
Dans une déclaration, lundi 4 janvier 2016, à Mosaïque Fm, Houcine Abassi, secrétaire générale de l'UGTT, a indiqué qu’il restait ouvert à toutes les propositions qui pourraient aider à trouver un terrain d’entente entre les deux unions, syndicale et patronale.
« Si l’une des propositions satisfait nos revendications, un accord sera trouvé », a-t-il dit. Toutefois, en cas d’échec des négociations, l’UGTT fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire réussir la grève sectorielle programmée sur le grand Tunis le 21 janvier 2016.
Par ailleurs, Belgacem Ayari, secrétaire général adjoint de l’UGTT a confirmé à la même source que des pourparlers sont en cours entre des responsables des deux organisations en vue de briser la glace et aboutir à un accord sur la question des augmentations dans le secteur privé.

Commentaires (5)
CommenterEt les chomeurs ..??vous y pensez.
Oui l'UGTT est à bout souffle
Rétropédalage ...
L'Utica n'a pas cédé. Et ne cèdera probablement pas.Trop d'entreprises, petites et moyennes, risquent de disparaître, purement et simplement.
Et la popularité du légendaire syndicat s'est émoussée ces dernières années, et après les dernières grèves. Voire même a fondu comme neige au soleil.
Parce que trop c'est trop.
Parce que l'entêtement et les caprices d'enfant gâté lorsque l'heure est aussi grave, que le terrorisme le plus abject menace le pays et que les citoyens se débattent dans un quotidien de plus en plus difficile, que l'Etat vit sous perfusion et que des prêts faramineux servent à payer des salaires, les exigences de la centrale ouvrière sont déraisonnables et irresponsables.
N'est pas Farhat Hached qui veut. Loin de là.
un autre jehel
ou mieux encore comme disent les tunisiens
DEGAGE