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Yassine Brahim : Afek pourrait ne pas avoir de candidat à la présidentielle de 2019
31/03/2017 | 16:27
1 min
Yassine Brahim : Afek pourrait ne pas avoir de candidat à la présidentielle de 2019

A peine quelques heures avant la tenue du congrès du parti Afek Tounes, son président Yassine Brahim, n’a pas écarté la possibilité de soutenir la candidature à la présidentielle de 2019 de Mehdi Jomâa, l'ancien chef du gouvernement et président du parti Al Badil Ettounsi, ou de n'importe quel autre candidat. «C'est possible » a-t-il répondu en substance, en réponse directe à une question de Boubaker Akacha lors de l'émission Midi Show de Mosaïque Fm.

« Nous déciderons de soutenir un candidat, qu'il soit membre du parti ou non. Afek Tounes pourrait ne pas avoir de candidat à la présidentielle de 2019. Nous pourrons soutenir un candidat qui appartient à notre famille politique, s'il s'avère le plus apte à la représenter », a déclaré Yassine Brahim.

 

«Afek Tounes a sa propre vision de la politique, son poids dans les conseils municipaux et dans les élections législatives. Peut-être qu’il (le parti) n’aura pas de candidat pour 2019. S'il considère qu’il y a un candidat dans sa famille politique et électorale élargie digne de la représenter, il l’épaulera. Il est possible que ce soit Mehdi Jomâa, mais il n’est pas le seul», a indiqué M. Brahim, en expliquant à l’animateur qu’il reste assez de temps pour choisir leur candidat.

 

Commentant la naissance du parti Al Badil Ettounsi, il y a deux jours, le leader d’Afek Tounes a estimé qu’il y a actuellement une effervescence au niveau de la place politique centriste. Pour lui, Mehdi Jomâa, qui était chef du gouvernement, a une notoriété politique assez étendue.

 

31/03/2017 | 16:27
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Commentaires (14)

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Tounsi
| 02-04-2017 09:38
Décision pleine de sagesse Afek est un parti jeune qui a l'avenir pour lui, en avançant pas a pas, Il finira par atteindre ses objectifs. Dans le paysage politique actuel, el Badil et Afek sont les meilleures options.

Dandinet
| 01-04-2017 17:13
Et donc, ils n'auront pas assez de temps pour se consacrer aux déficits énormes auxquels la Tunisie fait face, et dont notamment celui de la Justice Sociale.
Et puis ils ne sont pas assez virils pour ça. Mais surtout, ils se mettent en colère rien que pour une égratignure dans leur argenterie.

ourwa
| 01-04-2017 14:35
M. Brahim semble réaliste, clairvoyant, en excluant de présenter un(e) candidat(e) de son parti aux prochaines présidentielles...fût-il lui-même... Il a raison, vu la dégringolade de la notoriété de Afek Tounes dans l'opinion publique, car s'associer à un parti islamo-fasciste dans le gouvernement...ou au sein de la "majorité" parlementaire, ne pardonne pas. Il n'y a qu'à voir le sort échu aux feu CPR et Ettakattol, mais aussi à Nidâa...C'est le prix de cette alliance avec nahdha, parti promoteur de terrorisme et fossoyeur de toute propension à la démocratie. Pourtant, nahdha semble( semble seulement) être actuellement le seul parti qui aurait le vent en poupe. Mais pour ces partis d'affairistes, tels que l'UPL, Afek (dont les dirigeants actuels ont prospéré sous ben ali), l'argent n'a pas d'odeur, y compris celui qui provient des fosses septiques des monarchies pétrolières...d'où ce constat, qui ne doit étonner personne: M. Brahim n'exclut pas de soutenir la candidature de Mehdi Jomâa aux prochaines présidentielles, pensant probablement pouvoir décrocher pour lui et ses petits camaredes du parti quelques strapontins ministériels. Et peu importe l'insignifiante notoriété de Jomâa dans les intentions de vote... Qu'on se souvienne des propos de ce 1er ministre de nahdha quand il était à la Kasbah et qu'on lui reprochait l'absence de toute réalisation économique de son gouvernement :" Je ne suis pas chef de gouvernement pour redresser l'économie du pays, mais pour accomplir une seule mission et une seule, organiser des élections démocratiques et transparentes, dont acte." Or, dans son interview de vendredi soir du 31 mars 2017 sur la chaîne 9, Jomâa se targuait des multiples réalisations de son gouvernement. C'est l'art de la manipulation et du mensonge, deux qualités des politiques dans leur ensemble... Il est sûr et certain que Jomâa va accueillir avec joie son soutien par Brahim. Après tout, Afek et Al-Badil ne sont-ils pas deux partis affairistes, ultra-libéraux, mondialistes convaincus, voués au monde des finances? D'ici à ce que Afek se fonde dans al-badil, et pourquoi pas l'UPL aussi, autre officine du même genre, il n'y pas loin...

observator
| 01-04-2017 11:14
Un peu comme Blanc Bonnet OU Bonnet Blanc.

