Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a reçu successivement, le 29 décembre 2015, le docteur Hichem Djaït, ancien président de Beit El Hikma, ainsi que son successeur, Abdelmajid Charfi, d’après un communiqué de la présidence.
A cette occasion, le président a remercié Hichem Djaït pour les efforts déployés à la tête de l’institution. Il lui a également renouvelé le fait que la Tunisie ait besoin de tous ses intellectuels et ses penseurs dans la conception de son projet civilisationnel.
Béji Caïd Essebsi a aussi rencontré Abdelmajid Charfi, récemment élu à la tête de Beit El Hikma. Ce dernier a déclaré après la rencontre que le chef de l'Etat que celui-ci lui assuré son soutien aux activités de l'institution. Il a également insisté sur la participation des élites et des intellectuels pour faire réussir la Tunisie en cette période sensible.
M.A
Commentaires (8)
CommenterDjait est un grand, Charefi ferait mieux
La Tunisie a besoin de la sagesse de ses penseurs
@ fadi
PAS DE RECUPERATION POLITIQUE
Pense-bête à l'adresse de la classe politique
1) Mr BCE a assuré qu'au cours de son règne, il va s'employer à introduire la Tunisie dans le 21è siècle.
2) Il est rentré de l'Arabie Saoudite avec 47 avions militaires fripés que les tunisiens vont devoir entretenir. Nos mémés n'ont jamais demandé chose pareille.
3) Il vient de confier qu'il n'est pas près à commettre une 3è injustice à l'encontre de son enfant.
Bourguiba ( du temps où jouissait de la plénitude de ses facultés) avait interdit à son fils de contracter un prêt bancaire pour l'acquisition d'une maison. Il tenait à être propre et pour cela il en imposait à tout le monde. Jr n'avait pas à collectionner les privilèges.
Mais surtout il n'a jamais mis les pieds en Arabie S. pour quémander quoi que ce soit. Il n'aimait pas beaucoup les cadeaux empoisonnés.
Morale de l'histoire Bourguiba n'était nullement un roublard.
Morale de la morale, les tunisiens n'aiment pas ce genre d'accoutrement. Que ceux qui ont succédé au grand Bourguiba se sont employés, chacun à sa manière, à faire baisser le pantalon aux tunisiens.