Le chef du gouvernement, Youssef Chahed préside actuellement en ce lundi 9 juillet 2018, au Palais du gouvernement à la Kasbah, une réunion sécuritaire en présence du ministre de l’Intérieur, du ministre de la Défense nationale ainsi qu’un nombre de responsables sécuritaires et militaires.
Cette réunion porte sur le suivi des opérations de traque entamées depuis hier dimanche 8 juillet 2018 à Ghardimaou dans le gouvernorat de Jendouba. Il s’agit des opérations visant à arrêter le groupe terroriste qui a perpétré l’attaque contre la Garde nationale, hier, coûtant la vie à 6 de ses agents.
B.L
Attentat de Ghardimaou : Le chef du gouvernement préside une réunion sécuritaire
Le chef du gouvernement, Youssef Chahed préside actuellement en ce lundi 9 juillet 2018, au Palais du gouvernement à la Kasbah, une réunion sécuritaire en présence du ministre de l’Intérieur, du ministre de la Défense nationale ainsi qu’un nombre de responsables sécuritaires et militaires.
Cette réunion porte sur le suivi des opérations de traque entamées depuis hier dimanche 8 juillet 2018 à Ghardimaou dans le gouvernorat de Jendouba. Il s’agit des opérations visant à arrêter le groupe terroriste qui a perpétré l’attaque contre la Garde nationale, hier, coûtant la vie à 6 de ses agents.
Par delà les sempiternelles protestations guerrières ou de sympathie pour les victimes, 1 tel drame était-il prévisible ? OUI ! '?tait-il évitable, OUI... si... La répétition d'1 telle opération est-elle à prévoir ? OUI !!!. Pourrait-on la prévenir ? OUI !!! mais à condition SI ... Le conditionnel se fondant sur une approche strictement militaire de la situation, et des modalités d'opération... Encore faut-il avoir les différents types de "moyens" les plus récents et les "soutiens" nécessaires... Autant dire...
Pour les propos pleins de dédain et désinvoltes à l'encontre des martyrs en les négligeant et en supposant que leurs assassinats sont logiques vu leur travail dont ils sont payés.
Ele est sans scrupules tout comme son clan arnaqueur nahdha.
Le meilleur exemple d'écart en intelligence qui existe entre les Arabes et les occidentaux est illustré chez les Tunisiens. Une lacune qui se traduit par une tendance morbide a admirer les blancs et les roumis d'où un esprit colonial tenace, un manque de patriotisme, et un talent dans la trahison de la Nation Tunisienne.
Et quand je dis « fatale », je veux bien sur penser aux jeunes de pays comme la Tunisie ou même de pays en Europe comme la France, qui après avoir subi un auto-endoctrinement sur la toile rejoignent une vie de jihad régional ou international. Lorsque les jeunesses des nations sont endoctrinées en des sectes de fanatisme et de cruauté, les Nations elles-mêmes sont en sursis.
Le mal du monde Arabe comme je l'ai écrit des dizaines de fois sur ce valeureux journal électronique, vient de l'Islam qui se trouve avoir été transformé après la mort du Prophète, en une religion dépourvue de toute pensée Hellénique. Ce qui veut dire que cette religion devient donc nécessairement une religion n'ayant en elle aucun guide social moderne, aucune forme de clémence, aucune forme de pensée menant au progrès et a la révolution industrielle, et surtout aucune assise qui puisse mener à une société démocratique.
Et comme je l'ai souvent écrit sur Business News, la vraie révolution du monde Arabe sera une révolution de l'Islam, c'est-à-dire un mouvement global et populaire qui mettra en sourdine cette religion, la transformant en une forme de discipline de l'esprit discrète et limitée au comportement exemplaire de clémence, de bonté, et de pardon du Prophète Mohamed.
Les Tunisiens et surtout les musulmans doivent se rendre à l'évidence :
l'Islam de nos jours n'a plus de raison d'être sauf en tant que force politique qui maintiendra par des zones politiques tampons en lesquelles se dérouleront des guerres sectaires et interconfessionnelles interminables et sanglantes, stabilité et sécurité aux régimes d'Arabie et un statu quo aux alliances en hydrocarbures entre l'occident et leurs régimes féodaux.
L'effet principal et la raison d'etre de ces guerres cruelles comme celle ayant débuté au Yémen et qui bientôt s'étendra au territoire Tunisien, sont bien sur l'expansion de l'état d'Israël en pays devenu une force coloniale nucléaire puissante et dont les territoires devraient rejoindre un jour le Nile et l'Euphrate.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Dans son oeuvre «Les Grands Initiés » que j'ai lu des dizaines de fois entre deux Johny Walker bien glacés, le philosophe Français '?douard Schuré écrivit :
«Le plus grand mal de notre temps est que la Science et la Religion y apparaissent comme deux forces ennemies et irréductibles. Mal intellectuel d'autant plus pernicieux qu'il vient de haut et s'infiltre sourdement, mais sûrement, dans tous les esprits, comme un poison subtil qu'on respire dans l'air. Or, tout mal de l'intelligence devient à la longue un mal de l'âme et par suite un mal social. Tant que le christianisme ne fit qu'affirmer naïvement la foi chrétienne au milieu d'une Europe encore à demi-barbare, comme au moyen âge, il fut la plus grande des forces morales ; il a formé l'âme de l'homme moderne. - Tant que la science, expérimentale, ouvertement reconstituée au seizième siècle, ne fit que revendiquer les droits légitimes de la raison et sa liberté illimitée, elle fut la plus grande des forces intellectuelles ; elle a renouvelé la face du monde, affranchi l'homme de chaînes séculaires et fourni à l'esprit humain des bases indestructibles.»