Qui est derrière ?
Le système corrompu

observator
| 01-04-2017 10:55
Blanc Bonnet ou Bonnet Blanc.

kameleon78
| 31-03-2017 22:30
Afek Tounès a peur que son candidat pour 2019 fasse 0,00001% c'est pour cela qu'ils disent qu'il n'y aura pas de candidat d'Afek. En revanche, je ne pense pas que ce soit Mehdi Jomaâ car ce candidat pareil ne fera que 0,0001 % s'il représente son nouveau parti l'Alternative Tunisie, mais je pense et on en reparlera que la Nahda va choisir Mehdi Jomaâ comme candidat du parti islamiste car elle aura un candidat en dehors de son parti pour ratisser large, l'avantage de la Nahda et de Ghannouchi c'est de présenter un candidat en dehors du parti islamiste. (51% à atteindre pour gagner)? Pour ceux qui ont du mal à comprendre mon analyse je reviendrai à l'occasion.

Babamomes
| 31-03-2017 20:51
C est en faveur de youssef chahed le dauphin de bejbouj qui à commandee sa campagne, que afek ne presentera pas de candidat

Abel Chater
| 31-03-2017 20:26
Qui dit à ce Yassine Brahimovic que les Tunisiens possèdent un seul iota de volonté, pour accepter cet arriviste de Mahdi Ben Jomaa, comme prochain président de notre deuxième République de régime parlementaire?
Que tous les arrivistes et que tous les Tunisiens sachent, que dans les régimes parlementaires, n'est pas tout "Gabbi-Gabbi" envisageable au poste de président de la République. Le poste de président de la République dans un régime parlementaire, ne peut en aucun cas être comparé au poste de premier ministre, ni de près ni de loin. Les critères entre les deux postes changent souvent à cent quatre-vingts degrés. Le premier ministre est un homme du terrain, alors que le président de la République d'un régime parlementaire n'est essentiellement que réunificateur honorifique, qui jouit de la considération de l'ensemble du peuple avec toutes ses forces politico-économiques. Une considération dépendante de l'âge, du trajet sociopolitique, et de la préhistoire du candidat à la présidence, non pas au marché de gros de la politique du donnant-donnant et de vouloir se débarrasser du parti concurrent de Mahdi Jomaa. La valeur et le poids historiques de la personne, comptent beaucoup plus que les calculs et les intrigues.
On ne peutla culture faire venir n'importe qui, sans le moindre passé patriotique, ni humaniste et lui confier toute la sécurité du pays, paix et guerre comprises.
Nous avons Ahmed Néjib Chabbi. Nous avons Faouzi Elloumi. Nous avons Hamma Hammami. Nous avons Hamadi Ghars. Nous avons Hamadi Jébali. Et pourquoi pas une Dame comme Selma Elloumi Rekik, car les autres Lionnes comme Sihèm Ben Sédrine ou Samia Abbou, ne feront jamais l'unanimité dans ce pays où la culture de l'hypocrisie règne depuis 1956.
Toutefois, je pense que les politiciens et tous les Tunisiens auraient fait un gigantesque pas en noblesse, en reconnaissance aux Martyrs de l'indépendance de la Tunisie et en réparation de l'injustice meurtrière commise contre le Martyr Salah Ben Youssef et les Militants tunisiens ayant lutté pour l'indépendance complète de la Tunisie sans détours et sans mensonges, s'ils choisissaient le Militant yousséfiste Hamadi Ghars au poste du prochain président de la République. La Tunisie aura beaucoup réparé des injustices de son passé.

Big Ben
| 31-03-2017 20:15
Au lieu de presenter des programmes serieux et credibles qui pourrait empecher son parti d etre chasse du parlement,Monsieur se prononce deja sur son soutien pour la presidentialite d un autre arriviste et parvenu politicien ,alors que le pays court vers une probable nouvelle revolution...

Sami
| 31-03-2017 20:08
Est c k kkun ki a une autre nationalité k étrangère peut être président ou chef de gouvernement?