Le fondateur et président d'Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, a pris part, jeudi 15 juin 2017, à une soirée débat sur une nouvelle gouvernance du culte. Dans son intervention, M. Jomâa a souligné l’importance de revoir la gestion des affaires religieuses, pour que la religion tienne son rôle de soutien aux dénominateurs communs et à la cohésion sociale.
Pour sa part, Mounir Tlili, membre du bureau politique d'Al Badil Ettounsi, a mis en relief les mesures prises par le gouvernement de technocrates en 2014 pour réformer la gestion des affaires religieuses.
I.N
Mehdi Jomâa participe à une soirée débat sur une nouvelle gouvernance du culte
Le fondateur et président d'Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, a pris part, jeudi 15 juin 2017, à une soirée débat sur une nouvelle gouvernance du culte. Dans son intervention, M. Jomâa a souligné l’importance de revoir la gestion des affaires religieuses, pour que la religion tienne son rôle de soutien aux dénominateurs communs et à la cohésion sociale.
Pour sa part, Mounir Tlili, membre du bureau politique d'Al Badil Ettounsi, a mis en relief les mesures prises par le gouvernement de technocrates en 2014 pour réformer la gestion des affaires religieuses.
Mehdi jomaa est pathétique a l'entendre son gouvernement a tout fait : lutte contre la corruption la contrebande,la neutralisation des mosquées et de l'administration. Alors que la réalité est toute différente. M jomaa n'a,rien fait . Il n'a pas voulu mécontenter son patron ghannouchi. La preuve il n'a rien fait pour déloger boussole laabidi l'usurpation autoproclamé grand imam de la zitouna et soutenu pas ghannouchi. Il a fallu le gouvernement habib essid et son ministre de l'époque cheikh othman battikh pour renvoyer ce bandit de laabidi de la zitounaz
trop tard. s' il avait organise cela avant d être premier ministre il ne serait jamais 1er ministre. la tunisie un besoin d un nouveau comme macron pour la france
Chaque nouveau-venu de la politique s'aperçoit bien vite qu'il lui faut se pencher sur cette affaire de "science-fiction du pauvre" qu'est la religion. M. Joumoaâ entre au bal. Et cela le disqualifie.
pour moi plus personne n'est crédible
comme exemple quelles sont les mesures prises après l'incendie de RADES
nous attendons l'apparition d'un brave patriote qui pourra nettoyer toute ces saletés tel ELIOTT NESS au USA
On aurait préféré qu'il nous parle de gouvernance tout court, des moyens pour une relance économique, comment attirer les investisseurs étrangers, comment relancer le tourisme, comment rendre la Tunisie "propre" je parle écologie comme elle le fut avant la Révolution, vraiment qu'est-ce que cela peut nous intéresser sur les méthodes de Gouvernance des Affaires Religieuses? Franchement je m'en fous.
