
Le directeur général des opérations de la Banque mondiale, Axel Van Trotsenburg a souligné, le 12 octobre 2022, l'impératif d'engager des réformes fiscales « cruciales » pour « remettre la Tunisie sur sa trajectoire de développement ».
« Ces réformes sont également nécessaires pour le bien de la population », a-t-il déclaré, dans un tweet posté, à l'issue d'une réunion avec les ministres de l'Economie et de la Planification, Samir Saïed et la ministre des Finances, Sihem Nemsia, qu'il a qualifiée d'« importante ».
Et d'ajouter que « la Banque mondiale restera aux côtes de la Tunisie afin de faire face à la conjoncture actuelle difficile ».
Cette réunion s'est déroulée en présence du vice-président de la Banque mondiale pour la Région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Ferid Belhaj, et en marge des assemblées annuelles 2022 du FMI et du Groupe de la Banque mondiale qui se tiennent du 10 au 16 octobre courant.
Une délégation tunisienne de haut niveau conduite par la ministre des Finances, Sihem Nemsia, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Marouane Abassi et le ministre de l'Economie et de la Planification, Samir Saïed participe actuellement à ces assemblées.
Ces rencontres devraient offrir l'occasion aux responsables tunisiens de poursuivre les discussions avec le Fonds monétaire international (FMI) autour d'un nouvel accord de financement, sachant que le prêt négocié avec le Fonds devrait être compris entre deux et quatre milliards de dollars sur une période de trois ans, selon le gouverneur de la BCT.
S.H

Mais notre bureaucratie veut une fiscalité réelle en recette alors que les dépenses sont sujet d'une fiscalité forfaitaire.
'?videmment je parle des personnes physiques...

