
Le président de la Ligue tunisienne des droits de l'Homme (LTDH), Bassem Trifi, a indiqué, dans une déclaration accordée, vendredi 14 juillet 2023, à Diwan FM, en marge d’une conférence de presse tenue à Sfax, que la solution à la crise des migrants doit être envisagée sous un angle social et humanitaire.
Il a souligné que les discours racistes et haineux doivent être sanctionnés en vertu de la loi et que l’État doit soutenir la société civile à assurer son rôle et mettre en place des mécanismes permettant de dresser un bilan de la situation, des centres d’accueil en l’occurrence, pour connaître le nombre exact de migrants et traiter les dossiers au cas par cas.
« Beaucoup de migrants souhaitent rentrer chez eux, repartir dans leur pays, d’autres veulent émigrer en Europe (…) il faut permettre aux personnes qui veulent aider de le faire, beaucoup craignent des représailles alors que le discours raciste se répand au sein même de l’appareil de l’État (…) il faut agir de manière à préserver la dignité de ces personnes, connaître leurs besoins (…) des centres d’accueil et lutter contre le discours raciste, voilà ce qu’il est indispensable de faire pour commencer », a ajouté Bassem Trifi, notant que les conditions climatiques et une mauvaise gestion de la situation pourraient engendrer une crise sanitaire.
M.B.Z
Les tunisiens ne sont pas racistes et ne veulent pas voir ces hordes de sauvages dont une immense majorité sont des repris de justice dans leurs pays et des criminels...
Ce guignol ne représente que son ombre..
pour migrer ».
Les N.U font la sourde oreille à la notion de l'intégrité du territoire inviolable...
Comme d'habitude, les conseilleurs ne sont pas les payeurs !!!