Après le déluge humain provoqué intentionnellement surtout sur Tunis (et même Sfax) à partir 1984 et dont l'intensité s'est accentuée par vengeance d'une part et par un illusoire populisme d'autre part, et ce depuis 2012, lorsque nahdha "à lâché l'eau sur les melons " et qui a ramené tous ses milices sudistes et ses partisans sudistes vers Tunis (la capitale massacrée), et ce par haine et envie à cette prestigieuse ville, de la part de ces traitres de nahdha venus de Londres au cours de l'année 2011 et ce à l'annonce par quelques occidentaux (dont Nicolas Sarkozy) d'un printemps arabe qui a été minutieusement préparé de leur part (avec d'autres complices) depuis 1986 pour s'accaparer d'abord du Pétrole irakien et puis celui libyen, yéménite et syrien y compris d'autres contrées sur la site.
Pour cela il fallait mettre un plan adéquat et engager des exécutants et des intermédiaires dans des lieux stratégiquement favorables, tel que l'Égypte et a Tunisie ; seulement la ruse n'a pas fonctionné en Égypte et à été abolie grâce aux vaillants militaires de ce pays qui a prévu d'avance ces manigances.
Cependant la Tunisie n'a pu que subir les aléas et les fâcheuses conséquences de ce complot, et depuis lors l'exode rural, les concentrations humaines à Tunis, les corruptions, le terrorisme, le banditisme, la débandade, le fiasco économique et toutes sortes de catastrophes socioéconomiques, se sont vertigineusement accentués.
Pauvre Tunisie ! Pour rappeler à certains cette expression fantaisiste.

La Décentralisation est une urgence pour notre pays. Il faut une loi fondamentale de décentralisation avant de promulguer le code des collectivités. On ne met pas la charrette avant les boeufs. La loi de decentralisation doit définir l'administration du territoire en application des principes de la constitution. Il s'agit d'une urgence qui nécessite un esprit visionnaire , du courage politique et de l'altruisme. C'est " peut être " ce qui manque le plus.

Toujours cette schizofrenie qui habite ces personnes qui font partie de ces generations depuis l independance qui ont eu pour seul leitmotive le developpement de 15% du territoire tunisien au depend des 85 % restants.
Un modele de developpement caduque mais qui persiste encore aujourd hui :
Ces personnes bien au chauds qui se croient avoir le monopole de la belle parole et qui inventent le fil a couper le beurre .