
Bayram Hamada, membre du conseil central de l'Union tunisienne de l'agriculture et de la pêche (Utap), a dénoncé aujourd'hui, jeudi 29 juillet 2024, dans l'émission « Ahla Sbeh » sur Mosaïque FM, ce qu'il a qualifié de rumeurs qui ont affecté les ventes de pastèques cette saison.
« Est-ce raisonnable de croire aux rumeurs sur Facebook sans rapports officiels ? À ce jour, nous avons exporté environ 7.800 tonnes, dont 2.800 tonnes vers un pays européen et 5.000 tonnes vers un pays voisin. Ces pays ne disposent-ils pas de mécanismes de contrôle de qualité ? Ce qui se passe est honteux ! », a-t-il déclaré.
Il a souligné que les agriculteurs disposent d'engrais et de produits agricoles certifiés qui répondent aux normes établies à cet effet. « En raison de ces rumeurs, une diminution de la demande d'achat de la pastèque a été enregistrée, causant également des dommages aux agriculteurs et aux voies de distribution » a-t-il ajouté.
Rappelons que de nombreuses publications sur les réseaux sociaux, parfois illustrées, évoquent la contamination des pastéques « aux nitrates ». Elles prétendent aussi l'existence de nombreux cas d’intoxication alimentaire allant même jusqu’à affirmer que les hôpitaux ne désemplissent pas de personnes malades pour avoir mangé de la pastèque.
A.B

Vu de mes propres yeux
persiste) est bel et bien due à l'ingestion d'une pastèque dégueulasse que j'ai eu le malheur d'acheter chez un revendeur qui s'approvisionne chez un agriculteur de merde.
Je ne dis pas que mon cas est une généralité mais j'invite les autorités, à partir des quantités disponibles sur le marché, d'enquêter de manière aléatoire et sérieusement sur la teneur en nitrates des pastèques, l'utilisation de certains produits chimiques pour augmenter leurs poids ou leurs volumes en vue d'espérer de meilleures recettes ou la détection de l'utilisation par certains agriculteurs d'eaux usées ou polluées de rejets industriels pour l'irrigation de ces mêmes pastèques.
Alors, je redemande aux autorités d'être excessivement vigilantes et je ne vais certainement pas croire aux balivernes d'un optimisme béat exprimées par un responsable de l'UTAP.
Au lieu de prendre leçon de ce qui se passe en Tunisie et de ne plus chercher à gagner de l'argent aux dépens de la santé de sa propre population, ce bluffeur cherche à sauver la face et le portemonnaie de ses semblables.
Rendez-nous nos pastèques, nos melons et nos fruits d'antan. Sinon, vendez-les à l'étranger sans jamais évoquer leur origine tunisienne.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Il n'y a pas plus de talmud dans ces fruits que de neurones dans la boîte vide qui te sert de crâne !
ca fait lgpts que je n achete plus rien dans les march2s , surdozage des pesticides et a pres ca s etonne des cas de cancer et aucune filliere bio serieuse

