ministre libyen, et ce avant même l’arrivée de la Troïka au commandes du pays.
Un fois au pouvoir, le gouvernement de la Troïka a reçu une demande de remise de Baghdadi Mahmoudi, conformément à la décision judiciaire tunisienne. Le gouvernement à l’époque a dû prendre sa décision par vote, affirme-t-il.
M. Bhiri a conclu en s’exclamant : « Comment réclame-t-on à nos autorités l’extradition vers la Tunisie des personnes se trouvant à l’étranger et demandées en justice, alors qu’on refuse ce droit aux autres pays. Bien entendu, sous condition que les personnes extradées bénéficient d’un procès équitables ».
S.H
Intervenant aujourd’hui, jeudi 30 juillet 2015, sur les ondes de Saraha Fm, le président du bloc parlementaire d’Ennahdha, Noureddine Bhiri a affirmé qu’il existe des parties qui veulent faire porter la responsabilité de l’extradition et de la remise de Baghdadi Mahmoudi aux autorités libyennes au parti d’Ennahdha et à Hamadi Jebali. Ces parties veulent même impliquer le président de la République, Béji Caïd Essebsi dans cette affaire, selon ses dires.
Noureddine Bhiri a indiqué qu’il s’agit d’un règlement de compte personnel, ajoutant que c’est une affaire judiciaire dans laquelle les tribunaux tunisiens ont dit leur mot, se prononçant pour l’extradition de l’ancien Premier ministre libyen, et ce avant même l’arrivée de la Troïka au commandes du pays.
Un fois au pouvoir, le gouvernement de la Troïka a reçu une demande de remise de Baghdadi Mahmoudi, conformément à la décision judiciaire tunisienne. Le gouvernement à l’époque a dû prendre sa décision par vote, affirme-t-il.
M. Bhiri a conclu en s’exclamant : « Comment réclame-t-on à nos autorités l’extradition vers la Tunisie des personnes se trouvant à l’étranger et demandées en justice, alors qu’on refuse ce droit aux autres pays. Bien entendu, sous condition que les personnes extradées bénéficient d’un procès équitables ».
S.H