
Le conseiller économique de l'Union tunisienne de l'agriculture et de la pêche (UTAP), Fathi Ben Khalifa, a indiqué, vendredi 15 novembre 2024, que l'absence de stocks de régulation a provoqué l'augmentation du prix des pommes de terre et a permis aux spéculateurs de contrôler le marché.
Il a souligné que les mécanismes adéquats n'ont pas été mis en place par le Groupement interprofessionnel des légumes, et que les ressources du Fonds de développement de la compétitivité, qui proviennent essentiellement des prélèvements effectués sur les agriculteurs et les marins, n'ont pas été utilisées.
Le responsable a appelé à l'utilisation efficace de ces ressources, estimant qu'il est « criminel » de vendre les pommes de terre au prix de trois dinars le kilogramme.
« Notre production est suffisante, mais nous devons activer tous les mécanismes de régulation et fixer les prix. Les pommes de terre sont disponibles, et les agriculteurs ont déjà entamé la collecte de novembre-décembre », a-t-il ajouté.
Le directeur général de la concurrence et des enquêtes économiques au ministère du Commerce, Houssem Eddine Touiti a déclaré en octobre que la hausse des prix de certains produits et leur rareté sur le marché sont liés aux changements de saison. Il a ajouté que des mécanismes réglementaires seront bientôt activés pour contrer la flambée excessive des prix de certains produits, précisant que les services de contrôle constatent chaque jour des infractions concernant les pommes de terre, dont les prix échappent à la régulation malgré leur plafonnement.
Le prix du kilogramme de pomme de terre a été plafonné à 1,9 dinar à partir du lundi 23 septembre 2024. Il s’agit d’une décision du ministère du Commerce et du Développement des exportations, visant à limiter la hausse des prix qui ont augmenté de manière significative. Le prix de vente au public étant situé entre 2,3 et 2,6 dinars et atteint parfois trois dinars, cela en plus de la rareté du produit sur le marché.
M.B.Z
Même les kolkhozes ne voulaient pas en produire à ce prix là.
Il a fallu faire quoi? Obliger les fermes à consacrer une surface minimale à la patate par la force. Comme elles ne faisaient pas, il a fallut une armée de fonctionnaires qui sillonnaient le pays pour vérifier qu'elles consacrent ces surfaces.
La patate officielle disparaissait et la patate cultivées par les gens dans leur jardin se vendait à prix d'or.
Alors que dans les kolkhozes les paysans ne s'occupaient pas de cette culture, les rendements étaient cata et il a fallut leur imposer des quotas à réaliser.
La patate à 3 kopecks à été une catastrophe économique dont les imbéciles de gauchistes ont le secret.
SI vous connaissiez quelques producteurs agricole , ils vous diront que le fait que l etat ait impos2 un prix minimum depuis l epoque chahed , il coute + cher pour un producteur de produire des pomme terre du fait de l inflation que de produire des piments par example.
Ainsi le fait que de moins en moins de producteur produise la batata , cela cree la raret2 et donc la hausse du prix au dessus du prix maximum qui devient maintenant le prix minimum de vente .
Bien sur cela a deja evoqu2 depuis les annees 1950 par different economiste mais comme on a que des c... socialistes comme sinistre , le peuple n a qu a pleurer .
que celui a les moyen achete et que les autre n achetent pas et le prix chutera