Je vous demande avec tout le respect que je dois aux bipèdes hirsutes et aux aisselles touffues et aigres que vous êtes, de réfléchir à la citation ci-dessus qui exprime avec grand talent l'époque ou le Christianisme et l'Eglise, forces politiques puissantes, confrontèrent la science avant de s'estomper face au progrès et au raisonnement rationnel.
Que peut-on dire de l'Islam et du rôle que cette religion joue quatre années après le début du printemps Arabe et ses révolutions qui ont leurré des millions de gueux l'un aussi malodorant que l'autre dont les Tunisiens, vers l'illusion de la démocratie et de la liberté ?
Il existe bien évidemment un phénomène similaire à celui si bien décrit par '?douard Schuré, sauf que celui-ci y est inverse et que quatre années après le début du printemps Arabe, l'Islam et ses Vaticans de Ryadh et de Doha, jouent le rôle de raz de marée destructeur dans un monde qui peinait déjà à atteindre un stade de pre-revolution industrielle dont les régimes séculiers et autoritaires avaient posé les fondations essentielles et nécessaires.
Il existe toujours en l'être humain un conflit opposant la pensée religieuse à celle scientifique, sauf qu'il semblerait que dans le monde Chrétien, la religion y ait perdu de très grandes batailles aux dépends de la science et de son raisonnement Cartésien, d'où la transformation du monde Chrétien des siècles après en un conglomérat de puissances industrielles et militaires.
Le monde musulman vit un tout autre phénomène qui ne peut être décrit que comme étant une religion désuète et dépourvue de pensée Hellénique, infiltrant de façon irréversible et fatale les esprits de peuples dépourvus d'intelligences comparables à celles des peuples de l'occident.
Le meilleur exemple d'écart en intelligence qui existe entre les Arabes et les occidentaux est illustré chez les Tunisiens. Une lacune qui se traduit par une tendance morbide a admirer les blancs et les roumis d'où un esprit colonial tenace, un manque de patriotisme, et un talent dans la trahison de la Nation Tunisienne.
Et quand je dis « fatale », je veux bien sur penser aux jeunes de pays comme la Tunisie ou même de pays en Europe comme la France, qui après avoir subi un auto-endoctrinement sur la toile rejoignent une vie de jihad régional ou international. Lorsque les jeunesses des nations sont endoctrinées en des sectes de fanatisme et de cruauté, les Nations elles-mêmes sont en sursis.
Le mal du monde Arabe comme je l'ai écrit des dizaines de fois sur ce valeureux journal électronique, vient de l'Islam qui se trouve avoir été transformé après la mort du Prophète, en une religion dépourvue de toute pensée Hellénique. Ce qui veut dire que cette religion devient donc nécessairement une religion n'ayant en elle aucun guide social moderne, aucune forme de clémence, aucune forme de pensée menant au progrès et a la révolution industrielle, et surtout aucune assise qui puisse mener à une société démocratique.
Et comme je l'ai souvent écrit sur Business News, la vraie révolution du monde Arabe sera une révolution de l'Islam, c'est-à-dire un mouvement global et populaire qui mettra en sourdine cette religion, la transformant en une forme de discipline de l'esprit discrète et limitée au comportement exemplaire de clémence, de bonté, et de pardon du Prophète Mohamed.
Les Tunisiens et surtout les musulmans doivent se rendre à l'évidence :
l'Islam de nos jours n'a plus de raison d'être sauf en tant que force politique qui maintiendra par des zones politiques tampons en lesquelles se dérouleront des guerres sectaires et interconfessionnelles interminables et sanglantes, stabilité et sécurité aux régimes d'Arabie et un statu quo aux alliances en hydrocarbures entre l'occident et leurs régimes féodaux.
L'effet principal et la raison d'etre de ces guerres cruelles comme celle ayant débuté au Yémen et qui bientôt s'étendra au territoire Tunisien, sont bien sur l'expansion de l'état d'Israël en pays devenu une force coloniale nucléaire puissante et dont les territoires devraient rejoindre un jour le Nile et l'Euphrate.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Les mêmes réactions après chaque attentat (réunion,interview,condamnation...etc ) et ça dure depuis 7 ans mais pourquoi on ne brûle pas ces forêts pour les faire rôtir ces criminels je pense que ce cirque va encore durer malheureusement au détriment de nos braves sécuritaires et militaires.Ou sont nos grands stratèges en lutte contre le terrorisme?
Il convvient de préciser qu'il faut un indique bien informé du passage des soldats à un moment précis dans la zone, pour que cette attantat soit couronnée de succès. La réponse se trouve chez le président de la sécurité du pays d'Ennahda
YC, les tunisiens vrais patriotes sont avec toi, Brahmi a voulu faire un coup d'etat et il a ete ecarter, plein d'anciens rcdistes et autres traitres veulent profiter de la mort de nos soldats pour blamer le gouvernement au lieu de faire le deuil de nos valeureux soldats. Ces traitres vendraient la Tunisie pour une poignee de cacahuetes.
