
Le parti Attayar a rendu public un communiqué, mercredi 2 octobre 2024, indiquant que le 6 octobre prochain, marquera la fin d'une pièce de théâtre mal mise en scène, faussement appelée, élection présidentielle.
Le parti assure que ce processus, dépourvu de toutes les règles et éthiques d'une compétition électorale saine, a été entaché par toutes sortes de violations, prévues et imprévues, et a sapé tous les fondements de la démocratie, de la liberté, du pluralisme, de l'intégrité et de la transparence.
« Cette élection se déroule dans un climat caractérisé principalement par la répression des voix dissidentes, la restriction du droit à l'opposition, et l'emprisonnement des opposants politiques, des militants de la société civile, des journalistes, des syndicalistes et des personnes exprimant leur opinion. Les procès s'enchaînent pour tout adversaire sérieux au régime du coup d'État, qui a fermé l'espace public, restreint les libertés et adopté un discours de division et d'incitation à la haine », lit-on dans le texte du communiqué.
Attayar, croyant fermement au droit des Tunisiennes et Tunisiens à des élections véritables leur permettant de choisir librement leurs candidats et leurs élus, considère que les élections prévues pour le 6 octobre 2024 sont dépourvues de toute crédibilité et déclare ne pas reconnaître leur légitimité ni les résultats qui en découleront, car ils ne refléteront en aucun cas la volonté du peuple tunisien.
Il exprime également sa pleine solidarité avec tous les candidats privés de leur droit de se présenter ou poursuivis en justice pour avoir soumis leur candidature, le dernier en date étant Ayachi Zammel, qui fait face à de lourdes peines suite à des procédures judiciaires injustes.
Attayar appelle enfin toutes les forces nationales, partis, associations, organisations, ainsi que tous les Tunisiennes et Tunisiens, à poursuivre leur lutte pacifique et civile pour défendre leurs droits et libertés, et à résister aux dérives autoritaires et populistes instaurées par le pouvoir en place, jusqu'au rétablissement du processus démocratique et la consolidation des valeurs et principes de l'État de droit et des institutions, revendiqués par la révolution, et l'imposition de leur droit à choisir librement qui les gouverne.
S.H

Et tot ou tard, HAJJI et AJBOUNI vont démissionner de ce 'parti' , à l'instar de ABBOU, CHAOUACHI, HAMEDI ,KARBAI ,....... Et trés probablement ,HAJJI et AJBOUNI vont démissionner au meme jour comme CHAOUACHI-HAMDI -KERBAI et vont mettre les clés sous la porte ,et rentreront chez eux A BICYCLETTES!!!. en chantant la chanson de YVES MONTAND A
BICYCLETTES:
Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Y avait MOHAMMED, y avait GHAZI
Y avait HAMEDI et KARBAI
Et puis SAMIA
- Kais Said: 83%
- Ayachi Zammal: 10%
- Zouheir Maghzaoui: 7%
Il n'y aura donc pas de deuxième tour.
Brefs commentaires sur ces résultats:
Kais Said a fait preuve d'Homme d'Etat, intègre, convaincu et déterminé. Ceux qui ont voté pour lui, dont ma modeste personne, l'ont fait pour permettre au président en exercice de poursuivre sa mission de libération du pays et de faire de la Tunisie , un paradis de liberté, de créativité et de tolérance, dans le respect total de la LOI.
Ayachi Zammal: ceux qui ont voté pour lui, l'ont fait par sympathie envers un prisonnier, ou par vote utile.
Zouheir Maghzaoui: il parait que personne ne veut de ce mec. Maghzaoui a promis d'annuler l'accord Tuniso-italien sur l'immigration. Maghzaoui a également promis de pondre une nouvelle Constitution. Rien qu'avec ces deux promesses graves et idiotes, Maghzaoui a signé son échec.
Pauv'type
Pour l'instant, il faut que TOUTES les forces démocratiques, républicaines s'unissent, en dehors des islamistes ou ceux ayant des idéologies d'un autre temps ou populistes.
Tous les tunisiens doivent s'unir contre cette grave dérive d'un pouvoir sans loi ni foi.
Quand le processus démocratique sera rétabli, on pourra à ce moment là montrer nos différences et nos désaccord, ce qui est un processus normal dans une Nation (c'est comme en économie, la concurrence).
Quelle courage, pensez a Chouachi au moins.
Une fois les résultats officiels, proclamés de façon officielle, nul ne peut les contestet.
... à moins d'être des putchistes (ndlr, bons pour la prison).
C'est comme un feu qui est TOUJOURS EN ORANGé.