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Destruction de plusieurs cafés non autorisés aux Berges du Lac II
08/11/2016 | 10:44
1 min
Destruction de plusieurs cafés non autorisés aux Berges du Lac II

Des poids lourds, des bennes et des trax étaient tard dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 novembre 2016 en circulation sur les abords des Berges du Lac de Tunis. La raison ? Destructions de devantures et constructions légères anarchiques de bistrots et salons de thé.

L’œuvre est officiellement signée par la mairie de La Goulette. Réellement, c’est le gouverneur de Tunis, Omar Mansour, qui est derrière la stricte application de la loi. Il a exactement fait de même contre les cafés et échoppes de l’Ariana et différents Menzah et Ennasr quand il était gouverneur de l’Ariana. Depuis son départ, les souris ont repris leur danse, les trottoirs et même les parkings sont de nouveau occupés par les cafés et restaurants. 


Pourquoi la stricte application de la loi ne se fait qu’avec un seul gouverneur et qu’un seul gouvernorat ?

 

 

M.A

 

 

 Crédit vidéo : Mosaïque FM

 

 

 

 

 

 

08/11/2016 | 10:44
1 min
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Commentaires (60)

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cocotte
| 09-11-2016 11:15
Face aux vandales et autres déprédateurs fanfarons soit disant intouchables qui se permettent de squatter et occuper illégalement les trottoirs et les biens publics et devant le mutisme complice et parfois la couardise héritée de l'époque ben ali,il fallait mettre le holà à la paupérisation rampante de la capitale et appliquer la loi simplement et surtout l'appliquer à TOUS... et non pas à ceux qui n'ont pas de souteneurs... Les textes de loi qui permettent la préservation de l'esthétique urbaine et un cadre de vie sain existent et ils permettent la demolition pure et simple aux frais des contrevenants de tout ouvrage ou construction de toute nature qu'elle soit qui ne respectent pas les règlements urbains ; les articles 81,84 et suivants de la loi organique des communes du 14 mai 1975 permettent au président de la commune (et en cas de réticence de ce dernier à prendre les arrêtés adéquats), au gouverneur de prendre les mesures nécessaires à la démolition pure et simple des constructions. ce dernier peut même en cas d'urgence ordonner l'exécution immédiate de l'arrêté de démolition ; la gouverneur de l'Ariana doit prendre l'exemple et appliquer la loi à tous les contrevenants de la cité Ennasr et non pas se contenter de la démolition surmédiatisée de maisonnettes et gourbis appartenant à de pauvres bougres...

sss
| 09-11-2016 10:24
quand est ce qu'ils passeront à la marsa pour les constructions anarchiques côtés non pas commerce mais maisons ; à ezzahra aussi à rades aussi partout qu'ils fassent leur travail il y en a marre de ces mer....s

A . V .
| 09-11-2016 08:40
Bravo à l'équipe de Mr Chahed bravo bravo .
Braaaaaaaaaaaaaaaavoooooooooooo.
Face à ces voyous du trottoir .

TH
| 09-11-2016 07:41
J'avais en 2010, un sympathique pizzeria au lac 2 non loin de Ooredoo et de la bourse.
Je l'ai vendu en 2012 car je devais assumer d'autres responsabilités dans le tourisme.
La période de preouverture (décoration, finitions, pose de l'équipement et formalités)m'a pris six mois et le service des "taratib" contrôlait régulièrement l'avancement des travaux.
Ce service avait convenu avec moi, la superficie de la terrasse et de la tenture.
Je ne pouvais pas outrepasser ce qui a été convenu sous peine de sanctions.
Tous les trimestres, j'allais m'acquitter des taxes à la municipalité de la Goulette.
J'y suis resté deux ans et le service d'hygiène me rendait visite régulièrement.
Je n'ai jamais eu de problèmes.
Au deux Lacs, il y a trop de cafés, salons de thé, gargote et restaurants et un certain nombre d'entre eux, n'était pas en règle administrativement, d'où ces destructions.
Q pour leurs propriétaires et les employés en service.

tounsi
| 09-11-2016 07:23
"Trax" ne veut rien dire en français...En bon français on dit "chargeuse"

Nahor
| 09-11-2016 04:37
face à l'embellissement illégale, n'y aurait-il que le légalisme sauvage?

Tout cela n'est que de la démagogie pour vous faire croire qu'en Tunisie la loi fonctionne, alors que des SNIPERS IDENTIFIES, assassins du peuple, circulent impunis, que des enquêtes sur les assassinats dont ensevelies, que des "hommes d'affaires", dont un a un visage notoire à la TV, font tous leurs trafiques de devise (blanchiment...), de drogue, des armes, des terroristes et des clandestins...

Ah oui, la Tunisie avance, et tance...il y a une Loi... mais Rached Ghannouchi commande et fait plus que trois ministres et le Président mis ensemble...!

Quelle illusion!

TeTeM
| 08-11-2016 22:08
Commentaire indigeste ? On voit bien que tu ne lis pas les tiens...

Bref, je suis un homme libre et je fais ce que je veux. Et je continuerai à répondre à ce qu'il me plaira. Si après, tu n'as pas envie de répondre ou tu n'as pas d'arguments pour répondre libre à toi de faire comme Abel Chater en y répondant pas toi!

Me traiter d'islamo machin qui avance caché. Mais lol, depuis Paris j'entends les éléphants d'Afrique rire de ta blague tellement c'est pas crédible.

N.Burma
| 08-11-2016 22:02
« Bref, comme je l'ai écrit, je suis prêt à admettre que j'ai tord si on me prouve, texte à l'appuie, que le gouverneur pouvait faire cette usage de la force publique. Dans ce cas de figure, j'applaudirai des deux mains cette initiative. » TeTeM


Je ne prends pas part à votre controverse je tiens simplement à souligner que le gouverneur a parfaitement le droit de faire appel à la force publique pour faire respecter les lois de la République, et dans le cas qui nous concerne, il y a occupation illégale de l'espace public avec une amputation du trottoir qui est tracé par la puissance publique, pour que le public puisse circuler librement.
Les commerçants fautifs, savent qu'ils sont fautifs, et l'autorité après leur avoir intimé l'ordre de libérer l'espace public, sont demeurés autistes aux rappels à la loi, par conséquent la puissance publique a exercé son droit et même son devoir de rétablir l'ordre.
Si les commerçants s'estiment avoir été spoliés de l'espace public qu'ils ont squatté durant, ils peuvent en effet ester en justice et demander à la Justice de statuer sur leurs cas.
A charge pour ces commerçants de supporter les conséquences de leurs actes devant l'autorité judiciaire.
Les cris d'orfraie ne sont pas de mise.

democratie
| 08-11-2016 21:54
bravo si OMAR BEN MANSOUR

HatemC
| 08-11-2016 21:49
ne m'interpelles plus ...c'est aussi simple...passes ton chemin .. Ton commentaire est indigeste ... je te demande de ne plus m'interpeller ... dégages de ma vue .. simplement ... tu peux le faire ??? c sur ... merci ...ouffffffffffffff .... t'es vraiment lourd .. HC